Il doit aussi toujours de nouveau
être indiqué sur ce que l'idée de
karma correctement saisie n’a pas la
permission d’être amenée en
contradiction avec la doctrine de la
rédemption telle qu'elle se trouve
dans le christianisme. J'ai d’ailleurs
déjà expliqué pour beaucoup d'entre
vous cette compatibilité de la
doctrine chrétienne de la rédemption
avec l'idée de karma, mais il y a
aussi de nouveaux auditeurs. On trouve
beaucoup de malentendus. Ils sont
souvent dus au fait que beaucoup,
qui parlent de la Théosophie,
n'en comprennent pas grand-chose.
Ainsi, il sera prétendu que le karma
signifie que l'humain devrait prendre
sur soi tous les effets de ses
actions. S'il avait fait quelque chose
de mal, ainsi il pourrait seulement se
racheter lui-même de ses fautes. De ce
point de vue, beaucoup de théosophes
expliquent qu'il n'y aurait rien sur
la pensée de la rédemption par le
Christ Jésus. La théosophie ne peut
accepter la rédemption par un autre
être, car l'humain devrait se racheter
lui-même. Les théologiens chrétiens
combattent à nouveau cela, en ce
qu'ils disent : Nous croyons en
la rédemption par Jésus-Christ, mais
vous croyez en l'auto-rédemption. Cela
ne s’unifie pas correctement. En cela,
le karma est une sorte de compte de
vie qui peut être comparé à un compte
commercial. D'un côté se trouvent les
postes débiteurs et de l'autre les
postes créditeurs. Ils sont
additionnés et le solde/le bilan est
tiré. Ce serait un homme d'affaires
étrange qui dirait : Je ne veux
plus faire d'affaires pour que mon
bilan ne soit pas reporté. - Comme à
chaque moment de la vie commerciale
une nouvelle affaire peut être
effectuée, ainsi un nouveau karma peut
être provoqué à tout moment par une
nouvelle action. Quand quelqu'un
pense : la souffrance qu'un
humain s'est attirée lui-même, il l'a
méritée lui-même, donc je n'ai pas la
permission de l'aider – c'est de la
folie. C'est tout de suite comme si on
disait à un commerçant qui est en
banqueroute : vingt mille marks
pourraient t'aider, mais si je te les
donnais, j’interférerais de manière
gênante dans ton livre de
compte. - Ce ne serait
certainement pas le cas. La somme
prêtée a seulement été inscrite dans
le livre de compte. C'est aussi ainsi
avec la vie. Cela devra seulement être
compensé, mais ce ne devra pas
toujours être compensé par soi-même.
Karma ne veut pas dire la compensation
par soi-même, mais seulement l'être
compensé par un acte. Maintenant
supposez que vous seriez un homme
riche, puissant qui peut aider pas
seulement un, mais deux. Là vous
pouvez intervenir dans le karma de
deux. Tout de suite parce que le karma
existe, vous pouvez intervenir dans le
compte de vie de ces deux. Ainsi il y
a des humains qui peuvent aider trois,
quatre, cinq, même cent humains. De
tels humains ne diront pas : je
n'ai pas la permission d'aider
l'autre, parce que j'interviens dans
son karma. Beaucoup plus ils les
aideront. [118]
Une telle aide peut maintenant
accorder à chaque humain qui compte
sur lui (NDT : lit. se compte à
lui), un être puissant dans le sens le
plus élevé, qui est une fois apparu
dans le monde. C'est le Christ-Jésus.
Parce que le rachat est provoqué par
une certaine sorte de mal, il ne
contredit pas la loi du karma. La
rédemption par Christ-Jésus est
entièrement compatible avec la loi de
karma, justement ainsi que l'aide du
riche lors de la banqueroute du
commerçant. Les malentendus
proviennent de ce que les théosophes
ne comprenaient pas fondamentalement
le Karma et les théologiens ne se sont
pas souciés de cela. Tout de suite par
l'essentiel et l'important de l’acte
d'un être unique élevé sera confirmé
que la loi de karma existe. Quand ces
choses seront une fois correctement
comprises à l'avenir, il s'établira en
premier combien peu la Théosophie est
l'adversaire d'une quelque confession,
qui est construite sur une vraie
raison, et combien elle conduit en
premier à une véritable compréhension
de cette confession. Quand vous avez
pénétré ainsi la loi de karma dans
certains cas, vous sentirez que l'on
se penche sur une nécessité très
profonde à l’intérieur de la vie
spirituelle. La loi du karma a, bien
sûr, été saisie correctement seulement
par celui qui n'en fait pas purement
une connaissance théorique, mais
l'incorpore dans le monde entier des
sentiments et des sensations de son
être. Alors la sécurité intérieure et
l'harmonie se déversent sur toute
votre vie. Et ceux qui prétendent,
sans cesse de nouveau, que la loi de
karma conduirait à l'inactivité et à
la léthargie, qu'on s’abandonnerait à
son destin, qu'elle ne conduirait pas
à la joie de vivre et ainsi de suite,
ils n'ont pas encore essayé de vivre
avec la loi de karma. Vivre avec la
loi de karma signifie verser du
courage de vivre et de l'espoir dans
l'âme.
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Es muß auch immer
wieder darauf hingewiesen werden,
daß die richtig erfaßte Karmaidee
zur Erlösungslehre, wie sie sich im
Christentum findet, in keinen
Gegensatz gebracht werden darf. Zwar
habe ich für viele von Ihnen diese
Vereinbarkeit der christlichen
Erlösungslehre mit der Karmaidee
schon dargelegt, aber es sind ja
auch
neue Zuhörer da. Man findet viele
Mißverständnisse. Sie rühren
vielfach daher, daß viele über die
Theosophie reden, die nicht viel
davon verstehen. So wird behauptet,
Karma bedeute schlechthin, daß der
Mensch alle Wirkungen seiner Taten
auf sich nehmen müsse. Wenn er etwas
verbrochen habe, so könne er sich
nur selbst von seinen Sünden
erlösen. Von diesem Gesichtspunkte
aus erklären viele Theosophen, daß
es mit dem Erlösungsgedanken durch
den Christus Jesus nichts auf sich
hätte. Es könne die Theosophie nicht
eine Erlösung durch ein anderes
Wesen annehmen, denn der Mensch
müsse sich ja selbst erlösen.
Christliche Theologen bekämpfen das
wiederum, indem sie sagen: Wir
glauben an die Erlösung durch
Christus Jesus, ihr aber glaubt an
die Selbsterlösung. Das vereinigt
sich nicht recht. Indessen ist Karma
eine Art von Lebenskonto, das man
ganz gut mit einem kaufmännischen
Konto vergleichen kann. Auf der
einen Seite stehen die Sollposten
und auf der anderen die Habenposten.
Sie werden addiert und die Bilanz
wird gezogen. Es wäre ein
sonderbarer Kaufmann, der sagte: Ich
will keine Geschäfte mehr machen,
damit meine Bilanz nicht verschoben
wird. - So wie in jedem Moment des
kaufmännischen Lebens ein neues
Geschäft vollzogen werden kann, so
kann in jedem Moment durch eine neue
Tat ein neues Karma herbeigeführt
werden. Wenn jemand meint: Das
Leiden hat ein Mensch sich selbst
zugezogen, er hat es selber
verdient, also darf ich ihm nicht
helfen - , so ist das Torheit. Das
ist gerade so, als ob man zu einem
Kaufmann, der bankrott ist, sagte:
Zwanzigtausend Mark würden dir
helfen, aber wenn ich sie dir gäbe,
würde ich ja in dein Kontobuch
störend eingreifen. - Das wäre
sicher nicht der Fall. Die geliehene
Summe würde nur in das Kontobuch
eingeschrieben werden. So ist es
auch mit dem Leben. Es muß nur
ausgeglichen werden, aber es muß
nicht immer von einem selbst
ausgeglichen werden.
Karma besagt nicht das
Selbstausgleichen, sondern nur das
Ausgeglichenwerden durch eine Tat.
Nun nehmen Sie an, Sie seien ein
reicher, mächtiger Mann, der nicht
nur einem, sondern zweien helfen
kann. Dann können Sie in das Karma
von zweien eingreifen. Gerade weil
Karma besteht, können Sie in das
Lebenskonto dieser beiden
eingreifen. So gibt es Menschen, die
drei, vier, fünf, ja sogar Hunderten
helfen können. Solche Menschen
werden nicht sagen: Ich darf den
anderen nicht helfen, weil ich in
ihr Karma eingreife. - Sie werden
ihnen vielmehr helfen.
Eine solche Hilfe kann nun ein im
höchsten Sinne mächtiges Wesen, das
einmal in der Welt aufgetreten ist,
jenen Menschen, die sich zu ihm
rechnen, angedeihen lassen. Das ist
der Christus Jesus. Dadurch, daß die
Erlösung durch eine gewisse Art von
Übel herbeigeführt ist, widerspricht
sie nicht dem Karmagesetz. Die
Erlösung durch Christus Jesus ist
vollständig vereinbar mit dem
Karmagesetz, ebenso wie die Hilfe
des Reichen bei dem bankrotten
Kaufmann. Die Mißverständnisse
rühren davon her, daß die Theosophen
das Karma nicht gründlich verstanden
und die Theologen sich nicht darum
gekümmert haben. Gerade durch das
Wesentliche und Wichtige der Tat
eines einzelnen hohen Wesens wird
verbürgt, daß das Karmagesetz
besteht. Wenn diese Dinge einmal in
der Zukunft richtig verstanden
werden, wird sich erst
herausstellen, wie wenig die
Theosophie Gegnerin irgendeines
Bekenntnisses ist, das auf einem
wahren Grund gebaut ist, und wie
sehr sie erst zu einem wahren
Verständnis eines solchen
Bekenntnisses führt. Wenn Sie so das
Karmagesetz in einigen Fällen
überschaut haben, werden Sie fühlen,
daß man in eine ganz tiefe
Notwendigkeit innerhalb des
geistigen Lebens hineinschaut.
Richtig erfaßt hat das Karmagesetz
freilich erst derjenige, der es
nicht bloß zur theoretischen
Erkenntnis macht, sondern in die
ganze Empfindungs- und Gefühlswelt
seines Seins aufnimmt. Dann ergießt
sich innere Sicherheit und Harmonie
über das ganze Leben. Und
diejenigen, die immer und immer
wieder behaupten, das Karmagesetz
führe zur Untätigkeit und Lethargie,
es bewirke, daß man sichin sein
Schicksal ergäbe, es führe nicht zur
Lebensfroheit und dergleichen, die
haben es noch nicht versucht, mit
dem Karmagesetz zu leben. Mit dem
Karmagesetz zu leben, heißt
Lebensmut und Hoffnung in die Seele
eingießen.
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