Vous voyez les conséquences de cet état
particulier partout depuis l'émergence
de la nouvelle science de l’esprit. Ceux
qui veulent sauver cette foi s’appellent
Laun, Niebergall et Gogarteny et je
pourrais vous raconter toute une série
de gens, Bruhn, Leesey, qui pensent là
que le domaine de la foi devra être
sauvé ; si là, la science envahi,
alors la chose devient grave. Donc, la
science, on lui laisse tout valoir, tout
aimerait lui aller, seulement ce que
nous voulons, cela nous l'appelons pour
cela autrement : foi/croyance.
- Eh bien, comme je l'ai dit, c'était la
loi de conservation de l'énergie, mais
qui est seulement un préjugé dogmatique,
maintenant un préjugé dogmatique de
science de la nature. Car pour finir,
qu'est-ce que cela signifie alors en
fait ? Voyez-vous, chacun peut
faire l'expérience, peut dire :
Oui, je me mets devant un bâtiment de
banque et observe combien d'argent sera
porté là-dedans et je m’en forme aussi
une statistique. Et alors j'observe
combien d'argent sera sorti, et m'en
fait aussi une statistique et je vois
quand même, que sera porté dehors le
même montant d'argent, qui a été porté
dedans. Maintenant je dois encore me
hisser à la représentation, que des
humains travaillent là-dedans ! Ce qui
sort est donc seulement l’argent
transformé. C’est purement la loi de la
constance de la grandeur de l’argent –
On a fait de très belles expériences,
qui donc, comme il semble, ont été
déployées sur des étudiants. On a
calculé l’énergie calorique de
l’alimentation et calculé ce que ces
gens ont fait, et on s’est correctement
calculé ce qui a été mangé vers dedans
et travaillé vers dehors : loi de
la conservation de l’énergie ! –
Sur rien d’autre repose cette loi de la
conservation de l’énergie que sur toute
une somme de tels préjugés. Et quand on
ne s’élèvera pas par-dessus cette loi de
la conservation de l’énergie, ainsi on
continuera d’éteindre le spirituel avec
cette loi de conservation de l’énergie.
Car cette loi de conservation de
l’énergie est la nidification de
l’intellect dans la nature extérieure et
la renonciation à l’animique/au
psychique/à ce qui est d'âme.
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Die Nachwirkung
dieses eigentümlichen Zustandes sehen
Sie ja überall seit dem Auftreten der
neueren Geisteswissenschaft. Es heißen
diejenigen, die diesen Glauben retten
wollen, Laun, Niebergall und Gogarteny
und ich könnte Ihnen eine ganze Reihe
von Leuten herzählen, Bruhn, Leesey
die da meinen, das Gebiet des Glaubens
muß gerettet werden; wenn die
Wissenschaft da einbricht, dann wird
die Sache schlimm. Also Wissenschaft,
man läßt ihr alles gelten, alles mag
ihr hingehen, nur das, was wir wollen,
das nennen wir dafür anders: Glaube.
- Nun, wie gesagt,
es war das Gesetz der Erhaltung der
Kraft, das aber nur ein dogmatisches,
jetzt ein
naturwissenschaftlich-dogmatisches
Vorurteil ist. Denn zum Schluß, was
bedeutet es denn eigentlich? Sehen
Sie, es kann jemand das Experiment
machen, kann sagen: Ja, ich stelle
mich vor ein Bankgebäude hin und
beobachte, wieviel Geld da
hineingetragen wird, und bilde mir
daraus eine Statistik. Und dann
beobachte ich, wieviel Geld
herausgetragen wird, und mache mir
auch darüber eine Statistik, und ich
sehe doch, dieselbe Menge Geld wird
herausgetragen, die hineingetragen
wurde. Jetzt soll ich noch zu der
Vorstellung mich aufschwingen, daß da
drinnen Menschen arbeiten! Was
herauskommt, ist ja nur das
umgewandelte Geld. Es ist ja rein das
Gesetz der Konstanz der Geldgröße. -
Man hat sehr schöne Experimente
gemacht, die ja, wie es scheint, auf
Studenten ausgedehnt wurden. Man hat
berechnet die Wärmeenergien der
Nahrung und hat berechnet, was diese
Leute getan haben, und hat richtig
sich errechnet, was hineingegessen und
hinausgearbeitet wurde: Gesetz der
Erhaltung der Kraft! - Auf nichts
anderem beruht dieses Gesetz der
Erhaltung der Kraft als auf einer
ganzen Summe von solchen Vorurteilen.
Und wenn man sich über dieses Gesetz
der Erhaltung der Kraft nicht erheben
wird, so wird man mit diesem Gesetz
der Erhaltung der Kraft das Geistige
weiter auslöschen. Denn dieses Gesetz
der Erhaltung der Kraft ist die
Einnistung des Intellekts in der
äußeren Natur und das Absehen vom
Seelischen
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