Maintenant s’offrit encore quelque
chose d’autre à lui. Un homme qui
avait beaucoup à faire avec le système
des chemins de fer, reconnu ce qui
était plein de talent chez le jeune
homme et lui fait un jour la
propositions suivante. Il lui dit, il
devrait reprendre cinq cent dollars
d’action des chemins de fer, qui
seraient tout de suite devenues
libres. Il pourrait gagner beaucoup,
s'il effectuerait une telle chose. Et
maintenant Carnegie raconte – c’est
charmant comment il raconte cela - ,
comment, en fait par l’attention et
l’amour de sa mère, il rassembla cinq
cent dollars, et comment il s'acheta
ses actions. Lorsque le premier
bénéfice vint, le premier versement de
plus de cinq dollars, là il sorti avec
ses compagnons dans la forêt.
Ils contemplèrent/regardèrent le
virement et se firent des pensées et
reconnurent qu’il y a encore quelque
chose d’autre que d’être rémunéré pour
le travail, quelque chose qui, de
l’argent, fait de l’argent. Cela
éveilla de grands points de vue dans
la vie de Carnegie. Il grandit avec
cela dans le train de base de notre
temps.
Ainsi nous voyons comment il avait
aussitôt de la compréhension quand une
autre proposition vient. Il est décrit
comment avec une pleine présence
d’esprit, il saisi ce qui pour la
première fois se présente devant son
âme. Une tête inventive lui montre le
modèle du premier wagon-lit. Aussitôt
il reconnait que quelque chose
d’énormément fructueux est là dedans,
ainsi qu’il y participe.
Maintenant, il met de nouveau en
avant, ce par quoi en fait sa
conscience a grandie. Il n'avait pas
assez d'argent pour participer de
manière appropriée à l’entreprise de
la première compagnie de wagon-lits du
monde. Mais sa tête géniale
effectua qu'il reçu déjà effectivement
de l'argent d'une banque : il établit
là son premier effet (NDT lettre de
change). Ce n'est rien de
spécial, dit-il, mais c'est quelque
chose de spécial qu'il trouve un
banquier qui prend cet effet pour
«bon». Et c'était le cas. Maintenant
il avait seulement besoin
d’édifier cela pour devenir
entièrement l’homme du présent. C’est
pourquoi nous n’avons pas à nous
émerveiller que, lorsque lui vint la
pensée, de remplacer les nombreux
ponts de bois par des ponts de fer et
d’acier, à partir de cet instant, il
devint le grand homme de
l’acier ; l’homme qui, en une
certaine relation, donna le ton
jusqu’à aujourd’hui pour l’industrie
de l’acier et a acquis la richesse non
comptée.
Ainsi nous voyons en lui tout de suite
le type de l’humain qui grandi dans le
présent, le présent, qui déploie la
vie extérieure. Il grandit dans la
plus extérieure extériorité. Mais il
grandit dedans par sa propre force,
par ses facultés. Il devient un humain
incommensurable riche à partir du
besoin et de la misère, en ce qu’il
s’est tout acquis lui-même du premier
dollar. Et il est un humain réfléchi
qui, aussi de son côté, amène cette
entière impulsion de sa propre vie en
pendant avec le progrès et la vie de
l’humanité entière .
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Jetzt
bot sich ihm noch etwas anderes. Ein
Mann, der viel mit dem Eisenbahnwesen zu
tun hatte, erkennt das Talentvolle an
dem jungen Mann und macht ihm eines
Tages folgenden Vorschlag. Er sagte ihm,
er solle für fünfhundert Dollar
Eisenbahnaktien übernehmen, die gerade
freigeworden seien. Er könne da viel
gewinnen, wenn er diese Dinge betreibe.
Und nun erzählt Carnegie - es ist
entzückend, wie er dies erzählt - , wie
er tatsächlich durch die Sorgfalt und
Liebe seiner Mutter fünfhundert Dollar
aufbrachte, und wie er sich seine Aktien
kaufte. Als das erste Erträgnis kam, die
erste Anweisung über fünf Dollar, da
ging er mit seinen Gefährten hinaus in
den Wald. Sie betrachteten die Anweisung
und machten sich Gedanken und lernten
erkennen, daß es noch etwas anderes gibt
als für Arbeit entlohnt zu werden,
etwas, das aus Geld Geld macht. Das
erweckte große Gesichtspunkte in
Carnegies Leben. Er wuchs damit in den
Grundzug unserer Zeit hinein.
So sehen wir, wie er gleich Verständnis
hatte, als ein anderer Vorschlag kommt.
Es ist bezeichnend, wie er mit völliger
Geistesgegenwart erfaßt, was zum ersten
Male vor seiner Seele auftritt. Ein
erfinderischer Kopf zeigt ihm dasModell
des ersten Schlafwagens. Sogleich
erkennt er, daß da etwas ungeheuer
Fruchtbringendes darinnen ist, so daß er
sich daran beteiligt.
Nun hebt er wieder hervor, wodurch
dieses sein Bewußtsein eigentlich wuchs.
Er hatte nicht genug Geld, um in
entsprechender Weise sich an dem
Unternehmen der ersten
Schlafwagengesellschaft der Welt zu
beteiligen. Aber sein genialer Kopf
bewirkte es, daß er tatsächlich jetzt
schon bei einer Bank Geld bekam: er
stellte da seinen ersten Wechsel aus.
Das ist nichts Besonderes, sagt er, aber
das ist etwas Besonderes, daß er einen
Bankier findet, der diesen Wechsel für
«gut» nimmt. Und das war der Fall.
Jetzt brauchte er das nur auszubauen, um
ganz der Mann der Gegenwart zu werden.
Daher brauchen wir uns nicht zu wundern,
daß er, als ihm der Gedanke kam, die
vielen Holzbrücken durch Eisen- und
Stahlbrücken zu ersetzen, von diesem
Augenblick an der große Stahlmann wurde,
der Mann, der bis heute in gewisser
Beziehung den Ton angab für die
Stahlindustrie und der ungezählte
Reichtümer erworben hat.
So sehen wir in ihm geradezu den Typ des
Menschen, der in die Gegenwart
hineinwächst, die Gegenwart, die das
äußerlichste Leben entfaltet. In das
Alleräußerlichste der Äußerlichkeit
wächst er hinein. Aber er wächst hinein
durch seine eigene Kraft, durch seine
Fähigkeiten. Er wird zum unermeßlich
reichen Menschen aus der Not und dem
Elend heraus, indem er sich wirklich vom
ersten Dollar an alles selber erworben
hat. Und er ist ein nachdenklicher
Mensch, der diesen ganzen Impuls seines
eigenen Lebens auch seinerseits mit dem
Fortschritt und dem Leben der ganzen
Menschheit in Zusammenhang bringt. |