Quand on essaie de
discerner comment l'humain se tient
dans l'univers entier, il ne s'agit
pas seulement de regarder le spatial,
mais aussi le temporel. Celui qui suit
quelque peu l'évolution historique de
l'humanité trouvera que c’est une
particularité de la vision du monde
orientale de placer le spatial en
avant, toutefois pas ainsi que le
temporel en resterait complètement
ignoré ; mais l'espace se tient
au premier plan. Par contre, c'est la
vision particulière occidentale du
monde qui compte avec le temporel dans
une mesure très spéciale. Et tout de
suite la vue sur ce temporel dans
l'évolution de l'humanité, et de
l'univers absolument, est ce qui devra
être pris en compte avant toutes
choses dans une façon de voir correcte
sur la force du Christ. Mais alors, si
on veut reconnaître correctement la
puissance/force du Christ dans toute
sa signification dans l'évolution de
l'humanité et de la terre, alors on
doit pouvoir correctement placer
temporellement l’humain lui-même dans
tout l'univers. La croyance générale à
la loi de la conservation de l'énergie
empêche cela aujourd'hui, comme je
l'ai mentionné à plusieurs reprises,
et en particulier aussi celle à la loi
de conservation de la matière. Cette
loi de la conservation de l'énergie,
c’est donc cela avant toute chose, que
les humains aimeraient mettre ainsi
dans l'univers afin qu'en cela, cet
humain se tienne en fait seulement à
l'intérieur de cet univers comme un
produit de la nature. Il y a même déjà
des tentatives qui ont été faites pour
fonder comment la transmutation de ce
que l'homme prend comme nourriture par
la combustion passe en forces, et
comment alors la chaleur de la
combustion apparaissant dans l'être
humain et son autre force sinon se
donnent comme l’énergie convertie des
aliments. De telles tentatives ont
déjà été faites avec des étudiants
dans les temps récents. Elles sont
semblables aux pensées qui voulaient
se faire valoir quelque peu de la
manière suivante : on voit une
maison, entend que c'est une banque,
tente par une quelque manipulation de
compter tout l'argent qui sera rentré
dans cette banque, et compte alors
aussi tout l'argent qui sera de
nouveau sorti ; et on trouve que
c'est le même. Et on en
tire maintenant la
conclusion : donc, l'argent s'est
transformé là-dedans, ou est resté le
même, et dans cette maison de banque
ne sont pas d'employés, aucun humain.
Quelque chose comme ça est en effet le
caractère logique de la pensée
(NDT : littéralement :
logicité de la pensée), que tout ce
que l'humain ingère en soi pourrait à
nouveau se trouver dans les forces non
transformées de son réchauffement, son
activité. Là aussi, on n’a seulement
pas le courage, j’aimerais dire,
d'examiner vraiment une fois la
profondeur des pensées qui repose à la
base de ces principes modernes. On en
recevrait toutes sortes de choses si
on examinait ce qui figure dans la
soi-disant science du présent, sur sa
logique et notamment sur son caractère
de réalité.
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Wenn man versucht
zu erkennen, wie der Mensch im ganzen
Universum drinnensteht, so handelt es
sich darum, nicht nur das Räumliche
dabei ins Auge zu fassen, sondern auch
das Zeitliche. Wer die
Entwicklungsgeschichte der Menschheit
etwas verfolgt, wird finden, daß es
eine Eigentümlichkeit orientalischer
Weltanschauung ist, das Räumliche in
den Vordergrund zu stellen, allerdings
nicht so, daß das Zeitliche dabei ganz
unberücksichtigt bleibt; aber es steht
das Räumliche im Vordergrunde.
Dahingegen ist es das Eigentümliche
abendländischer Weltanschauung, mit
dem Zeitlichen in ganz besonderem Maße
zu rechnen. Und gerade der Hinblick
auf dieses Zeitliche in der
Entwickelung der Menschheit und des
Universums überhaupt ist dasjenige,
was bei einer richtigen Anschauung
über die Christus-Kraft vor allen
Dingen berücksichtigt werden muß. Dann
aber, wenn man die Christus-Kraft in
ihrer ganzen Bedeutung innerhalb der
Evolution der Menschheit und der Erde
richtig erkennen will, dann muß man
den Menschen selbst zeitlich richtig
in das ganze Universum hineinstellen
können. Daran hindert heute, wie ich
schon mehrfach erwähnte, der
allgemeine Glaube an das Gesetz von
der Erhaltung der Kraft und namentlich
auch an das Gesetz von der Erhaltung
des Stoffes. Dieses Gesetz von der
Erhaltung der Kraft, das ist es ja vor
allen Dingen, welches den Menschen so
in das Weltenall hineinstellen möchte,
daß dieser Mensch dabei eigentlich nur
wie ein Naturprodukt in diesem
Weltenall drinnensteht. Es sind ja
sogar schon Versuche gemacht worden zu
ergründen, wie die Umwandelung
desjenigen, was der Mensch aufnimmt
als Nahrung, durch die Verbrennung
geschieht in Kräfte, und wie die dann
in dem Menschen auftretende
Verbrennungswärme und seine sonstige
Kraft sich als die umgewandelte Kraft
der Nahrungsmittel ergibt. Solche
Versuche sind bereits in der neueren
Zeit mit Studenten gemacht worden. Sie
gleichen dem Gedanken, der etwa in der
folgenden Weise sich geltend machen
wollte: Man sieht ein Haus, hört, das
ist eine Bank, versucht durch
irgendwelche Manipulationen alles
Geld, welches hineingetragen wird in
diese Bank, zu zählen und zählt dann
auch alles dasjenige Geld, das
wiederum herausgetragen wird; und man
findet, daß das dasselbe ist. Und
jetzt zieht man daraus den Schluß:
also hat sich das Geld darinnen
umgewandelt, oder es ist das gleiche
geblieben, und es sind keine Beamten,
keine Menschen in diesem Bankhaus
drinnen. So ungefähr ist ja die
Logizität des Gedankens, daß man alles
dasjenige, was der Mensch in sich
hineinißt, in den umgewandelten
Kräften seiner Erwärmung, seiner
Betätigung wiederum finden könne. Man
hat auch da nur nicht den Mut,
wirklich einmal, ich möchte sagen, die
Gedankentiefe zu prüfen, die diesen
modernen Prinzipien zugrunde liegt.
Man würde gar mancherlei
herausbekommen, wenn man das, was in
der sogenannten Wissenschaft der
Gegenwart figuriert, auf seine
Logizität und namentlich auf seinen
Wirklichkeitscharakter hin prüfen
würde.
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