J'ai la permission de rappeler là à
une phrase que j’ai souvent prononcée,
comme le savent ces amis qui suivent
maintenant notre mouvement depuis des
années. J’ai plus d’une fois exprimé
qu'au cours des trois à quatre
derniers siècles, la Terre avec ses
différents peuples, est devenue une
unité dans la relation commerciale,
industrielle, à la mesure des banques
et ainsi de suite.
J'ai indiqué sur ce que les moyens
modernes d'échange et ce qui s'est
déroulé par les moyens modernes
d'échange jusqu’à il y a peu ont
déversé sur la Terre entière, de par
justement la Terre entière, une unité
de l'économique, de la vie extérieure
économique, une unité, si nous avons
la permission de dire ainsi, de la vie
physique de la Terre. Un chèque qui a
été établi à New-York, pouvait être
tiré à Tokyo ou à Berlin ou bien là où
toujours. À ce fait, j'ai toujours
ajouté l'exigence, dans les années qui
ont précédé cette guerre : pas
seulement le corps humain a besoin
d'une âme, mais un tel corps a besoin
d'une âme, ne peut pas vivre sans âme.
Ce qui s'est répandu comme corps
physique en relations commerciales,
industrielles, en autres relations
sinon, cela a besoin d'une âme, une
âme telle qu'elle offre la
possibilité, que par-dessus la Terre,
les humains, ainsi qu'ils se
comprennent par l'argent, se
comprennent aussi par l'esprit. Donner
une âme de la Terre au corps de la
Terre, cela est quelque chose, que
j'ai souvent prononcé comme valeur à
laquelle aspirer.
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Ich darf da
erinnern an einen Satz, den ich öfter
ausgesprochen habe, wie diejenigen
Freunde wissen, die unserer Bewegung nun
schon seit Jahren folgen. Ich habe es
öfter ausgesprochen, daß im Laufe der
letzten drei bis vier Jahrhunderte die
Erde mit ihren verschiedenen Völkern in
kommerzieller, in industrieller, in
bankmäßiger Beziehung und so weiter eine
Einheit geworden ist.
Ich habe darauf hingewiesen, wie die
modernen Verkehrsmittel und das, was
durch die modernen Verkehrsmittel bis
vor kurzem über die ganze Erde
hingerollt ist, über die ganze Erde hin
eben eine Einheit des Wirtschaftlichen,
des äußeren wirtschaftlichen Lebens
ausgegossen hat, eine Einheit, wenn wir
so sagen dürfen, des physischen
Erdenlebens. Wir hatten eine Einheit des
physischen Erdenlebens. Ein Scheck, der
in New York ausgestellt wurde, konnte in
Tokio oder in Berlin oder wo immer
eingelöst werden. Zu dieser Tatsache
habe ich immer die Forderung hinzugefügt
in den Jahren, die diesem Kriege
vorangegangen sind: Nicht nur der
menschliche Leib braucht eine Seele,
sondern ein jeglicher Leib braucht eine
Seele, kann nicht ohne Seele leben. Was
als physischer Leib in kommerzieller,
industrieller, in sonstiger Beziehung
über die Erde hin wie ein physischer
Leib eben sich ausgebreitet hat, das
bedarf einer Seele, einer solchen Seele,
die die Möglichkeit bietet, daß über die
Erde hin die Menschen sich so, wie sie
sich kommerziell, so, wie sie sich
geldlich verstehen, sich auch geistig
verstehen. Dem Erdenleib eine Erdenseele
zu geben, das ist etwas, was ich öfter
als erstrebenswert ausgesprochen habe. |