Et la science de
l'esprit anthroposophique a la
permission, si je peux employer une
comparaison triviale, d'indiquer sur
ce qu’avec la représentation ordinaire
de matière et d'énergie dans
l’organisme humain, c’est comme quand
quelqu'un dirait quelque peu qu’il
aurait compté combien de billets on
porterait dans une banque, et combien
on en sortirait à nouveau, et si on
saisissait des yeux de longues
périodes de temps, alors ce seraient
bientôt beaucoup. On procède
aussi ainsi à l'étude de la loi de la
conservation de la matière et de
l'énergie : On voit que justement
tant d'énergies rentrent comme sortent
dans la matière. Mais, comme on
n’a pas le droit de supposer que dans
la banque, les billets de
banques, en tant que tels, seront
convertis, mais que là il devra
bien plus être fait du travail
autonome - les billets de
banque pourrons même y être
re-frappés/ré-estampés et de tous
nouveaux peuvent en sortir -, ainsi
c’est aussi dans l’organisme
humain : il se produit des
destructions de matière et de
force/énergie, et des créations de
matière et de force/énergie.
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Und anthroposophische
Geisteswissenschaft darf, wenn ich
einen trivialen Vergleich gebrauchen
darf, darauf hinweisen, daß es mit
der gewöhnlichen Vorstellung von
Stoff und Kraft im menschlichen
Organismus so ist, wie wenn jemand
etwa sagen würde, er habe abgezählt,
wieviele Banknoten man in eine Bank
trage und wieviele man wieder
heraustrage, und wenn man genug
große Zeiträume ins Auge fasse, so
seien es gleich viele. So verfährt
man auch bei dem Studium des
Gesetzes von der Erhaltung des
Stoffes und der Kraft: Man sieht,
daß ebensoviel Energien in den Stoff
hineingehen wie herausgehen. Aber
wie man nicht annehmen darf, daß in
der Bank die Banknoten als solche
umgewandelt werden, sondern vielmehr
dort selbständige Arbeit geleistet
werden muß - die Banknoten können
sogar umgeprägt werden und es können
ganz neue herauskommen —, so ist es
auch im menschlichen Organismus: Es
findet Stoff- und Kraftvernichtung,
Stoff- und Kraftschöpfung statt.
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