En cette relation j’aimerais encore
parler d’une autre œuvre d’art dont je
peu encore évoquer très brièvement le
contenu, encore plus brièvement que ce
fut le cas hier, parce qu’ici il
s’agit d’un roman en deux volumes.
Vous verrez qu’aussi dans ces
descriptions quelque chose de karma
non vécu jusqu’au bout vient à
l’expression.
Une mère vient avec sa fille
d’Amérique en Europe. Le père est mort
en Amérique depuis longtemps. Sur le
voyage en Europe elles rencontrent un
descendant d’un couple noble
fortement enraciné dans les traditions
formelles. Les plus processus les plus
diversifiés se déroulent maintenant,
ce en quoi, pour celui qui observe les
choses dans leurs pendants spirituels,
deviendra aussitôt clair qu’entre le
monsieur qui sera nommé Arthur dans
l’œuvre d’art et les deux dames que
l’homme voit simplement dans la rue,
pendant qu’elles vont au théatre,
règnent des pendants karmiques. Ces
pendants karmiques conduisent alors
aussi aux rapports de vie compliqués
qui se jouent là. Ils se jouent ainsi
que vraiment dans un grand tableau de
culture le contraste entier de la
culture européenne devenue vieille et
de la culture américaine encore jeune
sera décrit. Avec une visibilité
pressant caractère explicite et un
amour s’abandonnant sera décrit toute
l’opposition des deux cultures ;
ses représentant sont Emmy – ainsi
s’appelle la fille – et Arthur, qui
vient à sa rencontre et commence à
l’aimer terriblement. Tout le
contraste sera donc reflété dans ces
deux âmes et beaucoup se joue, qui
pour celui, qui a les pendants de
science de l’esprit à l'oeil, apparaît
aussitôt comme conséquence du karma,
qui joue entre les deux.
Dans une certaine mesure, le milieu
extérieur avec lequel on a à faire
dans la collaboration entre
constitution de vie américaine et
européenne est quelque chose qui est
pendant avec la fraîche culture
non perturbée par des traditions
historiques de l’Amérique, et de
l’autre côté la culture
européenne pérorée vivant
entièrement de traditions. Dans tout
ce milieu vit quelque chose qui se
mire dans les âmes, qui génère
conflits de vie sur conflits de vie.
Cela conduit alors aussi aux derniers
grands conflits de vie, qui consisteen
ce que le père d’Arthur, qui est
décédé, à qui appartennait un bien, et
qui se tenait encore avec toutes ses
façons de voir dans les vieilles
traditions nobles, maintenant dans une
certaine mesure avec son argent,
ou beaucoup plus avec le s’amenuiser
de son argent, a grandi hors des
vieilles traditions nobles – comme
cela se passe ainsi si diversement en
Europe – et a laisser tomber le bien.
Le bien a donc été vendu, ainsi
qu’Arthur est entré dans l’héritage de
ce bien.
Maintenant joue là-dedans de la
manière la plus noble ce qui n'est pas
toujours le cas de cette manière, que
par la façon dont les conditions
européennes se plaçaient aux
conditions américaines, se passe une
petite amélioration. Avec son argent
Emmy peut dépanner, cela signifie la
mère peut racheter le bien pour
Arthur. Cela se passe aussi, devait au
moins se passer. Mais là est ainsi
encore un germe non clair, lequel est
resté là ; il ne sait pas bien,
d’où il est venu, mais il se meut
ainsi comme un vagabond sur le bien.
Il ne lui appartient évidemment
pas, mais dans sa, j'aimerais dire,
représentation folle, il a la pensée
qu'il serait le maître, et seulement
lui pétrit/malaxe dans la tête l'idée
que le bien devrait lui appartenir.
Il découvre de son point de vue que,
en ce que ce bien a de nouveau été
racheté, s'est passé une ingérence
dans ses droits; mais ses droits
consistent seulement dans une sorte de
folle idée décadente : il se regarde
comme le maître d'un bien hypothéqué
depuis longtemps auprès d'un riche
banquier. Il se meut en tout sens,
comme on laisse se mouvoir en tout
sens ainsi les humains dérangés
spirituellement, qui ne sont pas
directement dangereux. Il se joue
maintenant là un conflit, qui
s'extériorise par ce que cet humain
devient furieux sur l'achat du bien et
parce que là s'offre à lui
l'opportunité, il abat Arthur sur le
bien.
Maintenant Emmy a déjà vécu des
expériences terribles
auparavant, elle doit aussi
encore traverser cela, et en
conséquence de cela, se développe une
maladie disponible dans ses
prédispositions – elle entre seulement
dans ses années de la vingtaine. Elle
sera amenée malade à Montreux par sa
mère et sera soignée là, à Montreux,
par un américain décrit comme
extraordinairement sympathique , un
monsieur Wilson et quelques autres,
qui sont encore là. C’est tout de
suite un moment merveilleux, un train
tout à fait remarquable de cette œuvre
d’art comment ce monsieur Wilson est
décrit. – Toute l’Amérique du nord vit
simplement en lui. Cela est rendu
vivant de manière entièrement
magnifique. Mais Emmy, malgré qu’elle
sera soignée ainsi, aussi par le
médecin qui entre encore dans le
chemin de vie, qui est pour ainsi dire
un rival d’Arthur, mais un vieil ami
de lui, ne peut pas être guérie. Elle
meurt à Montreux et maintenant sera
décrit sa mort.
.
.
.
|
In dieser
Beziehung möchte ich noch von einem
anderen Kunstwerke sprechen, dessen
Inhalt ich nur ganz kurz andeuten kann,
noch viel kürzer, als das gestern der
Fall war, weil es sich hier um einen
zweibändigen Roman handelt. Sie werden
sehen, daß auch in diesen Schilderungen
etwas von unausgelebtem Karma vorkommt.
Ich werde so schnell wie möglich
andeuten, inwiefern in diesem Kunstwerke
unausgeiebtes Karma zum Ausdrucke kommt.
Eine Mutter kommt mit ihrer Tochter aus
Amerika nach Europa. Der Vater ist in
Amerika vor längerer Zeit gestorben. Auf
der Reise in Europa treffen sie einen
Nachkömmling eines alten, in den
formellen Traditionen festgewurzelten
Adelsgeschlechtes. Die mannigfaltigsten
Vorgänge spielen sich nun ab, wobei für
den, der die Dinge in ihrem geistigen
Zusammenhange beobachtet, sogleich klar
wird, daß zwischen dem Manne, der in dem
Kunstwerke Arthur genannt wird, und den
beiden Damen, die der Mann einfach sieht
auf der Straße, während sie ins Theater
fahren, karmische Zusammenhänge walten.
Diese karmischen Zusammenhänge führen
dann auch zu den komplizierten
Lebensverhältnissen, die sich da
abspielen. Sie spielen sich so ab, daß
wirklich in einem großen Kulturtableau
der ganze Gegensatz der altgewordenen
europäischen Kultur und der noch jungen
amerikanischen Kultur geschildert wird.
Mit einer Anschaulichkeit und
hingebenden Liebe wird der ganze
Gegensatz der beiden Kulturen
geschildert; deren Repräsentanten sind
Emmy - so heißt die Tochter - und
Arthur, der ihr entgegenläuft und sie
furchtbar zu lieben anfängt. Es wird
also der ganze Gegensatz in diesen
beiden Seelen gespiegelt, und vieles
spielt sich ab, was dem, der die
geisteswissenschaftlichen Zusammenhänge
im Auge hat, sogleich erscheint als
Folge des Karma, das zwischen den beiden
spielt.
Gewissermaßen ist das äußere Milieu, mit
dem man es in dem Zusammenwirken
amerikanischer und europäischer
Lebensauffassung zu tun hat, etwas, was
zusammenhängt mit der frischen, von
historischen Traditionen unberührten
Kultur Amerikas, und auf der anderen
Seite mit der eingesulzten, ganz von
Traditionen lebenden europäischen
Kultur. In diesem ganzen Milieu lebt
etwas, was sich spiegelt in den Seelen,
und was Lebenskonflikte über
Lebenskonflikte herbeiführt. Das führt
dann auch zu dem letzten großen
Lebenskonflikt, der darin besteht, daß
Arthurs Vater, der gestorben ist, dem
ein Gut gehörte, und der mit seinen
ganzen Anschauungen in den alten
Adelstraditionen noch darinnen stand,
nun gewissermaßen mit seinem Gelde, oder
vielmehr mit dem Schwinden seines Geldes
herausgewachsen ist aus den alten
Adelstraditionen - wie das heute in
Europa so vielfach geschieht - und das
Gut hat fallen lassen. Das Gut ist also
verkauft worden, so daß Arthur um die
Erbschaft dieses Gutes gekommen ist.
Nun spielt da in der edelsten Weise
hinein, was nicht immer in dieser Weise
der Fall ist, daß durch die Art, wie
sich die amerikanischen Verhältnisse zu
den europäischen stellen, eine kleine
Aufbesserung geschieht. Mit ihrem Geld
kann Emmy aushelfen, das heißt die
Mutter, kann für Arthur das Gut
zurückkaufen. Das geschieht auch, soll
wenigstens geschehen. Da ist aber noch
so ein unklarer Sprößling, welcher dort
geblieben ist; er weiß nicht recht,
woher er gekommen ist, aber er treibt
sich wie ein Vagabund so auf dem Gute
herum. Es gehört ihm selbstverständlich
nicht, aber in seinen, man möchte sagen,
Wahnsinnsvorstellungen hat er den
Gedanken, daß er da der Herr sei, und
nun teigt ihm in den Kopf die Idee, daß
das Gut ihm gehören sollte.
Er findet von seinem Standpunkte aus,
daß, indem dieses Gut wieder angekauft
worden ist, ein Eingriff in seine Rechte
geschehen sei; seine Rechte bestehen
aber nur in einer Art dekadenten
Wahnsinnsidee: er betrachtet sich als
Herrn des längst einem reichen Bankier
verpfändet gewesenen Gutes.E r treibt
sich herum, wie man so geistig gestörte
Menschen sich herumtreiben läßt, die
nicht gerade gefährlich sind. Es spielt
sich nun da ein Konflikt ab, der sich
dadurch äußert, daß dieser Mensch wütend
wird über den Ankauf des Gutes und daß
er, da sich ihm die Gelegenheit dazu
bietet, den Arthur wirklich auf dem Gute
erschießt.
Nun hat schon früher Emmy furchtbare
Erlebnisse durchgemacht; sie muß auch
noch das durchmachen, und infolgedessen
entwickelt sich eine in ihrer Anlage
vorhandene Krankheit - sie geht erst in
die Zwanzigerjahre - weiter. Sie wird
krank nach Montreux gebracht von ihrer
Mutter und wird da, in Montreux, von
einem außerordentlich sympathisch
geschilderten Amerikaner gepflegt, einem
Mr. Wilson und einigen anderen, die noch
da sind. Es ist das gerade ein
wunderbares Moment, ein ganz
hervorragender Zug dieses Kunstwerkes,
wie dieser Mr. Wilson geschildert wird.
- Es lebt gleichsam ganz Nordamerika in
ihm. Es istdies in ganz wunderbarer
Weise lebendig gemacht. Aber Emmy kann,
trotzdem sie so gepflegt wird, auch von
dem Arzte, der ihr noch in den Lebensweg
tritt, der so gewissermaßen ein
Nebenbuhler des Arthur ist, aber ein
alter Freund von ihm, nicht geheilt
werden. Sie stirbt in Montreux, und nun
wird ihr Tod geschildert.
Beachten wir also aus dem
geisteswissenschaftlichen Zusammenhange
heraus, daß wir es hier im eigensten
Sinne mit unausgelebtem Karma zu tun
haben, mit einem überall in seinen Fäden
abgerissenen Karma, das überall in
Konflikte gekommen ist, in Konflikte,
die hauptsächlich spielen zwischen
Amerika und Europa, einem Karma, das
dann einfach durch einen Flintenschuß
zum Abschluß gekommen ist. Derjenige,
der das empfindet, muß das Bedürfnis
haben, wenn er nicht ein materialistisch
gesinnter Mensch ist, sich zu fragen: Wo
ist die Realität, wo kommt nun
unmittelbar nach dem Tode dieses
unausgelebte Karma hin, wo wird das
weiterleben? Ich mochte sagen, von
dieser Art und Weise des Weiterlebens
von unausgelebtem Karma hat ein Mensch,
der nicht Materialist ist, eine
Empfindung: er muß also, wenn er
Künstler ist, das Bedürfnis fühlen, eine
Hindeutung darauf zu geben, und eine
solche Hindeutung finden wir wirklich am
Schlüsse des Werkes.
Nur ein paar Zeilen brauche ich
vorzulesen. Arthur ist also tot,
erschossen. Mutter und Tochter reisen
nach Montreux; Emmy ist längere Zeit
krank, und in ihrem letzten Traum
erscheint ihr Arthur. Aber sogleich wird
einem klar, daß es sich hier nicht um
ein bloßes Traumbild handelt, um einen
Reminiszenztraum, sondern um ein
wirkliches Hereingreifen des realen
Arthur in die physische Welt. Und nun
wird der Moment des Todes so
geschildert:
«Zwischen Mitternacht und Morgen glaubte
sie zu erwachen.
Ihr erster Blick auf das Fenster, durch
das matte Helligkeit einströmte, war
frei und klar, und sie wußte, wo sie
war. Auch ihre Mutter, die neben ihr
schlief, hörte sie atmen. Noch einen
Moment weiter aber, und mit einem Druck,
den sie nie zuvor empfunden, befiel sie
überwältigende Angst. Es waren nicht
mehr jene einzelnen Gedanken, die sie in
den letzten Tagen quälten, sondern als
hielte eine Riesenhand alle Gebirge der
Erde an einem dünnen Faden über ihr und
jeden Moment könnten sich die Finger
öffnen, die ihn hielten und |