Aujourd'hui ne devrait être regardé que,
jusqu'en haut aux pouvoirs, ce que sont
les propriétés de ces entités. Nous
pouvons nous représenter comment
l'extérieur est l'expression de
l'intérieur. Quand ce qui sera dit ici
remplira de nouveau une fois l'être
humain, beaucoup de
choses changeront. Nous avons
atteint aujourd'hui un énorme niveau
plancher de la formation savante. Les
progrès extérieurs ne vont pas ensemble
avec la vie spirituelle ; cela
irait à la rencontre d'un énorme niveau
plancher si de telles vérités ne
devenaient familières, si avec elles la
science n'était pas éclairée. Les êtres
humains ne savent plus du tout où ils
devraient aller avec leur science
matérialiste. Il y a peu est paru un
livre de psychologie ; on n'a pas
le droit de croire qu'un tel livre
n'agit pas parce que l'auteur est encore
inconnu. Il est expliqué là-dedans que
la loi de conservation de l'énergie vaut
aussi pour l'âme, que des phénomènes
intérieurs de l'âme ne consisteraient
qu'en une transformation des aliments.
Il dit à peu près : « On sait
très certainement depuis dix ans que ce
qu'on décrit comme la loi de
conservation de l'énergie, est identique
avec l'effet du système nerveux ;
car on peut prouver, que tout ce que
l'humain absorbe en forme de force avec
les d'aliments, se recouvre complètement
avec ce qu'il fournit comme travail.
Parce qu'on peut exactement prouver que
cela se comporte ainsi dans l'humain
comme sinon dans le monde, ainsi il ne
peut pas du tout y avoir un être
psychique (NDT ou d'âme). Nous avons à
faire seulement avec une transformation
des aliments en forces, qui seront de
nouveau rendues au-dehors. »
Cela est une conclusion très
intelligente. On pourrait aussi bien
dire : devant une banque, deux
personnes comptent l'argent qui sera
porté dedans et dehors ; c'est
autant ; donc il n'y a pas
d'employés dans la banque. - Mais des
employés qui s'occupent de tout ne
sont-ils pas nécessaires malgré
cela ?
Au même niveau se tiennent l'avis de ce
psychologue et une grande partie de ce
qui figure aujourd'hui comme science. Où
conduirait une culture spirituelle, qui
pense si court, cela chacun peut se le
représenter, qui saisit seulement
quelque peu la chose des yeux. Il est
nécessaire d'avoir le savoir spirituel,
car la seule véritable impulsion pour
l'évolution de l'humanité est donnée
ici. Si l'humain ne parvient pas
derrière les phénomènes, le monde n'est
pas à comprendre. On doit venir aux
grandes lois englobantes, aux rapports
des êtres et des mondes.
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Es sollte heute nur das
betrachtet werden, was bis zu den
Gewalten hinauf die
Eigentümlichkeiten dieser
Wesenheiten sind. Wir können uns
vorstellen, wie das Äußere der
Ausdruck eines Inneren ist. Wenn
dies wieder einmal die Menschen
erfüllen wird, was hier gesagt wird,
wird sich manches ändern. Wir sind
jetzt bei einem ungeheuren Tiefstand
der gelehrten Bildung angelangt. Die
äußeren Fortschritte gehen nicht
zusammen mit dem geistigen Leben;
dieses würde einem ungeheuren
Tiefstand entgegengehen, wenn nicht
solche. Wahrheiten bekannt würden,
wenn mit ihnen nicht die
Wissenschaft durchleuchtet würde.
Die Menschen wissen gar nicht mehr,
wohin sie mit ihrer
materialistischen Wissenschaft
sollen. Es ist kürzlich ein
Psychologiebuch erschienen; man darf
nicht glauben, daß ein solches Buch
nicht wirkt, weil der Verfasser noch
unbekannt ist. Es wird darin
ausgeführt, daß das Gesetz der
Erhaltung der Kräfte auch für die
Seele gilt, daß innere Erscheinungen
der Seele nur aus einer Umwandlung
der Nahrungsmittel bestünden. Er
sagt ungefähr: «Man weiß seit zehn
Jahren ganz gewiß, daß dasjenige,
was man als Gesetz der Erhaltung der
Kraft bezeichnet, identisch ist mit
den Wirkungen des Nervensystemes;
denn man kann nachweisen, daß alles
das, was der Mensch in Form von
Kräften mit den Nahrungsmitteln
aufnimmt, sich vollständig mit dem
deckt, was er an Arbeit leistet. Da
man genau nachweisen kann, daß es
sich im Menschen geradeso verhält
wie sonst in der Welt, so kann es
ein seelisches Wesen gar nicht
geben. Wir haben es nur mit einer
Umwandlung der Nahrungsmittel in
Kräfte zu tun, die wieder nach Außen
abgegeben werden.»
Es ist das eine sehr
gescheite Schlußfolgerung. Ebensogut
könnte man sagen: Zwei Menschen vor
einer Bank zählen das Geld, das
herein- und hinausgetragen wird; es
ist gleich viel; also gibt es in der
Bank keine Beamten. - Sind aber
nicht trotzdem Beamte notwendig, die
alles besorgen?
Auf derselben Stufe steht
die Ansicht jenes Psychologen und
ein großer Teil dessen, was heute
als Wissenschaft figuriert. Wohin
eine geistige Kultur führen würde,
die so kurz denkt, das kann sich ein
jeder vorstellen, der die Sache nur
etwas ins Auge faßt. Es ist
notwendig, das geistige Wissen zu
haben, denn hier ist der einzige
wirkliche Impuls für die
Entwickelung der Menschheit gegeben.
Wenn der Mensch nicht hinter die
Erscheinungen kommt, ist die Welt
nicht zu begreifen. Man muß zu den
großen, umfassenden Gesetzen kommen,
zu den Zusammenhängen der Wesen und
Welten.
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