Toutefois, on doit faire là une
remarque. Le poème est déjà d’une
époque où était présente la plus
ancienne, la plus pure intuition par
rapport au monde extérieur, dans
lequel on ne voulait déjà plus, par de
pures fonctions spirituelles de la
respiration, comme c’était courant
dans les anciens temps, où on ne
voulait plus sucer de l'inspiration,
ce qui alors donnait la vision des
lointains cosmiques, mais où - et cela
a été souvent labouré/soigné dans les
mystères tardifs - par une certaine
boisson que l’on préparait de plantes,
on voulait se stimuler pour regarder
vers l'extérieur ; ainsi qu’alors
plus tard, comme la vision intérieure
s’était perdue, on voulait se stimuler
intérieurement par la consommation
(NDT : das Geniesen : aussi
de savourer) de substances bien
déterminées. En Orient, on voulait se
stimuler par certains jus de plantes
pour la vision/contemplation du
macrocosme. En Occident, cela en vint
alors à ce qu'on voulait se stimuler
par des substances intérieures. En
Orient, on nomma ce par quoi on
voulait de nouveau, par des moyens
extérieurs, par l’ingestion de quelque
chose, se provoquer la capacité qui en
dernier reste était apparue par le
magicien, la boisson de Soma. En
Occident, jusque dans le Moyen Âge
tardif, oui encore jusque dans les
temps récents, on appelait ce qu’on
voulait prendre intérieurement pour
recevoir cette sagesse qui provoque la
perception interne, la pierre
philosophale. Vous trouverez partout
dans les livres utiles que vous voulez
enseigner sur l'orientalisme, partout
la référence à la boisson de soma, au
jus de soma. Toutes sortes
d'explications riches d’esprit se
trouvent là-dessus, parce que les
humains ne sont jamais rendus attentif
par la véritable sagesse d'initiation,
sur ce qu’est en fait
substantiellement la boisson de soma.
Justement ainsi, dans toutes sortes de
livres historiques, vous serez rendus
attentif qu’on ne sait donc pas quelle
substance est la pierre philosophale.
Toutefois, je n'ai pas non plus
l'intention de parler de ces deux
substances. J’aimerais seulement
indiquer sur ce qui est plein
d’humour : une certaine érudition
indique qu'on ne peut pas savoir ce
qu’est en fait le jus de Soma, bien
qu’un grand nombre de personnes boive
ce jus de Soma, comme est partagé dans
les chansons de Varuna, qu'il pousse
sur la montagne, et qu'ils en boivent
des litres. Et ainsi est aussi indiqué
qu'une certaine substance existe comme
la pierre philosophale qu’on ne
saurait en fait pas ce que les savants
alchimistes comprennent sous cette
pierre des sages, bien que les humains
des temps actuels brûlent aussi des
kilos de cette pierre des sages. Il
s'agit seulement de voir ces choses
dans la lumière correcte. C’est une
étrangeté que là sera en fait souvent
présenté comme hautement inconnu, ce
qui est très bien connu aux humains
parce qu'ils ne savent pas comment est
le pendant de leur manière actuelle de
voir avec ce qui est manière de voir
d’un temps reposant relativement peu
en arrière.
Mais nous devons justement nous rendre
cela absolument clair, que
fondamentalement, nous voyons
aujourd'hui dans le monde avec les
pires lunettes et ne connaissons pas
la signification du plus proche,
malgré notre formation scientifique,
ne connaissons pas les effets de
maintes substances que nous utilisons
dans la vie quotidienne. Nous nous
tenons dans ces effets, nous les
expérimentons.
Mais justement ainsi qu’aujourd'hui
l'érudition ne sait pas ce qu'est la
boisson de soma, comme elle ne sait
pas ce qu'est la pierre philosophale
(NDT lit. La pierre des sages), bien
qu’on puisse seulement trouver peu
d'humains qui ne connaissent pas très
bien les substances concernées - ils
ne savent seulement pas lesquelles
elles sont - tout aussi bien on peut
dire : les humains d'aujourd'hui
voient que maintes choses se déroulent
dans le trafic entre les banques et
les entreprises industrielles, et la
plupart des humains découpent leurs
coupons des papiers/des titres
concernés, qu'ils reçoivent, et ils
savent justement aussi peu, ce que
cela signifie en fait dans l'ensemble
du contexte social de la vie, comme
aussi ils ne savent justement pas
l'autre chose que j'ai mentionnée.
Il est étrange comment les gens
s'efforcent aujourd'hui de rester
superficiellement dans ces concepts
flottants, comme ils ne veulent pas se
plonger d'un côté dans un nouvel
intérieur, émerger de l'autre, se
développer à un nouveau savoir
extérieur. De sentiments obscurs,
l’humain s’extrait parfois ce que
veulent en fait la plupart des humains
dans l'inconscient, mais ils reculent
d’effroi devant élever ce vouloir dans
la conscience.
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Allerdings muß man
da eine Anmerkung machen. Das
Gedicht ist schon aus einer Zeit, in
der nicht mehr die urälteste,
reinste Anschauung vorhanden war in
bezug auf die äußere Welt, in der
man schon nicht mehr durch rein
geistige Verrichtungen des Atmens,
wie es in der alten Zeit üblich war,
wo man nicht aus der Einatmung
ersaugen wollte, was dann die
Anschauung ergab der Weltenweiten,
sondern wo man - und das wurde
vielfach in den Spätmysterien
gepflogen - durch einen gewissen
Trank, den man aus Pflanzen
bereitete, sich anregen wollte, nach
außen zu schauen; so wie man dann
später, als die innere Anschauung
verlorengegangen war, durch Genießen
von ganz bestimmten
Substanzen innerlich sich anregen
wollte. Im Orient wollte man sich
durch gewisse Pflanzensäfte für die
äußere Anschauung des Makrokosmos
anregen. Im Abendlande kam es dann
auf, daß man sich durch innere
Substanzen anregen wollte. Im
Morgenlande nannte man dasjenige,
wodurch man wieder durch äußere
Mittel, durch Einnehmen von etwas,
die Fähigkeit heraufbeschwören
wollte, die im letzten Reste durch
den Magier erschienen war, den
Somatrank. Im Abendlande, bis ins
späte Mittelalter herein, ja noch
bis in die neuere Zeit nannte man
das, was man innerlich einnehmen
wollte, um jene Weisheit zu
bekommen, die innerliche Wahrnehmung
hervorruft, den Stein der Weisen.
Sie werden in den gebräuchlichen
Büchern, die Sie über den
Orientalismus unterrichten wollen,
überall den Hinweis auf den
Somatrank, auf den Somasaft finden.
Allerlei sehr geistvolle Erklärungen
finden sich darüber, weil die
Menschen von der wirklichen
Initiationsweisheit aus niemals
darauf aufmerksam gemacht sind, was
nun der Somatrank substantiell
eigentlich ist. Ebenso werden Sie in
allerlei historischen Büchern darauf
hingewiesen, daß man ja nicht weiß,
welche Substanz der Stein der Weisen
ist. Allerdings habe ich auch nicht
gerade vor, von diesen beiden
Substanzen zu sprechen. Ich möchte
nur auf das Humorvolle hindeuten,
daß eine gewisse Gelehrsamkeit
darauf hinweist, daß man nicht
wissen könne, was eigentlich der
Somasaft ist, trotzdem eine große
Anzahl von Menschen diesen Somasaft,
der, wie das hier im Liede des
Varuna mitgeteilt ist, auf dem Berge
wächst, literweise trinken. Und so
wird auch hingewiesen darauf, daß
eine gewisse Substanz als der Stein
der Weisen existiert, daß man nicht
eigentlich wisse, was die gelehrten
Alchimisten unter diesem Stein der
Weisen verstehen, obwohl die
Menschen auch der heutigen Zeit
kiloweise diesen Stein der Weisen
verbrennen. Es handelt sich nur
darum, diese Dinge in dem richtigen
Lichte zu sehen. Es ist ein
Merkwürdiges, daß da eigentlich
oftmals als etwas höchst Unbekanntes
hingestellt wird, was den Menschen
sehr bekannt ist, weil sie nicht
wissen, wie der Zusammenhang ihrer
heutigen Anschauungsweise ist mit
dem, was Anschauungsweise einer
verhältnismäßig kurz zurückliegenden
Zeit ist.
Aber das müssen wir uns eben
durchaus klarmachen, daß wir im
Grunde genommen heute mit den
schlimmsten Brillen in die Welt
sehen und die Bedeutung des
Allernächsten trotz unserer
wissenschaftlichen Ausbildung nicht
kennen, nicht kennen die Wirkungen
mancher Substanzen, die wir im
alltäglichen Leben anwenden. Wir
stehen in diesen Wirkungen drinnen,
wir erleben sie.
Aber ebenso wie heute die
Gelehrsamkeit nicht weiß, was der
Somatrank ist, wie sie nicht weiß,
was der Stein der Weisen ist,
trotzdem man nur wenige Menschen
finden kann, die die betreffenden
Substanzen nicht ganz gut kennen
-sie wissen nur nicht, welche es
sind —, ebensogut kann man sagen:
Die Menschen von heute sehen, daß
sich manches vollzieht in dem
Verkehr zwischen den Banken und den
Industrieunternehmungen, und die
meisten Menschen schneiden ihre
Coupons ab von den betreffenden
Papieren, die sie bekommen, und sie
wissen ebensowenig, was eigentlich
das im ganzen sozialen Zusammenhang
des Lebens bedeutet, wie sie auch
das andere eben Angeführte nicht
wissen.
Es ist merkwürdig, wie die
Menschen heute danach streben,
innerhalb dieser an der Oberfläche
schwimmenden Begriffe zu bleiben,
wie sie nicht wollen untertauchen
auf der einen Seite in ein neues
Inneres, auftauchen auf der anderen
Seite, aufstreben nach einem neuen
äußeren Wissen. Aus dunklen Gefühlen
ringt sich dem Menschen manchmal das
heraus, was im Unbewußten die
meisten Menschen eigentlich schon
wollen, aber sie schrecken zurück
vor dem Erheben dieses Wollens in
das Bewußtsein.
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