Demandons-nous maintenant : la
pensée humaine, l’intérêt humain
a-t-il aussi agi pour créer cette
structure sociale, qui se tient en une
quelque harmonie, en quelque
adéquation à ce que la force humaine
de l’esprit à créer dans les domaines
de la technique et de
l’industrie ?
Qu'on se pense une fois
hypothétiquement, ce qui serait arrivé
si les êtres humains, ou si une
individualité humaine, avait été en
état d'utiliser sa force spirituelle,
qui s'est cristallisée de manière si
puissante, si génialement, en
machines, en banque et en système de
transports, pour introduire cela aussi
dans une structure sociale appropriée
pour ceux qui sont placés dans cette
évolution. Nous ne voulons pas nous
placer sur le point de vue sur lequel
se place un chercheur sur la nature
souvent nommé, qui dit que tous les
puissants progrès de l’esprit humain,
de la science humaine ; de
l’industrie humaine, du commerce/de la
circulation/des échanges humains n’ont
pas du tout contribué au progrès de
l’évolution morale humaine, mais quand
nous regardons sur ce que les humains
ont produit en rapport de morale et de
mentalité, ainsi nous nous tiendrions
encore aujourd’hui au plus ancien
point de vue originel de la barbarie.
– Cette opinion ne se rattachera à
aucune considération plus
profonde ; mais c’est quand même
vrai que face à toutes les
conquêtes techniques et scientifiques,
que nous admirons aujourd’hui, sur
domaine extérieur et intérieur, rien
ne se tient sur le domaine de la vie
sociale, de la structure sociale. Nous
voyons, comment s’expriment, dans la
disharmonie entre nostalgie humaine,
besoins humains et idéaux humains, oui
même l’attitude de vie
simplement-naturelle humaine, et ce
que la réalité offre aujourd’hui pour
tous les humains dans sa réalité, de
la manière la plus diversifiée,
l’inadaptation de la pensée sociale en
rapport à l’activité industrielle.
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Fragen wir
uns jetzt: Hat menschliches Denken, hat
menschliches Interesse auch vermocht,
jene soziale Struktur zu schaffen, die
in irgendeiner Harmonie, in irgendeiner
Angemessenheit steht zu dem, was in den
Gebieten der Technik und der Industrie
die menschliche Geisteskraft geschaffen
hat?
Man denke sich einmal hypothetisch, was
geworden wäre, wenn die Menschen, oder
wenn eine menschliche Individualität
imstande gewesen wäre, ihre
Geisteskraft, die in so gewaltiger, so
großartiger Weise sich kristallisiert
hat in Maschinen, in Banken und im
Verkehrswesen, dazu zu verwenden, um
diejenigen, welche hineingestellt sind
in diese Entwickelung, auch in eine
entsprechende soziale Struktur
hineinzubringen. Wir wollen uns nicht
auf den Standpunkt stellen, auf den sich
ein vielgenannter Naturforscher stellt,
der sagt, daß alle großartigen,
gewaltigen Fortschritte des menschlichen
Geistes, der menschlichen "Wissenschaft,
der menschlichen Industrie, des
menschlichen Verkehrs gar nichts zum
Fortschritt der moralischen
Menschheitsentwickelung beigetragen
haben, sondern wenn wir auf dasjenige
blickten, was die Menschen
hervorgebracht haben in bezug auf Moral
und Gesittung, so stünden wir heute noch
auf dem urältesten Standpunkt der
Barbarei. - Dieser Meinung wird sich
keine tiefere Betrachtung anschließen;
aber wahr ist es doch, daß allen den
technischen und wissenschaftlichen
Errungenschaften, die wir heute
bewundern, auf äußerem und auf innerem
Gebiete, nichts gegenübersteht auf dem
Gebiete des sozialen Lebens, der
sozialen Struktur. Wir sehen, wie sich
in der Disharmonie zwischen menschlicher
Sehnsucht, menschlichem Bedürfnis und
menschlichem Ideale, ja sogar der
einfach-natürlichen menschlichen
Lebenshaltung, und dem, was für alle
Menschen das Leben in seiner Realität
heute bietet, in der mannigfaltigsten
Weise die Unangemessenheit des sozialen
Denkens in bezug auf die industrielle
Tätigkeit ausprägt. |