Supposons maintenant qu’une âme
devenue clairvoyante porterait cette
motivation/cet instinct dans son corps
éthérique par-dessus dans le monde
physique-sensoriel. Alors ce corps
éthérique avec sa tendance à la
mobilité est pour ainsi dire plus
lâche dans le corps physique, et comme
âme humaine, on tombe par cela, par
les forces de son corps éthérique,
dans une contradiction avec les
exigences du monde physique, qui veut
nous marquer d'une personnalité
déterminée parce que le corps
éthérique qui veut se mouvoir libre,
alors, quand il franchit au retour le
seuil du monde spirituel au monde
physique-sensoriel de manière non
correcte, veut à tout instant être
quelque chose d’autre, quelque chose,
qui peut être en contradiction avec
la forte marque du corps
physique. Pour l’exprimer quelque peu
plus exactement, en vertu du corps
physique, on peut disons, être un
employé de banque européen, mais
parce que le corps éthérique a
transporté l'instinct à la libération
du corps physique dans le monde
physique, on peut s’imaginer qu’on
serait l’empereur de Chine. Ou pour
utiliser un autre exemple, on peut,
disons, être président dans la société
théosophique, et, quand le corps
éthérique est devenu plus lâche (NDT
au sens de détaché) s’imaginer, qu’on
se serait tenu debout devant le
directeur du Globus. Là nous voyons
comment de manière décisive devra être
respecté le seuil qui se donne
exactement entre le monde sensoriel et
supra-sensoriel ; comment on doit
saisir des yeux de l’âme les exigences
d’un tel monde et comment on doit
s’adapter à ces exigences ;
comment l’âme doit se comporter
autrement, selon qu’elle se tient de
ce côté ou au-delà du seuil. Cela est
donc toujours pendant avec ce qu’on
accentue toujours et toujours à
nouveau, les habitudes des mondes
supra-sensibles n’auraient pas la
permission d'être reportées de manière
non correcte dans le monde sensible,
quand repasse par-dessus le seuil.
Quand j’ai la permission de
m’autoriser à m’exprimer faussement,
ainsi je peux dire : on doit
comprendre à se comporter de manière
correcte dans les deux mondes, on n’a
pas la permission de transférer
l’observer qui est correct d'un monde
dans l’autre.
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Nehmen wir nun an,
eine hellsichtig gewordene Seele
trüge in ihrem Ätherleib diesen
Trieb zur Verwandlungsfähigkeit in
die physisch-sinnliche Welt herüber.
Dann ist dieser Ätherleib mit seiner
Tendenz zur Beweglichkeit gleichsam
locker im physischen Leib darinnen,
und man gerät dadurch als
Menschenseele durch die Kräfte
seines Ätherleibes in einen
Widerspruch mit den Anforderungen
der physischen Welt, die einen zu
einer bestimmten Persönlichkeit
prägen will, weil der Ätherleib, der
sich frei bewegen will, dann, wenn
er die Schwelle von der geistigen
Welt zur physisch-sinnlichen Welt in
unrichtiger Weise
zurücküberschreitet, alle
Augenblicke etwas anderes sein will,
etwas, was in Widerspruch stehen
kann mit der festen Prägung des
physischen Leibes. Um es etwas
exakter auszudrücken, man kann
vermöge des physischen Leibes, sagen
wir, ein europäischer Bankbeamter
sein, aber weil der Ätherleib den
Trieb zur Befreiung vom physischen
Leib herübergetragen hat in die
physische Welt, kann man sich
einbilden, man sei der Kaiser von
China. Oder, um ein anderes Beispiel
zu gebrauchen, kann man, sagen wir,
Präsident in der Theosophischen
Gesellschaft sein, und, wenn der
Ätherleib locker geworden ist, sich
einbilden, man sei vor dem Direktor
des Globus gestanden. Da sehen wir,
wie in der entschiedensten Weise
beachtet werden muß die Schwelle,
die sich zwischen der sinnlichen und
übersinnlichen Welt genau ergibt;
wie man die Anforderungen einer
jeglichen Welt ins Seelenauge fassen
muß und wie man sich anpassen muß
diesen Anforderungen; wie die Seele
anders sich verhalten muß, je
nachdem sie jenseits oder diesseits
der Schwelle steht. Das hängt also
damit zusammen, daß man immer und
immer wiederum betont, es dürfen
nicht in unrechtmäßiger Weise
zurückgetragen werden die
Gepflogenheiten der übersinnlichen
Welten in die sinnliche Welt, wenn
man zurückschreitet über die
Schwelle. Wenn ich mich flach
auszudrücken mir erlauben darf, so
kann ich sagen: Man muß sich in der
richtigen Weise in beiden Welten zu
benehmen verstehen, man darf nicht
das Beobachten, das in der einen
Welt richtig ist, in die andere
hinübertragen.
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