Maintenant
Albert Schweizer discute aussi encore le
rôle des sur-organisations dans notre
délabrement de la culture. Il pense, que
les rapports publics œuvrent aussi en
entravant la culture parce que partout
apparaîtraient des sur-organisations.
Aujourd’hui sont donc partout créées des
dispositions, des prescriptions, des
lois. On est dans une organisation avec
tout. Les humains vivent cela sans y
penser. Ils font aussi sans y penser.
Ils sont toujours organisés dans une
quelque chose, ainsi qu’Albert Schweizer
trouve qu’aussi cette
« sur-organisation » a
absolument œuvré comme entravant la
culture. "La terrible vérité, qui ne
devient pas plus légère mais plus lourde
avec les progrès de l'histoire et le
développement économique ne vint pas à
la parole". - "La banqueroute de l'État
de culture, qui devient de plus en plus
manifeste de décennie en décennie,
ruinera les humains modernes. La
démoralisation de l’individu par
l’ensemble est pleinement en cours.
Un non-libre, un non-collectionné, un
incomplet, un se perdant en absence
d’humanité, un donnant prix à la société
organisée de son autonomie spirituelle
et de son jugement moral, un faisant
l’expérience à chaque égard des entraves
de la mentalité culturelle : ainsi
l’humain moderne traçait son sombre
chemin en un temps sombre. Pour le
danger dans lequel il se trouvait, la
philosophie n'avait aucune
compréhension. Ainsi elle ne faisait
aucune tentative pour l’aider. Pas une
fois pour réfléchir avec lui sur ce qui
se passait ».
Dans le troisième chapitre, Albert
Schweitzer parle alors de ce qu’une
véritable culture devrait avoir un
caractère éthique de base.
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Nun
bespricht Albert Schweitzer auch noch
die Rolle der Überorganisation in
unserem Kulturverfall. Kulturhemmend,
meint er, wirken auch die öffentlichen
Verhältnisse dadurch, daß
Überorganisation überall aufträte. Es
werden ja heute überall organisierende
Verfügungen, Verordnungen, Gesetze
geschaffen. Man ist mit allem in einer
Organisation darinnen. Die Menschen
erleben das gedankenlos. Sie tun auch
gedankenlos. Sie sind immer in irgend
etwas organisiert, so daß Albert
Schweitzer findet, daß auch diese
«Überorganisation» durchaus
kulturhemmend gewirkt hat. «Die
furchtbare Wahrheit, daß mit dem
Fortschreiten der Geschichte und der
wirtschaftlichen Entwicklung die Kultur
nicht leichter, sondern schwerer wird,
kam nicht zu Worte.» - «Die furchtbare
Wahrheit, daß mit dem Fortschreiten der
Geschichte und der wirtschaftlichen
Entwicklung die Kultur nicht leichter,
sondern schwerer wird, kam nicht zu
Worte.» - «Der Bankerott des
Kulturstaates, der von Jahrzehnt zu
Jahrzehnt offenbarer wird, richtet den
modernen Menschen zugrunde. Die
Demoralisation des einzelnen durch die
Gesamtheit ist in vollem Gange.
Ein Unfreier, ein Ungesammelter,
ein Unvollständiger, ein sich in
Humanitätlosigkeit Verlierender, ein
seine geistige Selbständigkeit und sein
moralisches Urteil an die organisierte
Gesellschaft Preisgebender, ein in jeder
Hinsicht Hemmungen der Kulturgesinnung
Erfahrender: so zog der moderne Mensch
seinen dunklen Weg in dunkler Zeit. Für
die Gefahr, in der er sich befand, hatte
die Philosophie kein Verständnis. So
machte sie keinen Versuch, ihm zu
helfen. Nicht einmal zum Nachdenken über
das, was mit ihm vorging, hielt sie ihn
an.»
Im dritten Kapitel spricht dann Albert
Schweitzer davon, daß eine wirkliche
Kultur einen ethischen Grundcharakter
haben müßte.
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