Que s'est-il passé quand un humain
des temps anciens du monde est entré
dans le sommeil avec son âme ? Là
il était encore toujours quelque
chose, car il avait ce qui plane
autour des choses dont on dit
aujourd'hui que c'était un fantasme.
Il le portait dans le sommeil. Là,
l'humain pouvait encore s'affirmer
lorsqu'il était hors du corps physique
en sommeil dans le "monde" spirituel.
Il était quelque chose dans le monde
spirituel entre s'endormir et se
réveiller. Il l'est beaucoup moins
aujourd'hui. Il sera presque
absorbé/aspiré par la spiritualité de
la nature lorsqu'il quitte son corps
lors de l'endormissement. Quand vous
regardez le monde correctement, il
vient immédiatement à votre âme. Vous
devriez seulement le voir, et vous
pourrez le voir si vous obtenez
vraiment un coup d'oeil/une vision
pour ces choses. Et l'humanité doit
s'obtenir une vision pour ces choses
parce que nous vivons à une époque où
ne pourra plus être prétendu que l'on
ne peut plus parler de l'esprit comme
des pierres et des animaux.
Alors, vous gagnerez la possibilité de
voir que quand César n'était pas très
obèse dans la vie physique :
quand son âme quittait le corps
pendant le sommeil, elle avait tout de
même une taille considérable - pas une
spatiale, mais une taille à la mesure
des sensations/sentiments. Son
âme était imposante. Aujourd'hui,
peut-être un des banquiers les plus
épais : quand son âme se promène
vers le dehors dans le sommeil et
s'élève dans la spiritualité de la
nature, là vous devriez seulement voir
ce qu’il devient comme horrible et
maigre châssis. Il devient quelque
chose d'entièrement fluet. Depuis le
dernier tiers du dix-neuvième siècle
l'humanité souffre absolument d'une
sous-nutrition spirituelle.
L'intellect ne nourrit pas l'esprit.
Il le gonfle seulement. C’est pourquoi
l'humain ne prend pas de spiritualité
avec lui dedans le sommeil, et il sera
presque absorbé quand, entre
l'endormissement et l'éveil, il
dépasse dans la nature spirituelle
comme âme-squelette entièrement fine.
C'est pourquoi la question du
matérialisme aujourd'hui n'est
vraiment pas théorique. Rien n'est
moins important que la dispute
théorique entre le matérialisme, le
spiritualisme et l'idéalisme.
Aujourd'hui, ce sont des choses
entièrement dépourvues d'être, parce
qu'avec la réfutation du matérialisme,
rien n'est fait du tout. Nous pouvons
encore réfuter le matérialisme aussi
souvent aujourd'hui, rien n'en sort.
Car finalement, les raisons invoquées
pour réfuter le matérialisme sont tout
aussi matérialistes que celles
invoquées contre ou pour l'idéalisme.
Les réfutations théoriques ne
signifient pas que quelque chose a été
fait dans un sens ou dans l'autre,
mais qu'il est important que l'on ait
à nouveau de l'esprit dans toute la
façon dont on regarde le monde. C'est
par cela que nos concepts obtiennent à
nouveau un pouvoir nourricier pour les
êtres humains. Pour que ce soit
parfaitement clair pour vous, je
voudrais encore dire ce qui suit.
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Was geschah, wenn
ein Mensch der früheren Weltenzeiten
mit seiner Seele in den Schlaf
hineingekommen ist? Da war er noch
immer etwas, denn er hatte das, was
die Dinge umschwebt, wovon die
Menschen heute sagen, es sei eine
Phantasterei gewesen. Das trug er in
den Schlaf hinein. Da konnte der
Mensch sich noch behaupten, wenn er
außerhalb des physischen Leibes im
Schlafe in der geistigen "Welt war.
Er war früher etwas in der geistigen
Welt zwischen dem Einschlafen und
dem Aufwachen. Heute ist er viel
weniger. Er wird fast aufgesogen von
der Geistigkeit der Natur, wenn er
beim Einschlafen seinen Körper
verläßt. Beim richtigen Anschauen
der Welt tritt das sofort vor die
Seele. Sie sollten es nur sehen, und
Sie werden es sehen können, wenn Sie
sich wirklich ein Schauen für diese
Dinge erringen. Und die Menschheit
muß sich ein Schauen für diese Dinge
erringen, denn wir leben in einem
Zeitalter, wo nicht mehr behauptet
werden kann, daß man vom Geist nicht
reden kann wie von Steinen und
Tieren.
Dann werden Sie die Möglichkeit
gewinnen, zu sehen, daß wenn der
Cäsar auch nicht sehr beleibt war im
physischen Leben: wenn seine Seele
den Körper im Schlaf verließ, so
hatte sie immerhin eine ansehnliche
Größe - nicht eine räumliche,
sondern eine empfindungsmäßige
Größe. Seine Seele war stattlich.
Heute kann einer der dickste Bankier
sein: wenn seine Seele im Schlafe
herausspaziert und sich in der
Geistigkeit der Natur aufhält, da
sollten Sie nur sehen, ein wie
gräßlich dürres Gestell er wird. Er
wird etwas ganz Schmächtiges. Seit
dem letzten Drittel des neunzehnten
Jahrhunderts leidet eben die
Menschheit durchaus an geistiger
Unterernährung. Der Intellekt nährt
den Geist nicht. Er bläst ihn nur
auf. Daher nimmt der Mensch nichts
von Geistigkeit in den Schlaf hinein
mit, und er wird fast aufgesogen,
wenn er zwischen dem Einschlafen und
dem Aufwachen als ein ganz dünnes
Seelengerippe in die geistige Natur
hineinragt.
Daher ist die Frage nach dem
Materialismus heute wirklich keine
theoretische. Nichts ist weniger
wichtig als der theoretische Streit
zwischen Materialismus,
Spiritualismus und Idealismus. Das
sind heute ganz wesenlose Dinge,
denn mit dem Widerlegen des
Materialismus ist gar nichts getan.
Wir können heute noch so oft den
Materialismus widerlegen, es kommt
gar nichts dabei heraus. Denn
schließlich sind die Gründe, die man
zur Widerlegung des Materialismus
anführt, ebenso materialistisch wie
die, welche man gegen oder für den
Idealismus anführt. Mit
theoretischen Widerlegungen ist
heute weder nach der einen, noch
nach der anderen Richtung etwas
getan, sondern darauf kommt es an,
daß man in der ganzen Art, wie man
die Welt betrachtet, wiederum Geist
hat. Dadurch kriegen unsere Begriffe
wiederum nährende Kraft für den
Menschen. Ich möchte Ihnen, um Ihnen
das ganz klarzumachen, noch das
Folgende sagen.
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