triarticulation

Institut pour une triarticulation sociale
(contenu spécifique au site français)
Conditions d'utilisation.

Accueil

 

Deutsch EnglishDutchSkandinaviskFrançais ItalianoEspañolPortuguês (Brasileiro)Russisch
Recherche
 contact   BLOG  impressum 
Collection: 201 - La rente foncière / Die Grundrente
Impossible de parler valablement de formation de prix sans intégrer le rapport de propriété de chaque humain au moyen de production primordial ?  

 

 
Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA340 207-213 (2002) 06/08/1922

Original

Traducteur: FG Editeur: SITE

Ce dont il s'agit, dépend absolument de la masse de population à la surface du sol, donc aussi de ce que combien une certaine quantité de population peut faire ressortir de la surface de sol — car tout provient en définitive de la surface de sol. Considérez maintenant le cas hypothétique suivant : un quelque territoire (Tabeau 12) aurait, disons, trente-cinq millions d'habitants. - il est entièrement indifférent combien. Ce qui vaut pour un territoire économique fermé vaut également pour l'économie mondiale. En un moment quelconque, un territoire économique aurait trente-cinq millions d'habitants. Placez-vous l'hypothèse que ce serait ainsi que ces trente-cinq millions d'habitants devraient maintenant être amenés dans un état qui le plus possible est national-économiquement juste. Cela n'est pas exprimé tout à fait exactement et nettement, mais vous verrez bientôt ce que je comprends là-dessous. Que faudrait-il donc faire là si on voulait absolument que sur ce territoire, entre les trente-cinq millions, règne ce qui aboutit à des prix possibles ?
Alors vous devriez dans le moment, où vous commencez à transférer la vie de l’économie en une saine, donner à chaque humain individuel autant de la surface du sol — mais maintenant calculé sur une mesure de la fertilité et l’employabilité — qui signifie la totalité de la surface du sol rendant possible la production divisée par trente-cinq millions. Représentez-vous, chaque enfant recevrait simplement à sa naissance autant de surface de sol pour perpétuelle mise en valeur (Bearbeitung) : si chaque humain recevait à sa naissance tant et tant, alors apparaîtraient les prix qui absolument peuvent apparaître sur une telle surface, car les choses ont alors leur valeur d'échange évidente.


Mais, ce que je vous présente comme une hypothèse vous frappant curieusement, c'est donc en effet la réalité. Le processus d'économie nationale indépendant des humains, il fait cela dans le fait. Il le fait — maintenant , vous ne croirez donc pas que ce que je dis maintenant, je le pense autrement qu’imagé — en ce que dans ce processus économique national en fait, sont donc là les conditions, qui répartissent toute la surface du sol sur tant et tant d'humains, où alors les humains, doivent transformer ensuite en conséquence tout ce qui se prélève de sol; doivent en conséquence s'occuper plus loin, vous pouvez vous représenter toute la surface du sol répartie sur le nombre d’habitants, et que cela, comme un fait réel donne à chaque chose sa valeur d'échange, et vous pouvez comptabiliser quelque part les valeurs d'échange et l'expérience peut fournir de très forts rapprochements de ces valeurs. Mais si vous comparez cela alors avec notre réalité actuelle, alors vous trouverez que l'un a un prix loin au dessous, l’autre loin au dessus. Maintenant vous pouvez donc, si vous vous représentez, que quelque part apparaît une quelconque utopie, dans laquelle vous pouvez transplanter tellement d’enfants nouveau-nés, qui tout d'abord seront nourris par des anges, - mais vous leur donnez à chacun son lopin de terre – alors vous pouvez l’amener à ce que dès qu'ils pourront commencer à travailler, s'établissent des valeurs d’échange évidentes ! Quand alors, après un certain temps, d'autres prix sont là, alors l’un a dû enlever la chose à l’autre. Et cela c’est ce qui donne justement les différents mécontentements, que cela sera ressenti obscurément, qu’ici peut jouer dedans le processus d’économie nationale, quelque chose qui n’exprime pas du tout les prix réels.

Mais tout de suite par une pénétration de l'organisme d’économie nationale, avec une manière de penser qui est tenue dans le style que nous avons apposé à ces considérations, sera provoqué par les mesures elles-mêmes ce que j'ai mentionné. C’est ce dont il s’agit. Et ainsi nous trouverons que sur cette, j’aimerais dire, comptabilité volante de l’argent représentant l’économie mondiale, quelque chose de semblable devra se tenir comme un blé productible sur une surface de sol grande de tant et tant de m2, qui alors peut être comparée avec les autres choses. Les produits du sol se laissent en effet plus facilement comparer les uns aux autres. Et vous voyez donc, d'où on doit partir. On doit partir de quelque chose, les chiffres doivent signifier quelque chose. Cela éloigne tout simplement justement de la réalité lorsque nous avons mis sur notre argent tant et tant de teneur en or, mais cela conduit à la réalité lorsqu’on y met : cela signifie tant et tant de travail à un produit de la nature. Alors nous pourrions dire : supposons par exemple : là-dessus figure X- blé, sur tout l’argent figure X-blé, Y-blé ou Z-blé, - et il serait clair, ce à quoi ramène l'ensemble de l'économie nationale. Avec cela, vous avez ramené la monnaie sur les moyens de production utilisables auxquels sera fourni du travail corporel (NDT ce même travail corporel dont il suffirait 2,5 à 3h par humain « civilisé » ?)— moyens de production d'un quelconque secteur économique —, et c'est la seule monnaie saine : la somme des moyens de production utilisables. (NDT l'alimentation humaine deviendrait ici le moyen de production primordial?)

Pour celui qui regarde sans prévention dans la réalité, pour celui-là se montre la chose ainsi de la façon de voir, bien que peut-être quelqu’un puisse dire : très exactement ne se laisse pas comparer avec quelque chose comme cela n'importe quelle autre valeur. Jusqu'à un haut degré, cela se laissera comparer. Car en général se différencient, parce que dans cette valorisation finalement tout est valorisé par la consommation, les valeurs des prestations pas tant. - Serais-je donc encore tel travailleur spirituel, j’ai besoin de tant de travail épargné dans chaque année, dont j’ai justement besoin, pour m’entretenir comme humain. Et il deviendra clair sans plus alors par une telle chose, de quelle manière un travailleur spirituel a justement encore besoin de quelque chose en plus à cela dont un travailleur manuel a besoin.. Et si la chose est ainsi transparente, ce sera alors aussi reconnu partout, parce que c’est transparent. Il y a malgré tout dans des contextes économiques fermés, qui deviennent de plus en plus rares, mais qui malgré tout sont encore là, où les travailleurs de l'esprit reçoivent largement ce dont ils ont besoin, où les gens le leur donnent volontiers, sans qu'ils l'écrivent au préalable sur des listes. Je ne dis pas cela par ce que j’aimerai reconduire l'économie à la sentimentalité, mais je dis cela parce que cela fait partie des réalités économiques et, que partout malgré tout à l’intérieur de l'économie nationale, on tombe sur les humains.


Avant toutes choses sera atteint par là un rapport appréciable à l’intérieur des membres particuliers d'un tout économique. Il sera atteint la possibilité que chacun, à chaque instant, ait encore son rapport avec la nature, aussi dans l'argent. Or, c'est ce qui fait à tous nos rapports si malsains, qu’ils se décollent tant de la nature, que le rapport avec la nature n’est plus là. Si nous l’amenons à ce que — et la réponse à la question est seulement une chose de la technique qu’on peut se former dans la vie associative — réellement à la place de la valeur-or indéfinissable avoir sur notre papier la valeur-nature, nous verrons alors nous reconnaîtrons immédiatement, reconnaîtrons dans la circulation ordinaire, combien une prestation spirituelle à de valeur, car je sais alors : quand je peins une toile, ainsi doivent parce que j’ai peins la toile, tant et tant, disons, de travailleurs de la terre, travailler tant et tant de mois ou d'années, à du blé, de l'avoine, et ainsi de suite. . Représentez-vous, combien transparent deviendrait par là le processus économique. On dirait justement alors, selon l’usage de la langue aujourd’hui : il y a là une monnaie-nature et non une monnaie-or. Cela serait aussi justement le correct. Ce serait cela qui donne véritablement un contexte économique.


Maintenant vous avez à nouveau placé une telle image. Je dois justement parler en de telles images, parce que ces images donnent la réalité ; car ce que d'habitude les gens ont en tête, dans la circulation économique, ce n'est pas réalité. Une réalité à d’abord celui qui sait : quand pour une quelconque chose il reçoit une pièce de monnaie de telle ou telle grandeur, ainsi cela signifie tant et tant de travail du sol respectivement à d'autres moyens de production, mais qui deviennent équivalents avec la nature, en ce qu’à l’instant où ils sont élaborés, où ils échappent au domaine des marchandises, passent dans un contexte d’oblitération (NDT dévalorisation, péremption), de l’impossibilité de les acheter ou de les vendre, par là ils deviennent comparables aux moyens de production que nous avons dans la nature. C’est une poursuite du processus que nous avons dans la nature quand nous disons que les moyens de production doivent être traités de cette manière. Par cela est d’abord réussi un concept clair du moyen de production aussi pour la nature elle-même comme moyen de production ; car vis-à-vis des concepts que vous trouvez sinon à fond et sol, peut toujours encore être objecté une chose, si vous n’introduisez pas le concept moyen de production ainsi que j’ai essayé cela dans les « Fondements de l’organisme social ». Car vous n’avez besoin que de vous réfléchir qu’aussi un domaine de la nature doit sous circonstances d’abord être travaillé avant que ce soit un fond et sol utilisable, ainsi que jusqu’au moment, où la nature, où un quelque domaine de la nature est défrichée, où il peut être passé dans le domaine de l’utilisation – jusque-là du travail doit donc aussi être utilisé dessus – ainsi que donc à la fin ce travail est terminé, jusque-là donc aussi un bout de fond et sol est de manière justifiée une marchandise, une valeur économique dans le sens que bien est lié avec travail.

Donc seulement par cela, que vraiment de la manière comme nous l’avons fait, vous vous formulez ce concept, vous venez à avoir le concept de moyen de production dans une pure vision ; et vous pourrez l’appliquer dans les différents domaines ; alors il vous apparaîtra absolument au juste moment, que, quand un livre une dissertation, la chose principale justement de la valeur se tient dans le travail épargné, dont il n'y a lieu de déduire qu'une toute petite fraction correspondant au travail matériel d'écriture. À vos yeux, les concepts se différencieront dans les directions les plus diverses, ils seront alors au cœur de la vie lorsque vous les aurez forgés correctement à partir de la vie. Vous ne pouvez donc pas aborder la question des prix sans rechercher leur origine bien au-delà des coûts de production, mais vous devrez remonter jusqu'à la production première et voir comment sont les circonstances de la formation du prix à partir de la production originelle. Alors, vous pourrez seulement suivre la formation des prix jusqu'à un quelconque point à l’intérieur du processus économique.


Avec cela, j'ai pu au moins peut-être vous donner une représentation directrice de ce que, pour la question principale de l’économie, la formation des prix vient en fait en considération. Car l'exercice d'une activité économique signifie en effet d'amener à l’échange entre les humains, ce que sont les produits, et cet échange entre humains il s’objective dans la formation de prix. Cette formation des prix, cela doit être cela dont il s’agit. Et que nous n’avons là pas besoin de retourner à quelque chose, qui est un entièrement indéterminé, cela vous le reconnaîtrez si vous poursuivez tout à rebours jusqu’à ces conditions, qui pour le travail du sol seront provoquées par le rapport du nombre de la population aux surfaces utilisables du sol. Dans ce rapport vous trouvez ce qui repose originellement à la base de la formation de valeur, parce que tout travail qui peut être accompli ne peut venir que du nombre de la population, et tout avec quoi ce travail peut se lier, doit venir du sol, car c’est cela, dont chacun a besoin, et ceux, qui se l’épargnent à cause de leur prestation spirituelle, pour eux les autres doivent justement le co-fournir ; par là nous venons ici à ce qui repose à la base de l’économie nationale.


***********

158 David Ricardo, de 1772 à 1823, économiste national anglais. À côté d'Adam Smith le plus significatif des théoriciens de l'école classique de l'économie nationale anglaise.Sur le principe de la liberté économique, il a développé une théorie de la valeur et avant tout sa propre théorie de rente foncière.Ouvrage principal : « Principes de l'économie nationale et fiscalité », 1817, allemand 1923.


Dasjenige, um was es sich handelt, hängt durchaus von dem Verhältnis der Bevölkerungsmenge zu der Bodenfläche ab, also auch davon, wieviel aus der Bodenfläche - aus der Bodenfläche kommt zuletzt alles - eine gewisse Bevölkerungszahl herausarbeiten kann. Setzen Sie jetzt den hypothetischen Fall, irgendein Wirtschaftsgebiet (Tafel 12) habe, sagen wir, fünfunddreißig Millionen Einwohner - es ist ja ganz gleichgültig, wieviel. Das, was hier von einem geschlossenen Wirtschaftsgebiet gilt, gilt auch von der Weltwirtschaft. Ein Wirtschaftsgebiet habe fünfunddreißig Millionen Einwohner in irgendeinem Zeitpunkt. Und setzen Sie die Hypothese, das sei so, daß diese fünfunddreißig Millionen Einwohner nun gebracht werden sollen in einen Zustand, der möglichst volkswirtschaftlich gerecht ist. Es ist das nicht ganz genau und deutlich ausgesprochen, aber Sie werden gleich sehen, was ich darunter verstehe. Was müßte man denn da tun, wenn man überhaupt wollte, daß auf diesem Gebiet unter den fünfunddreißig Millionen dasjenige herrscht, was mögliche Preise herbeiführt?
Dann müßten Sie in dem Zeitpunkt, in dem Sie anfangen, das Wirtschaftsleben in ein gesundes überzuführen, jedem einzelnen Menschen so viel geben von der Bodenfläche - aber jetzt auf ein Durchschnittsmaß der Fruchtbarkeit und Bearbeitbarkeit berechnet -, als die gesamte, die Produktion möglich machende Bodenfläche durch fünfunddreißig Millionen dividiert, bedeutet. Denken Sie sich, jedes Kind würde einfach so viel Bodenfläche bei seiner Geburt mitbekommen zur fortwährenden Bearbeitung: wenn jeder Mensch bei seiner Geburt so und so viel mitbekäme, dann würden die Preise entstehen, die überhaupt auf einer solchen Fläche entstehen können; denn die Dinge haben dann ihren selbstverständlichen Austauschwert.

Aber .was ich Ihnen da als eine Sie kurios berührende Hypothese anführe, das ist ja nämlich die Wirklichkeit. Der von dem Menschen unabhängige volkswirtschaftliche Prozeß, der tut das nämlich in der Tat. Er tut es - nun, Sie werden ja nicht glauben, daß ich das, was ich jetzt sage, anders als bildhaft meine -, indem dieser volkswirtschaftliche Prozeß tatsächlich, da ja die Bedingungen da sind, die ganze Bodenfläche auf so und so viel Menschen verteilt, wo dann die Menschen alles das, was sich vom Boden abhebt, entsprechend weiter bearbeiten müssen; Sie können sich denken die ganze Bodenfläche auf die Einwohnerzahl verteilt, und das als reale Tatsache gibt jedem einzelnen Ding seinen Tauschwert, und Sie können irgendwo die Tauschwerte aufschreiben und die Erfahrung kann sehr starke Annäherung an diese Werte geben. Aber wenn Sie das dann vergleichen mit unserer heutigen Wirklichkeit, so werden Sie finden, daß das eine einen Preis hat weit darunter, das andere weit darüber. Nun, Sie können ja, wenn Sie sich vorstellen, daß irgendwo irgendeine Utopia entsteht, in die Sie versetzen können lauter neugeborne Kinder, die von Engeln zunächst besorgt werden — aber Sie geben ihnen jedem sein Stück Land mit —, dann können Sie es dahinbringen, daß, wenn sie zu arbeiten anfangen können, die selbstverständlichen Tauschwerte entstehen. Wenn dann nach einiger Zeit andere Preise da sind, dann muß der eine dem anderen die Sache weggenommen haben. Und das ist dasjenige, was die verschiedenen Unzufriedenheiten eben gibt, daß das dunkel gefühlt wird, daß hier in den volkswirtschaftlichen Prozeß etwas hineinspielen kann, was den realen Preisen gar nicht entspricht.

Aber gerade durch ein Durchdringen des volkswirtschaftlichen Organismus mit einer Denkweise, die in dem Stile gehalten ist, den wir hier in diesen Betrachtungen angeschlagen haben, wird durch die Maßnahmen selber das herbeigeführt, was ich angeführt habe. Das ist es, worauf es ankommt. Und so werden wir finden, daß auf diesem, ich möchte sagen, die fliegende Buchhaltung der Weltwirtschaft darstellenden Geld, so etwas Ähnliches wird stehen müssen wie auf einer so und so viel Quadratmeter großen Bodenfläche herstellbarer Weizen, der dann mit den anderen Dingen verglichen wird. Es lassen sich am leichtesten Bodenprodukte miteinander vergleichen. Und Sie sehen also, wovon man ausgehen muß. Man muß von etwas ausgehen, die Zahlen müssen etwas bedeuten. Es führt schlechterdings eben weg von der Wirklichkeit, wenn wir auf unserem Geld stehen haben so und so viel Goldgehalt; aber es führt zur Wirklichkeit hin, wenn wir darauf stehen haben : Das bedeutet so und so viel Arbeit an einem bestimmten Naturprodukt. Dann würden wir sagen können: Nehmen wir also zum Beispiel an, dadrauf steht X-Weizen, auf allem Geld steht X-Weizen, Y-Weizen, Z-Weizen — und es würde klar sein, worauf die ganze Volkswirtschaft zurückführt. Damit haben Sie zurückgeführt die Währung auf die brauchbaren Produktionsmittel, an denen körperliche Arbeit geleistet wird — Produktionsmittel irgendeines Wirtschaftsgebietes —, und das ist die einzige gesunde Währung : die Summe der brauchbaren Produktionsmittel.

Für den, der unbefangen in die Wirklichkeit hineinschauen kann, für den ergibt sich diese Sache so aus der Anschauung, obgleich vielleicht jemand sagen kann: Ganz genau läßt sich auch nicht mit so etwas vergleichen irgendein anderer Wert. Bis zu einem hohen Grad genau wird es sich vergleichen lassen. Denn im allgemeinen unterscheiden sich, weil bei dieser Bewertung zum Schluß alles durch den Konsum bewertet ist, die Werte der Leistungen nicht allzusehr. -- Sei ich ein noch so geistiger Arbeiter, ich brauche so viel ersparte Arbeit in jedem Jahr, als ich eben brauche, um mich als Mensch zu erhalten. Und es wird ohne weiteres durch so etwas klarwerden dann, auf welche Weise ein Geistesarbeiter eben noch etwas hinzu braucht zu dein, was ein Handarbeiter braucht. Und wenn die Sache so durchsichtig ist, wird das dann auch überall anerkannt werden, weil es durchsichtig ist. Es gibt immerhin in geschlossenen Wirtschaften Zustände, die ja immer seltener und seltener werden, die aber doch immerhin heute noch da sind, wo die Geistesarbeiter eigentlich reichlich das bekommen, was sie brauchen, wo die Leute es ihnen gerne geben, ohne daß sie es erst auf Zettel schreiben. Das sage ich nicht, weil ich zurückführen möchte ein Volkswirtschaftliches auf ein Sentimentales, sondern ich sage das, weil das auch in die Realitäten der Volkswirtschaft hineingehört und weil man überall dennoch innerhalb der Volkswirtschaft auf den Menschen stößt.

Vor allen Dingen wird dadurch erreicht ein wirklich überschaubares Verhältnis innerhalb der einzelnen Glieder eines wirtschaftlichen Ganzen. Es wird erreicht die Möglichkeit, daß jeder in jedem Augenblick seinen Zusammenhang mit der Natur auch im Gelde noch hat. Und das ist ja dasjenige, was alle unsere Verhältnisse so ungesund macht, daß sie sich so viel abheben von der Natur, der Zusammenhang mit der Natur gar nicht mehr da ist. Wenn wir es dazu bringen — und die Beantwortung der Frage ist ja nur eine Sache der Technik, die man eben im assoziativen Leben sich bilden kann —, tatsächlich statt des undefinierbaren Goldwertes den Naturwert zu haben auf unserem Papier, dann werden wir unmittelbar einsehen, im gewöhnlichen Verkehr einsehen, wieviel auch irgendeine geistige Leistung wert ist; denn ich weiß dann: Wenn ich ein Bild male, so müssen, weil ich das Bild gemalt habe, so und so viel, sagen wir, Landarbeiter so und so viel Monate oder Jahre arbeiten an Weizen, an Hafer und so weiter. Denken Sie sich, wie übersichtlich dadurch der wirtschaftliche Prozeß würde. Man würde ja nach dem heutigen Sprachgebrauch eben dann sagen: Es ist dann eben eine Naturwährung statt einer Goldwährung da. Das würde auch gerade das Richtige sein. Das würde dasjenige sein, was einen wirtschaftlichen Zustand wirklich gibt.

Nun haben Sie wiederum ein solches Bild hingestellt. Ich muß eben in solchen Bildern sprechen, weil diese Bilder die Wirklichkeit geben; denn das, was gewöhnlich die Leute im Kopfe haben im wirtschaftlichen Verkehr, das ist keine Wirklichkeit. Eine Wirklichkeit hat erst der, der weiß : wenn er für irgendeine Sache ein so und so großes Geldstück kriegt, so bedeutet das so und so viel Bodenbearbeitung beziehungsweise es muß dazu auch verrechnet werden die Arbeit mit anderen Produktionsmitteln, die aber gleichwertig werden mit der Natur, indem sie in dem Augenblick, wo sie verfertigt sind, wo sie also dem Warengebiet entfallen, übergehen in einen Zustand der Entwertung, der Unmöglichkeit, sie zu kaufen oder zu verkaufen; dadurch werden sie gleich den Produktionsmitteln, die wir in der Natur haben. Es ist nur eine Fortsetzung des Prozesses, den wir in der Natur haben, wenn wir sagen, die Produktionsmittel müssen in dieser Weise behandelt werden. Dadurch wird erst ein klarer Begriff geschaffen auch für die Natur selber als Produktionsmittel; denn gegenüber den Begriffen, die Sie sonst an Grund und Boden finden, kann immer noch einiges eingewendet werden, wenn Sie nicht den Begriff des Produktionsmittels so einführen, wie ich das versucht habe in den «Kernpunkten der sozialen Frage ». Denn Sie brauchen sich nur zu überlegen, daß auch ein Gebiet der Natur unter Umständen erst bearbeitet werden muß, bevor es ein brauchbarer Grund und Boden ist,so daß bis zu dem Moment, wo die Natur, wo irgendein Gebiet der Natur ausgerodet ist, wo es dem Gebrauch übergeben werden kann — bis dahin muß ja auch Arbeit darauf verwendet werden —, so daß also am Ende dieser Arbeit, bis diese Arbeit fertig ist, bis dahin ja auch ein Stück Grund und Boden in berechtigter Weise eine Ware ist, ein wirtschaftlicher Wert in dem Sinn, daß Gut verbunden ist mit Arbeit.

Also nur dadurch, daß Sie wirklich in dieser Weise, wie wir es getan haben, sich die Begriffe formulieren, kommen Sie dazu, den Begriff des Produktionsmittels in reiner Anschauung zu haben; dann werden Sie ihn in die verschiedensten Gebiete durchführen können; dann wird Ihnen durchaus im rechten Moment klar aufgehen, daß, wenn einer einen Aufsatz liefert, eben die Hauptsache des Wertes besteht in der ersparten Arbeit, daß man nur das kleine bißchen abzurechnen hat, was die direkte körperliche Arbeit des Schreibens ausmacht. Es differenzieren sich Ihnen nach den verschiedensten Richtungen hin sogleich die Begriffe so, daß sie richtig im Leben drinnenstehen, wenn Sie sie richtig aus dem Leben heraus bilden. Sie können also gar nicht anders, als, wenn Sie irgendwie die Preisfrage behandeln wollen, diese Preisfrage zurückzuverfolgen eben nicht bloß bis zu den Produktionskosten, sondern Sie müssen sie zurückverfolgen bis zu der Urproduktion und müssen sehen, wie die Bedingungen sind der Preisbildung von der Urproduktion an. Dann können Sie erst die Preisbildung bis auf irgendeinen Punkt innerhalb des volkswirtschaftlichen Prozesses verfolgen.

Damit habe ich Ihnen wenigstens vielleicht eine auf den Weg leitende Vorstellung geben können von dem, was für die Hauptfrage der Wirtschaft, die Preisbildung, eigentlich in Betracht kommt. Denn wirtschaften heißt eben: dasjenige, was Erzeugnisse sind, zum Austausch unter Menschen zu bringen; und der Austausch unter Menschen, der lebt sich aus in der Preisbildung. Diese Preisbildung, diemuß zunächst das sein, worauf es ankommt. Und daß wir da nicht zu etwas zurückzugehen brauchen, was ein ganz Unbestimmtes ist, das werden Sie einsehen, wenn Sie eben zurückverfolgen alles bis zu demjenigen Wertverhältnisse, das für die Bodenarbeit herbeigeführt wird durch das Verhältnis der Bevölkerungszahl zu der brauchbaren Bodenfläche. In diesem Verhältnis finden Sie, was ursprünglich eben der Wertbildung zugrunde liegt, weil alle Arbeit, die verrichtet werden kann, nur von der Bevölkerungszahl kommen kann, und alles, womit sich diese Arbeit verbinden kann, aus dem Boden kommen muß; denn das ist das, was jeder braucht, und diejenigen, die es ersparen wegen ihrer geistigen Leistung, für die müssen es eben die anderen mit-leisten; daher kommen wir hier zu dem, was der Volkswirtschaft zugrunde liegt.

*****

158 David Ricardo, 1772-1823, englischer Nationalökonom. Neben Adam Smith der bedeutendste Theoretiker der klassischen Schule der englischen Volkswirtschaftslehre. Auf dem Grundsatz der Wirtschaftsfreiheit entwickelte er eine Werttheorie und vor allem seine eigene Grundrententheorie. Hauptwerk: «Grundsätze der Volkswirtschaft und Besteuerung», 1817; deutsch 1923.