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Institut pour une tri-articulation sociale
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Collection 204  :

Banquiers, banque,... banqueroutes.




La découpe de coupons de titres bancaires fait l'objet de la même ignorance que devant la boisson de soma ou la pierre philosophale.
 Das Schneiden von Coupons von Bankwertpapieren unterliegt der gleichen Unwissenheit wie vor dem Soma-Getränk oder dem Stein der Weisen.

 


 

Les références Rudolf Steiner Œuvres complètes ga 202 270-272 (1993) 26/12/1920

Original





Traducteur: FG v.01 - 05/05 /2020 Éditeur: SITE

Toutefois, on doit faire là une remarque. Le poème est déjà d’une époque où était présente la plus ancienne, la plus pure intuition par rapport au monde extérieur, dans lequel on ne voulait déjà plus, par de pures fonctions spirituelles de la respiration, comme c’était courant dans les anciens temps, où on ne voulait plus sucer de l'inspiration, ce qui alors donnait la vision des lointains cosmiques, mais où - et cela a été souvent labouré/soigné dans les mystères tardifs - par une certaine boisson que l’on préparait de plantes, on voulait se stimuler pour regarder vers l'extérieur ; ainsi qu’alors plus tard, comme la vision intérieure s’était perdue, on voulait se stimuler intérieurement par la consommation (NDT : das Geniesen : aussi de savourer) de substances bien déterminées. En Orient, on voulait se stimuler par certains jus de plantes pour la vision/contemplation du macrocosme. En Occident, cela en vint alors à ce qu'on voulait se stimuler par des substances intérieures. En Orient, on nomma ce par quoi on voulait de nouveau, par des moyens extérieurs, par l’ingestion de quelque chose, se provoquer la capacité qui en dernier reste était apparue par le magicien, la boisson de Soma. En Occident, jusque dans le Moyen Âge tardif, oui encore jusque dans les temps récents, on appelait ce qu’on voulait prendre intérieurement pour recevoir cette sagesse qui provoque la perception interne, la pierre philosophale. Vous trouverez partout dans les livres utiles que vous voulez enseigner sur l'orientalisme, partout la référence à la boisson de soma, au jus de soma. Toutes sortes d'explications riches d’esprit se trouvent là-dessus, parce que les humains ne sont jamais rendus attentif par la véritable sagesse d'initiation, sur ce qu’est en fait substantiellement la boisson de soma. Justement ainsi, dans toutes sortes de livres historiques, vous serez rendus attentif qu’on ne sait donc pas quelle substance est la pierre philosophale. Toutefois, je n'ai pas non plus l'intention de parler de ces deux substances. J’aimerais seulement indiquer sur ce qui est plein d’humour : une certaine érudition indique qu'on ne peut pas savoir ce qu’est en fait le jus de Soma, bien qu’un grand nombre de personnes boive ce jus de Soma, comme est partagé dans les chansons de Varuna, qu'il pousse sur la montagne, et qu'ils en boivent des litres. Et ainsi est aussi indiqué qu'une certaine substance existe comme la pierre philosophale qu’on ne saurait en fait pas ce que les savants alchimistes comprennent sous cette pierre des sages, bien que les humains des temps actuels brûlent aussi des kilos de cette pierre des sages. Il s'agit seulement de voir ces choses dans la lumière correcte. C’est une étrangeté que là sera en fait souvent présenté comme hautement inconnu, ce qui est très bien connu aux humains parce qu'ils ne savent pas comment est le pendant de leur manière actuelle de voir avec ce qui est manière de voir d’un temps reposant relativement peu en arrière.
Mais nous devons justement nous rendre cela absolument clair, que fondamentalement, nous voyons aujourd'hui dans le monde avec les pires lunettes et ne connaissons pas la signification du plus proche, malgré notre formation scientifique, ne connaissons pas les effets de maintes substances que nous utilisons dans la vie quotidienne. Nous nous tenons dans ces effets, nous les expérimentons.
Mais justement ainsi qu’aujourd'hui l'érudition ne sait pas ce qu'est la boisson de soma, comme elle ne sait pas ce qu'est la pierre philosophale (NDT lit. La pierre des sages), bien qu’on puisse seulement trouver peu d'humains qui ne connaissent pas très bien les substances concernées - ils ne savent seulement pas lesquelles elles sont - tout aussi bien on peut dire : les humains d'aujourd'hui voient que maintes choses se déroulent dans le trafic entre les banques et les entreprises industrielles, et la plupart des humains découpent leurs coupons des papiers/des titres concernés, qu'ils reçoivent, et ils savent justement aussi peu, ce que cela signifie en fait dans l'ensemble du contexte social de la vie, comme aussi ils ne savent justement pas l'autre chose que j'ai mentionnée.
Il est étrange comment les gens s'efforcent aujourd'hui de rester superficiellement dans ces concepts flottants, comme ils ne veulent pas se plonger d'un côté dans un nouvel intérieur, émerger de l'autre, se développer à un nouveau savoir extérieur. De sentiments obscurs, l’humain s’extrait parfois ce que veulent en fait la plupart des humains dans l'inconscient, mais ils reculent d’effroi devant élever ce vouloir dans la conscience.

Allerdings muß man da eine Anmerkung machen. Das Gedicht ist schon aus einer Zeit, in der nicht mehr die urälteste, reinste Anschauung vorhanden war in bezug auf die äußere Welt, in der man schon nicht mehr durch rein geistige Verrichtungen des Atmens, wie es in der alten Zeit üblich war, wo man nicht aus der Einatmung ersaugen wollte, was dann die Anschauung ergab der Weltenweiten, sondern wo man - und das wurde vielfach in den Spätmysterien gepflogen - durch einen gewissen Trank, den man aus Pflanzen bereitete, sich anregen wollte, nach außen zu schauen; so wie man dann später, als die innere Anschauung verlorengegangen war, durch Genießen von ganz bestimmten
Substanzen innerlich sich anregen wollte. Im Orient wollte man sich durch gewisse Pflanzensäfte für die äußere Anschauung des Makrokosmos anregen. Im Abendlande kam es dann auf, daß man sich durch innere Substanzen anregen wollte. Im Morgenlande nannte man dasjenige, wodurch man wieder durch äußere Mittel, durch Einnehmen von etwas, die Fähigkeit heraufbeschwören wollte, die im letzten Reste durch den Magier erschienen war, den Somatrank. Im Abendlande, bis ins späte Mittelalter herein, ja noch bis in die neuere Zeit nannte man das, was man innerlich einnehmen wollte, um jene Weisheit zu bekommen, die innerliche Wahrnehmung hervorruft, den Stein der Weisen. Sie werden in den gebräuchlichen Büchern, die Sie über den Orientalismus unterrichten wollen, überall den Hinweis auf den Somatrank, auf den Somasaft finden. Allerlei sehr geistvolle Erklärungen finden sich darüber, weil die Menschen von der wirklichen Initiationsweisheit aus niemals darauf aufmerksam gemacht sind, was nun der Somatrank substantiell eigentlich ist. Ebenso werden Sie in allerlei historischen Büchern darauf hingewiesen, daß man ja nicht weiß, welche Substanz der Stein der Weisen ist. Allerdings habe ich auch nicht gerade vor, von diesen beiden Substanzen zu sprechen. Ich möchte nur auf das Humorvolle hindeuten, daß eine gewisse Gelehrsamkeit darauf hinweist, daß man nicht wissen könne, was eigentlich der Somasaft ist, trotzdem eine große Anzahl von Menschen diesen Somasaft, der, wie das hier im Liede des Varuna mitgeteilt ist, auf dem Berge wächst, literweise trinken. Und so wird auch hingewiesen darauf, daß eine gewisse Substanz als der Stein der Weisen existiert, daß man nicht eigentlich wisse, was die gelehrten Alchimisten unter diesem Stein der Weisen verstehen, obwohl die Menschen auch der heutigen Zeit kiloweise diesen Stein der Weisen verbrennen. Es handelt sich nur darum, diese Dinge in dem richtigen Lichte zu sehen. Es ist ein Merkwürdiges, daß da eigentlich oftmals als etwas höchst Unbekanntes hingestellt wird, was den Menschen sehr bekannt ist, weil sie nicht wissen, wie der Zusammenhang ihrer heutigen Anschauungsweise ist mit dem, was Anschauungsweise einer verhältnismäßig kurz zurückliegenden Zeit ist.
Aber das müssen wir uns eben durchaus klarmachen, daß wir im Grunde genommen heute mit den schlimmsten Brillen in die Welt sehen und die Bedeutung des Allernächsten trotz unserer wissenschaftlichen Ausbildung nicht kennen, nicht kennen die Wirkungen mancher Substanzen, die wir im alltäglichen Leben anwenden. Wir stehen in diesen Wirkungen drinnen, wir erleben sie.
Aber ebenso wie heute die Gelehrsamkeit nicht weiß, was der Somatrank ist, wie sie nicht weiß, was der Stein der Weisen ist, trotzdem man nur wenige Menschen finden kann, die die betreffenden Substanzen nicht ganz gut kennen -sie wissen nur nicht, welche es sind —, ebensogut kann man sagen: Die Menschen von heute sehen, daß sich manches vollzieht in dem Verkehr zwischen den Banken und den Industrieunternehmungen, und die meisten Menschen schneiden ihre Coupons ab von den betreffenden Papieren, die sie bekommen, und sie wissen ebensowenig, was eigentlich das im ganzen sozialen Zusammenhang des Lebens bedeutet, wie sie auch das andere eben Angeführte nicht wissen.
 Es ist merkwürdig, wie die Menschen heute danach streben, innerhalb dieser an der Oberfläche schwimmenden Begriffe zu bleiben, wie sie nicht wollen untertauchen auf der einen Seite in ein neues Inneres, auftauchen auf der anderen Seite, aufstreben nach einem neuen äußeren Wissen. Aus dunklen Gefühlen ringt sich dem Menschen manchmal das heraus, was im Unbewußten die meisten Menschen eigentlich schon wollen, aber sie schrecken zurück vor dem Erheben dieses Wollens in das Bewußtsein.