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Collection: 201 - La rente foncière / Die Grundrente
Origine historique de la rente foncière, puis une non pensée sans rapport à la réalité et la formation de grosses entreprises.  

 

 
Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA338 171-176 (1986) 16/02/1921

Original

Traducteur: FG Editeur: SITE

Si on est demandé aujourd'hui pour ceci ou cela, alors les gens viennent avec des questions schématiques.Vous demandez à l'un : comment cela se comporte avec le capital, comment avec la petite entreprise, comment avec le foncier, et ainsi de suite ? - Eh bien, en rapport aux rapports sociaux sains la question de fond et sol est réglée dans mes « Points fondamentaux », bien qu'elle ait été apparemment seulement abordée qu'accessoirement. Mais tout ce qui a sinon figuré aujourd'hui là dessus dans les discussions, cela provient du fait que justement fond et sol sont fichés à l'intérieur de notre vie sociale d'une façon incroyablement embrouillée.


[SamF/F002338170174198616021921.html
Alors que la nouvelle vie économique émergea et imprimât le caractère de marchandise à tout, par exemple aussi au travail, qu’on peut donc tout acheter, là le sol devint aussi marchandise. On pouvait l’acheter et le vendre. Mais que se cache en fait dans cet acheter et ce vendre du sol ? Lorsqu’on veut considérer cela, alors on doit retourner dans des conditions très primitives, dans lesquelles le seigneur féodal soit par conquête ou sinon comment s’était obtenu un certain sol et le cédait à ceux qui devaient le travailler, qui alors en nature ou en taxes d’autre sorte, lui rendaient un certain quota, ce qui du reste signifie l’origine de la rente foncière. Mais pour quoi les gens lui rendirent un certain quota, lui, le féodal ou l’église, le monastère, pourquoi donnaient-ils cela ? Qu'est-ce qui leur rendait plausible qu’ils fournissaient de telles taxes ? Rien d’autre ne le leur rendait plausible que cela, que quand ils travaillaient comme petits propriétaires sur leur fond et sol, pour labourer et pour récolter, que n’importe qui pouvait venir et les chasser. Travailler fond et sol exige protection du foncier. Seulement, la plupart des féodaux avaient eux-mêmes une armée, qu’ils entretenaient des taxes, et cela était d’ailleurs pour la protection de fond et sol.

Et la rente foncière était non pas quelque chose pour le droit de travailler le sol, mais pour la protection du sol. Le droit de travailler le sol ressortait absolument de la nécessité que donc le seigneur du sol ne pouvait seul travailler tout le sol. Cela n’avait rien à faire avec quelques autres conditions. Mais le foncier devait être protégé. Et pour cela on livrait les taxes. Tout comme ainsi on livrait les taxes aux monastères. Les monastères entretenaient eux-mêmes à nouveau des armées, avec lesquelles ils protégeaient fond et sol, où ils étaient liés par quelques contrats ici ou là, afin que par quelque autre rapport de pouvoir le sol soit sécurisé.

Quand vous recherchez l’origine de la rente foncière, vous devez la considérer comme une taxe pour la protection de fond et sol. Lorsque nous prenons en considération la signification originelle de la rente foncière, ainsi nous voyons à cela, qu’elle se rapporte à des temps où régnaient des conditions très primitives, où dans les rapports économiques régnaient des souverains féodaux ou des monastères, qui n’obéissaient à personne.

Ces conditions s’arrêtèrent d’abord à l’Ouest et seulement plus tard en Europe centrale, par cela que progressivement certains droits, que les individus avaient – dans certaines contrées d’Allemagne ils cessèrent le plus tard d’être des droits individuels —, furent transférés sur des souverains particuliers, ce qui n’était pas un événement économique, mais politique. Les droits furent transférés. Avec le transfert des droits fut aussi transféré ce qui était là pour la protection de fond et sol. Il devint alors nécessaire au souverain de maintenir les armées. Pour cela il devait naturellement exiger une taxe. Il vint progressivement ce qui aujourd’hui repose si lourdement sur nous, la systématisation de la fiscalité. Elle vint jointe à l’autre, mais, curieusement, l’autre resta ! Cela perdit son sens, car celui qui maintenant était le grand propriétaire foncier, celui-là n’avait pas besoin de dépenser pour la protection de fond et sol, pour cela le souverain territorial ou l’État était là. Mais la rente foncière resta cependant. Et avec la nouvelle vie économique, elle passa progressivement dans la circulation ordinaire des marchandises. Par cela, que le rapport entre rente foncière et foncier perdit son sens, la rente foncière put être faite un objet de gain. C’est la pure absurdité qui là, est devenue réalité. Il y a quelque chose dedans le processus de circulation des valeurs, qui prit fondamentalement, a perdu pleinement son sens, mais avec quoi aujourd’hui encore est commercé comme avec une marchandise.

De telles choses sont à désigner partout dans notre économie politique. Elles sont apparues de quelques choses justifiées. À la place de ces choses justifiées s’est placé autre chose. Mais le vieux est resté. Et là un quelconque nouveau processus a saisi la chose et placé l’insensé dedans la vie sociale.

Si maintenant on prend simplement la vie économique ainsi qu’elle est – quand on est professeur d’économie politique et avec cela a le devoir autant que possible de ne pas penser dans le sens que je vous ai caractérisé auparavant -, alors on défini la rente foncière ainsi, qu’aujourd’hui elle se tient dans les livres. Et comme quelque chose de si insensé, elle figure aussi aujourd’hui dans la vie. Vous voyez donc combien on a à faire, pour arriver à rendre compréhensible à l’humain, que nous n’avons pas seulement de l’insensé dans notre système de pensée, mais aussi partout dans la vie économique. Et quand le particulier soupire sous la vie économique, ainsi c’est de fait à partir de tels soubassements. Il s’agit aujourd’hui déjà qu’on vienne à un penser plus fondamental, plus englobant, sans préjuger, que ce n’est, ce qui peut être développé, quand on siège dans les actuels établissements de formation.

Car finalement : que développe-t’on aujourd’hui comme penser ? On développe le penser, qui peut peut-être être décrit par les mathématiques. Mais cela est développé ainsi que ça se place à côté de toute réalité. On développe alors le penser, qui peut être appris à l’expérimentation, qui peut être appris à la systématique, développe ce penser, qui en fait chez certaines gens comme Poincaré, Mach et ainsi de suite, est devenu une pure formalité, quelque chose qu’à peine ils appellent « rassembler la réalité extérieure », on ne développe absolument aucun penser ! Et parce qu’on ne développe pas de penser, on ne peut fondamentalement rien commencer avec l’économie politique.]


Oui, il s’en est même formé de proche en proche une méthode d'économie nationale - particulièrement astucieusement, Lujo Brentano l’a appliquée - qui à partir de besoins évidents développe la théorie qu'on ne devrait pas du tout réfléchir à comment la vie économique devrait être, mais seulement observer correctement ! Et maintenant on devrait se représenter, comment on devrait venir en quelque sorte à une science de la vie de l'économie par la simple observation ! Ce serait comme si on voulait recommander aux pédagogues qu'ils devraient purement observer les enfants. Il ne pourrait jamais en découler une activité.C'est pourquoi nos théoriciens économistes nationaux sont si terriblement stériles parce qu'ils ont une méthode qui se place passivement à la réalité extérieure.

Et le revers de la médaille se montre lorsque les humains commencent vraiment maintenant à intervenir dans la vie de l'économie.Ils ont élaboré d'un côté une science qui observe seulement. Mais alors que la guerre est venue en Europe centrale, on devait tout à coup intervenir dans la vie économique, même jusqu'à influencer la formation des prix.Qu’est-ce qui est sorti là? L’économiste national Terhalle a résumé cela, et pour cela il mentionne de nombreux justificatifs scientifiques dans son livre sur « Formation de prix libre ou liée? » : premièrement les choses ont été faites ainsi qu’on voit, que les gens qui l'ont fait, n’ont absolument pas su ce dont il s’agit. Deuxièmement : il a posé à la base des schémas théoriques qui ont si peu à voir avec la réalité qu’en ce qu’ils ont été appliqués, ils ont ruiné la réalité.


Troisièmement : on est venu par l'influence sur la formation de prix que les entreprises particulières n’ont pas été utilisées, mais ont été endommagées, et quatrièmement : l’artisanat et l’activité honnête ont été endommagés au profit des trafics ! Pensez seulement une fois ce que cela signifie qu'un économiste national officiel à partir d’études d’économie nationale doive laissez tomber le jugement sur l'activité économique nationale politique étatique au cours des dernières années: elle a favorisé les trafiques au détriment de l’activité honnête et de l'artisanat! On doit seulement sentir ce que cela signifie réellement.Ces choses doivent être dites au gens, aussi clairement que possible, afin qu’on voit comment notre civilisation est devenue impuissante vis-à-vis de la réalité.


Si nous ne parvenons pas à clarifier de telles choses, comme je viens de vous dire en rapport à la rente foncière, ainsi nous ne viendrons pas à montrer la nécessité des associations aux gens, car pensez seulement une seule fois les associations installées de manière provisoire : aussitôt apparaît au grand jour l'expérience comment endommageant agissent toutes les choses non naturelles qui sont à l'intérieur de l'économie sur la formation du prix. Cela ne peut naturellement surgir au jour quand on alimente ainsi l'économie que les agents vont sur le terrain et font des affaires pour les entreprises individuelles. Là ne peut leur venir en vis-à-vis le rapport entre production et consommation. Ils n'ont pas l’intérêt, de fixer l'attention là dessus, combien doit être produit. Pour eux ne vaut qu'une évidente « vérité » que leur patron puisse produire autant que possible. Cet intérêt à la plus forte production possible du patron doit être remplacé par la connaissance positive : Combien de producteurs doivent être là parce que nous avons vu, tant et tant de besoin est là pour un article, doit donc être veillé là dessus que pas trop et pas trop peu travaillent pour la chose sur un territoire concerné ? L'intérêt factuel doit prendre la place de l'intérêt pour l'entrepreneur individuel. Il s’agit de cela avec l'association.



Maintenant, on doit montrer aux gens comment la vie de l'économie, parce qu'elle a tellement d'éléments absurdes en elle - car, en plus de la rente foncière sont encore beaucoup d'autres dedans – pousse aujourd'hui déjà à une coopération. Le système des cartels avec le contingentement des gains, de la demande, des ventes et ainsi de suite, le regroupement, le se-fusionner – de quoi cela provient-il ? En Europe, cela prend plus la forme du cartel, en Amérique plus du trust. Cela provient du fait que, par les nombreux éléments absurdes qui sont dans la vie économique, l'individu ne peut plus produire. Pensez seulement une fois, comment c’est aujourd'hui autrement, où tout contraint à la grande entreprise, comme cela fut alors que l'entrepreneur individuel comme un petit entrepreneur se tenait dans l'économie.Qu'est-ce que l'humain peut demander aujourd'hui seul et unique s'il veut agir en tant qu’entrepreneur ? Il ne peut rien demander d'autre : comment est la situation du marché d’un quelque article, si un article est prisé. Un article qui est prisé semble prometteur, un article qui n'est pas prisé, justement pas prometteur.

Dans les anciens temps, où le nombre d'entrepreneurs était petit, cela n'avait pas beaucoup d’importance, et seulement quand ils sont devenus trop nombreux, les individuels s’effondrèrent. Mais supposons que tout pousse vers les grandes entreprises quand on remarque pour un quelque article qu’il sera utilisé, que là se laisse gagner quelque chose. Par là qu’on édifie la grande entreprise, on abroge ce à partir de quoi on a décidé la nécessité d’ériger la grande entreprise ! En ce que tout tend à la grande entreprise, ce n'est plus déterminant, ce qui était déterminant pour l’ancien petit entrepreneur individuel. De cela se constitua cette nécessité des fusions. Et ainsi, nous avons les cartels, trusts, et ainsi de suite, tout simplement parce que les cercles dirigeants ont été très négligents à l'égard de la consommation. Parce qu'ils ne se sont pas souciés d’elle, ces fusions se constituent seulement des intérêts des producteurs. La consommation n'est pas prise en compte en cela.


C'est l'essentiel qui est montré : on ne s’en sort plus dans la vie économique sans l’association. C'est pourquoi les associations unilatérales des cartels et des trusts, mais qui résultent des purs intérêts de production seront complétés par cela qu'elles seront placées sur la compréhension de la consommation, sur la prise en compte des besoins d'un quelque territoire. Ainsi, les trusts, les cartels montrent en ce sens qu'ils sont des caricatures de ce qui doit se produire, combien il est nécessaire de se mouvoir dans une certaine direction, dans la direction de l'association. On n'a qu'à rechercher comment maintenant, les associations doivent être conçues.

Wenn man heute gefragt wird nach diesem oder jenem, dann kommen die Leute mit den schematisierten Fragen. Sie fragen einen: Wie verhält es sich mit dem Kapital, wie mit dem Kleingewerbe, wie mit Grund und Boden und so weiter? - Nun, mit Bezug auf gesunde soziale Verhältnisse ist die Grund- und Bodenfrage erledigt in meinen «Kernpunkten», obwohl sie scheinbar nur in einem Nebensatz berührt worden ist. Aber alles, was sonst darüber heute in Diskussionen figuriert, das rührt davon her, daß gerade Grund und Boden in einer unglaublich verworrenen Weise in unserem sozialen Leben drinnensteckt.



Als das neuere Wirtschaftsleben heraufkam und den Warencharakter allem aufdrückte, zum Beispiel auch der Arbeit, daß man also alles kaufen kann, da wurde auch der Boden zur Ware. Man konnte ihn kaufen und verkaufen. Aber was steckt eigentlich in diesem Kaufen und Verkaufen des Bodens drinnen ? Wenn man das einsehen will, so muß man in sehr primitive Verhältnisse zurückgehen, in denen der Feudalherr entweder durch Eroberung oder sonstwie sich einen gewissen Boden erworben hatte und ihn abgab an diejenigen, die ihn bearbeiten sollten, die dann in natura oder in Abgaben anderer Art ihm eine gewisse Quote zurückgaben, was zunächst den Ursprung der Grundrente bedeutet. Aber wofür gaben ihm die Leute diese Grundrente, ihm, dem Feudalherren oder der Kirche, dem Kloster, wofür gaben sie das? Was machte es ihnen plausibel, daß sie solche Abgaben leisteten? Nichts anderes machte es ihnen plausibel, als das, wenn sie als kleine Besitzer auf ihrem Grund und Boden arbeiteten, um zu ackern und zu ernten, da jeder Nächstbeste kommen und sie fortjagen konnte. Grund und Boden bearbeiten können, erfordert Schutz des Grund und Bodens. Nun hatten meist die Feudalherren selber ein Heer, das sie aus den Abgaben unterhielten, und das war zum Schutz des Grund und Bodens. Und die Grundrente wurde bezahlt nicht etwa für das Recht, den Boden zu bearbeiten, sondern für den Schutz des Bodens. Das Recht, den Boden zu bearbeiten, war durchaus entsprungen aus der Notwendigkeit, da ja der Grundherr nicht selber den ganzen Boden bearbeiten konnte. Das hatte nichts zu tun mit irgendwelchen anderen Verhältnissen. Aber geschützt mußte der Grund und Boden werden. Und dafür lieferte man die Abgaben. Ebenso lieferte man die Abgaben an die Klöster. Die Klöster unterhielten selbst wiederum Heere, mit denen sie den Grund und Boden schützten, oder sie waren durch irgendwelche Verträge da oder dort so gebunden, daß durch irgendwelche anderen Machtbeziehungen der Boden gesichert war. Wenn Sie den Ursprung der Grundrente aufsuchen, so müssen Sie sie als Abgabe ansehen für den Schutz des Grund und Bodens. Wenn wir diese ursprüngliche Bedeutung der Grundrente ins Auge fassen, so sehen wir daran, daß sie sich bezieht auf Zeiten, wo sehr primitive Verhältnisse herrschten, wo in wirtschaftlicher Beziehung souveräne Feudalherren oder Klöster herrschten, die niemandem gehorchten.

Diese Verhältnisse hörten, zuerst im Westen und erst später in Mitteleuropa, dadurch auf, daß allmählich gewisse Rechte, die die einzelnen hatten - in gewissen Gegenden Deutschlands hörten sie am allerspätesten auf, Einzelrechte zu sein -, übertragen wurden auf einzelne Fürsten, was durchaus nicht ein wirtschaftlicher, sondern ein politischer Vorgang war. Es wurden die Rechte übertragen. Mit der Übertragung der Rechte wurde auch dasjenige übertragen, was zum Schutze da war von Grund und Boden. Es wurde dann dem Fürsten notwendig, die Heere zu halten. Dafür mußte er natürlich eine Abgabe fordern. Es kam allmählich dasjenige, was uns heute so schwer aufliegt, die Systematisierung des Steuerwesens. Die kam hinzu zu dem anderen, aber das andere blieb kurioserweise ! Es verlor seinen Sinn, denn derjenige, der jetzt der Großgrundbesitzer war, der brauchte nichts mehr auszugeben zum Schutz von Grund und Boden, dafür war jetzt der Territorialfürst oder der Staat da. Die Grundrente blieb aber doch. Und sie ging allmählich mit dem neuen Wirtschaftsleben über in die gewöhnliche Warenzirkulation. Da‑durch, daß der Zusammenhang zwischen Grundrente und Grund und Boden den Sinn verlor, konnte die Grundrente zu einem Gewinnobjekt gemacht werden. Es ist der reine Unsinn, der da Realität geworden ist. Es ist etwas im Zirkulationsprozeß der Werte drinnen, das im Grunde genommen seinen Sinn vollständig verloren hat, mit dem aber doch heute gehandelt wird wie mit einer Ware.

Solche Dinge sind überall in unserem Volkswirtschaftsleben nachzuweisen. Sie sind aus irgendwelchen berechtigten Dingen entstanden. An die Stelle dieser berechtigten Dinge hat sich etwas anderes gesetzt. Aber das Alte ist geblieben. Und da hat irgendein neuer Prozeß die Sache aufgegriffen und das Sinnlose in das soziale Leben hineingestellt.

Wenn man nun einfach das Wirtschaftsleben so nimmt, wie es ist - wenn man also Professor der Nationalökonomie ist und damit die Aufgabe hat, möglichst wenig zu denken in dem Sinne, wie ich es vorhin charakterisiert habe -, dann definiert man die Grundrente so, wie es heute drinnensteht in den Büchern. Und als etwas so Sinnloses figuriert sie auch heute im Leben. Sie sehen also, wieviel man zu tun hat, um dahin zu kommen, den Menschen verständlich zu machen, daß wir nicht nur Unsinn haben in unserem Denksystem, sondern auch überall im Wirtschaftsleben. Und wenn der einzelne seufzt unter dem Wirtschaftsleben, so ist es tatsächlich mit aus solchen Untergründen heraus. Es handelt sich heute schon darum, daß man zu einem gründlicheren, vorurteilsloseren, umfassenderen Denken kommt, als das ist, was entwickelt werden kann, wenn man in den heutigen Bildungsanstalten sitzt.

Denn schließlich: was für ein Denken entwickelt man da heute ? Man entwickelt das Denken, das vielleicht durch die Mathematik bezeichnet werden kann. Aber das wird so entwickelt, daß es abseits steht von aller Wirklichkeit. Man entwickelt dann das Denken, das am Experiment gelernt werden kann, das an der Systematik gelernt werden kann, entwickelt dasjenige Denken, das endlich bei solchen Leuten wie Poincaré, Mach und so weiter zu einer bloßen Formalität, zu etwas geworden ist, was sie bloß «Zusammenfassen der äußeren Wirklichkeit» nennen. Kurz, man entwickelt überhaupt kein Denken! Und darum, weil man kein Denken entwickelt, kann man in der Nationalökonomie im Grunde genommen gar nichts anfangen.

Ja, es hat sich nach und nach sogar eine nationalökonomische Methode herausgebildet - besonders schlau hat sie Lujo Brentano gehandhabt -, die aus begreiflichen Bedürfnissen heraus die Theorie entwickelt, man solle überhaupt nicht nachdenken darüber, wie das wirtschaftliche Leben sein soll, sondern es nur richtig beobachten. Nun, man soll sich vorstellen, wie man irgendwie zu einer Wissenschaft vom Wirtschaftsleben kommen soll durch das bloße Beobachten! Es wäre so, wie wenn man dem Pädagogen anempfehlen wollte, er solle bloß die Kinder beobachten. Es würde ja niemals eine Aktivität daraus entstehen können. Daher sind unsere nationalökonomischen Theoretiker so furchtbar steril, weil sie die sich passiv zur äußeren Wirklichkeit stellende Methode haben.

Und die Kehrseite davon zeigt sich, wenn die Menschen nun wirklich anfangen, ins Wirtschaftsleben einzugreifen. Sie entwickelten auf der einen Seite eine Wissenschaft, die nur beobachtet. Als aber nun für Mitteleuropa der Krieg kam, sollte man plötzlich ins Wirtschaftsleben eingreifen, sogar bis zur Beeinflussung der Preisbildung. Was ist da herausgekommen ? Der Nationalökonom Terhalle hat ja das zusammengefaßt, was dabei herausgekommen ist : Erstens, sagte er, und dafür führt er unzählige wissenschaftliche Belege an in seinem Buche über «Freie oder gebundene Preisbildung?», erstens: es sind die Dinge so gemacht worden, daß man sieht, die Leute, die es gemacht haben, haben überhaupt nicht gewußt, worauf es ankommt. Zweitens: es sind zugrunde gelegt worden theoretische Schematismen, die mit der Wirklichkeit so wenig zu tun haben, daß, indem sie angewendet wurden, sie die Wirklichkeit ruinierten. Drittens: es ist bei der Beeinflussung der Preisbildung dazu gekommen, daß den einzelnen Gewerben nicht genützt, sondern geschadet worden ist; und viertens : es ist das ehrliche Handwerk und Gewerbe zugunsten des Schiebertums geschädigt worden! Denken Sie nur einmal, was es bedeutet, daß ein offizieller Nationalökonom aus nationalökonomischen Untersuchungen heraus über die politisch-staatliche nationalökonomische Tätigkeit der letzten Jahre das Urteil fällen muß : sie habe das Schiebertum begünstigt auf Kosten des ehrlichen Gewerbes und Handwerkes ! Man muß nur fühlen, was das eigentlich bedeutet. Diese Dinge müssen den Leuten gesagt werden, möglichst deutlich, damit man sieht, wie ohnmächtig unsere Zivilisation gegenüber der Wirklichkeit geworden ist.

Wenn wir nicht darauf eingehen, solche Dinge, wie ich sie Ihnen eben mit Bezug auf die Grundrente gesagt habe, klarzustellen, so werden wir nicht dazu kommen, die Notwendigkeit der Assoziationen den Leuten zu zeigen; denn denken Sie sich nur einmal in der notdürftigsten Weise die Assoziationen installiert : sofort tritt die Erfahrung zutage, wie schädlich auf die Preisbildung all die unnatürlichen Dinge wirken, die im Wirtschaftsleben drinnenstehen. Das kann natürlich nicht zutage treten, wenn man das Wirtschaftsleben so versorgt, daß die Agenten auf das Land gehen und für die einzelnen Unternehmungen Geschäfte machen. Da kann ihnen nicht entgegentreten der Zusammenhang zwischen Produktion und Konsum. Sie haben nicht das Interesse, das Augenmerk darauf zu richten, wieviel produziert werden soll. Für sie gilt nur die eine, selbstverständliche «Wahrheit», daß ihr Brotherr möglichst viel produzieren kann. Dieses Interesse an dem möglichst starken Produzieren des Brotherrn muß ersetzt werden durch die positive Kenntnis : Wieviele Produzenten müssen da sein, weil wir gesehen haben, so und so viel ist Bedarf für einen Artikel, also dafür gesorgt werden muß, daß nicht zu viele und nicht zu wenige auf dem betreffenden Territorium für diese Sache arbeiten? Das sachliche Interesse muß an die Stelle des Interesses für den einzelnen Unternehmer treten. Darauf kommt es bei der Assoziation an.

Nun muß man den Leuten zeigen, wie das Wirtschaftsleben, weil es so viele absurde Elemente in sich hat - denn außer der Grundrente sind noch viele andere darinnen -, heute schon nach Zusammengliederung drängt. Das Kartellwesen mit den Kontingentierungen des Gewinns, der Nachfrage, des Absatzes und so weiter, das Zusammenschließen, das Sich-Fusionieren - woraus entsteht es denn? In Europa nimmt es mehr die Form des Kartells, in Amerika mehr die des Trusts an. Es entsteht daraus, daß durch die vielen absurden Elemente, die im Wirtschaftsleben sind, der einzelne nicht mehr produzieren kann. Denken Sie nur einmal, wie anders das heute ist, wo alles der Großunternehmung zudrängt, als es war, als der Einzelunternehmer als Kleinunternehmer im Wirtschaftsleben drinnenstand. Was kann der Mensch heute einzig und allein fragen, wenn er als Unternehmer auftreten will? Er kann nichts anderes fragen als: wie die Marktlage irgendeines Artikels beschaffen ist, ob irgendein Artikel begehrt wird. Ein Artikel, der begehrt wird, erscheint aussichtsvoll, ein Artikel, der nicht begehrt wird, eben nicht aussichtsvoll.

In früheren Zeiten, wo die Zahl der Unternehmer klein war, machte das nicht viel aus; erst als es zu viele wurden, gingen die einzelnen zugrunde. Nehmen Sie aber an, es drängt alles nach der Großunternehmung hin, wenn man für irgendeinen Artikel bemerkt, daß er gebraucht wird, daß sich da etwas verdienen läßt. Dadurch, daß man die Großunternehmung errichtet, hebt man dasjenige auf, woraus man die Notwendigkeit geschlossen hat, die Großunternehmung zu errichten! Indem alles nach der Großunternehmung tendiert, ist das nicht mehr maßgebend, was für den einzelnen kleinen früheren Unternehmer maßgebend war. Daher tritt diese Notwendigkeit der Fusionierung auf. Und so haben wir die Kartelle, Trusts und so weiter, weil eben die führenden Kreise ganz sorglos waren mit Bezug auf den Konsum. Weil sie sich nicht um ihn bekümmert haben, entstehen diese Zusammenschließungen nur aus den Interessen der Produzenten heraus. Der Konsum wird dabei nicht berücksichtigt.

Das ist das Wesentliche, daß gezeigt wird: Man kommt im Wirtschaftsleben nicht mehr aus ohne Assoziierung. Deshalb müssen die einseitigen Assoziierungen der Kartelle und Trusts, die aber aus bloßem Produktionsinteresse hervorgehen, ergänzt werden dadurch, daß sie gestellt werden auf das Konsumverständnis, auf die Einsicht in die Bedürfnisse irgendeines Territoriums. So zeigen die Trusts, die Kartelle dadurch, daß sie Karikaturen sind dessen, was entstehen soll, wie notwendig es ist, sich in einer gewissen Richtung, nach der Richtung des Assoziierens hin, zu bewegen. Man muß nur aufsuchen, wie nun die Assoziationen beschaffen sein sollen.