06004 - Hier nous avons placé devant le regard de l'âme (voir dessin 3) : nature — travail — capital, lequel est utilisé par l'esprit tableau 4a. Je pourrais tout aussi bien écrire ici, à la place de capital, esprit. Nous avons d'abord parcouru ce circuit dans le sens inverse des aiguilles d'une montre et trouvé qu'ici au point de la nature, il n'a pas le droit de se produire aucun amoncellement, mais que là seulement n'a le droit de transiter que ce qui comme une semence a la possibilité de poursuivre le processus économique, ainsi que donc n'apparaisse pas un amoncellement d'économie nationale par une fixation du capital dans la rente du sol (NDT, ici RS revient définitivement -?- à « Bodenrente »). Maintenant je vous ai donc dit que prit au fond le bénéfice de fond et sol lors de la vente, donc la valorisation de fond et sol contredit dans le processus d'économie nationale les intérêts qu'on a à la production de biens pleins de valeur.

06005 - Celui qui avec l'aide du capital veut fabriquer des biens pleins de valeur a un intérêt que le taux d'intérêt soit bas, car il a a alors besoin de payer moins d'intérêt en retour et peut mieux se remuer avec cela qu'il reçoit comme capital prêté. Mais celui qui est possesseur de quelque chose — j'ai permission absolument de discuter ces choses, parce qu'elles ont de la signification dans notre économie nationale —, celui là qui a un intérêt de faire plus cher fond et sol, il le fait tout de suite plus cher par là que le taux d'intérêt en est un plus bas. S'il a de faibles intérêts à payer, ainsi croit la valeur de ses fonds et sols, il devient toujours plus cher ; pendant que celui qui a à payer un taux d'intérêt faible à la fabrication de marchandises pleines de valeur peut fabriquer des marchandises moins cher. Donc des marchandises, dont il s'agit aux processus de fabrication, deviennent meilleur marché par taux d'intérêt bas : fond et sol, qui livre un bénéfice sans qu'on l'ait d'abord fabriqué, celui-là devient plus cher par taux d'intérêt bas. Vous pouvez facilement vous le calculer. C'est un fait d'économie nationale.

Wir haben ja gestern uns den Kreislauf vor die Seele geführt (siehe Zeichnung 3) : Natur — Arbeit — Kapital, das also vom Geiste verwertet Tafel 4a wird. Ich könnte hier statt Kapital ebensogut herschreiben Geist. Und wir haben zunächst den volkswirtschaftlichen Prozeß in dieser Richtung — gegen den Uhrzeiger — verfolgt und gefunden, daß hier, bei der Natur, keine Stauung stattfinden darf, sondern daß eigentlich da nur durchkommen darf, was als eine Art Samen die Möglichkeit hat, den volkswirtschaftlichen Prozeß fortzusetzen, so daß also nicht durch eine Fixierung des Kapitals in der Bodenrente eine volkswirtschaftliche Stauung entsteht. Nun sagte ich Ihnen ja, daß im Grunde genommen der Ertrag von Grund und Boden beim Verkauf, also die Bewertung von Grund und Boden, widerspricht im volkswirtschaftlichen Prozeß den Interessen, die man hat bei der Herstellung von wertvollen Gütern.
Derjenige, der mit Hilfe von Kapital wertvolle Güter herstellen will, hat ein Interesse daran, daß der Zinsfuß niedrig ist; denn er braucht dann weniger `Zins zurückzuzahlen und kann sich dadurch leichter bewegen mit dem, was er als Leihkapital bekommt. Derjenige aber, der Besitzer etwa ist — ich darf diese Dinge, weil sie innerhalb unserer Volkswirtschaft Bedeutung haben, durchaus besprechen —, derjenige, der ein Interesse daran hat, den Grund und Boden teurer zu machen, der macht ihn gerade dadurch teurer, daß der Zinsfuß ein niedriger ist. Hat er niedrigen Zins zu bezahlen, so wächst der Wert seines Grundes und Bodens, der wird immer teurer; während derjenige, der einen niedrigen Zinsfuß zu bezahlen hat, bei der Herstellung von wertvollen Waren die Waren billiger herstellen kann. Also Waren, bei denen es ankommt auf den Prozeß der Herstellung, werden bei niedrigem Zinsfuß billig : Grund und Boden, der einen Ertrag liefert, ohne daß man ihn erst herstellt, der wird teurer bei niedrigerem Zinsfuß. Sie können sich das einfach ausrechnen. Es ist das eine volkswirtschaftliche Tatsache.