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Collection: 201 - La rente foncière / Die Grundrente



Chaque travailleur doit pouvoir participer consciemment à la formation de la plus-value source de vie spirituelle et politique. La mystification du contrat de travail.  

 


 

Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA189 094-097 (1957) 02/03/1919

Original





Traducteur: FG Editeur: SITE

[SamF/F002189094097195702031919.html

Cela signifie, tout ce qui se rapporte aux conditions politiques doit avoir une relative autonomie à côté de la vie économique.
Lorsqu’on considère cela, on remarque aussi la non-vérité, qui repose dans les conditions entre employeur et employé, et qui se décrit ainsi, comme si la force de travail était vraiment rémunérée. Elle ne sera en effet d'abord pas du tout rémunérée directement, mais seulement indirectement. Ce qui se présente est une certaine apparence, mais un droit devenu pouvoir économique, par lequel l’employeur contraint l’employé à la machine ou dans la fabrique, - pas entièrement manifestement, mais en fait le contraint en secret.
Ce qui est maintenant échangé, n’est en réalité pas force de travail contre marchandise ou représentant de marchandise, cela signifie argent, mais des prestations : les marchandises produites par le travailleur sont échangées contre d’autres marchandises, respectivement de l’argent. Contre les marchandises que l’entrepreneur lui donne, le travailleur échange les marchandises qu’il produit. Ainsi devient d’abord évidente la non-vérité, comme quoi seraient échangées des marchandises contre de la force de travail. Et ça, le prolétariat moderne l’éprouve en secret comme humainement indigne, en ce qu’il dise : tu produis tant et tant de marchandises, et de cela l’entrepreneur ne te donne seulement que tant et tant.


Le rapport de nature juridique entre l’employé et l’entrepreneur ne peut notamment pas du tout être établi dans la sphère du processus économique, mais seulement dans la sphère de l’État politique, comme un rapport de droit. C’est de cela qu’il s’agit.
L’humain se tient-il d’un côté sur le sol de la vie économique et de l’autre côté sur le sol de la vie de droit autonome, alors cette vie économique sera déterminée de deux côtés : d’un côté par la vie du droit, de l’autre côté elle est dépendante des facteurs naturels indépendants de l’activité humaine.

Je vous ai mentionné dans les conférences publiques de Bâle que dans une région de sol déterminée pour, par exemple, produire des céréales, plus de travail doit être mis en œuvre que dans une autre région où la capacité de rapport est même plus élevée. Ce sont les conditions naturelles. Celles-ci forment une frontière d’un côté de la vie économique. De l’autre côté ce qui doit, par exemple, se dégager comme un rapport entre employé et employeur doit couler de la vie du droit dans la vie de l'économie.

Maintenant des gens, qui voient des choses à peine la surface, disent : oui, mais c’est aujourd’hui déjà le cas, car est conclu un contrat de travail. À quoi cela sert, quand le contrat de travail sera conclu sur quelque chose, qui est en fait un rapport caché mensonger ? Le contrat de travail sera notamment conclu justement sur le rapport entre employé et employeur en rapport à la force de travail et sa rémunération. D’abord seulement sera établi un véritable rapport, quand le contrat ne sera pas conclu sur la rémunération, mais sur l’art et la manière comment employé et employeur partagent la prestation qui sera produite.
Alors, le travailleur reconnaîtra - et de là-dessus dépend bien plus que sur tout ce que les gens croient - que sans génération de plus-value rien du tout ne peut en sortir.
Mais il doit pouvoir voir, comment la plus-value apparaît. Il n’a pas le droit d’être inséré dans un rapport mensonger. Alors le travailleur reconnaîtra, que sans formation de plus-value il ne peut absolument y avoir aucune culture spirituelle, aussi pas d’État de droit, car tout ça coule de la plus-value. Mais quand l’organisme social est sain, tout cela se montre de l’organisme social triarticulé.

Maintenant on peut parler sur cette façon de voir non pas seulement des heures, mais des semaines, et cela nous l’avons donc déjà presque fait ; mais nous en venons naturellement toujours à nouveau à de nouvelles particularités, qui doivent nous faire la chose plus compréhensible, car chaque question concrète particulière se laisse pressentir, nous naissons à elle, et à sa réponse. Là doit avant toute chose être pensé : dans la vie économique seront échangées des marchandises. À la vie économique est articulée la vie de l’État politique au sens restreint. Celui-là limite la force de travail dans la vie commune humaine, dans la vie de droit. Ainsi que, pendant que l’économie est dépendante d’un côté des conditions naturelles, elle est dépendante de l’autre côté de ce qui est fixé par l’État de droit, donc par exemple du temps de travail, conditions de travail de l’humain particulier, à sa force, à sa faiblesse, son âge. Il ne peut plus y avoir un jour de travail maximal ou du genre, mais en réalité il ne peut plus y avoir qu’une limitation vers le haut et vers le bas. Tout cela sont des conditions, qui coulent vers la vie économique du côté de l’État de droit, tout comme les conditions naturelles se présentent à lui de l’autre côté.

L’organisme social est-il de cette manière une fois assaini, alors disparaîtra aussi le complètement monstrueux, que la rémunération ait lieu à partir de la vie économique elle-même. Le fait que la rémunération grimpe par bonne conjoncture, sera par contre réduite dans la crise, se transformera dans la loi contraire. La bonne conjoncture pourra apparaître sous l’influence du salaire et inversement.

La rente foncière, bien une question de droit entraînant la correction par la vie politique de ce que la vie économique associative ne peut compenser. Mais ce ne saurait être le cas pour la vie de l'esprit.

05032 – Cela peut être aussi particulièrement visible avec la rente foncière, qui aujourd’hui est diversement dépendante du prix des marchandises, qui sont produites sur fond et sol, du prix de marché des marchandises. Le rapport sain est seulement l’inverse, quand le droit qui s’amène à l’expression dans la rente foncière influence de son côté le prix de marché. Diversement se manifestent sous cette triarticulation tout de suite des rapports inversés vis-à-vis des actuels, qui ont causé nos convulsions révolutionnaires. Toute la vie se déroulera d’une autre manière.

À quoi faut-il veiller avant toute chose dans le rapport entre vie économique et État politique au sens restreint ? Choisissons comme exemple quelque chose, qui parfois est bien éprouvé désagréablement : payer des impôts. En rapport à payer des impôts il s’agit seulement de voir clair comment l’impôt doit s’écouler de la plus-value, en ce qu’on ait ainsi toujours à l’œil dans la vie commune politique démocratique les conditions de vie de l’organisme politique, comme on a devant les yeux la vie économique, en ce qu’on achète et vend, et ainsi à partir des besoins humains on perçoit clairement la réalité de ces conditions économiques.
Aussi de cela se présentera le contraire de ce qui est disponible. Je ne dis pas que l’on doit changer la loi fiscale ; sous les conditions actuelles, beaucoup ne se laisse pas changer, ce serait alors que les erreurs seraient repoussées d’un autre côté.

Mais sous l’influence du sain organisme triarticulé se formeront de toutes autres façons de voir sur maintes choses. On reconnaîtra que pour la vie sociale comme telle, que pour la vie des humains dans l’organisme social est sans signification, quand l’humain encaisse de l’argent. Car en ce que l'homme perçoit de l'argent, il se distingue de l'organisme social, et cela peut au plus être indifférent à l'organisme social. Car cela n'a aucun sens pour ses fonctions, ce que l'homme perçoit, mais l'homme devient seulement un être social lorsqu'il dépense.


C'est seulement lorsqu'il dépense que l'homme commence à agir dans le sens social. Et ce qui est en cause, c'est que c'est justement lors de la dépense - je ne pense pas à des impôts indirects, mais à des impôts sur les dépenses, ce qui est complètement différent -, que le paiement de l’impôt doit intervenir. Bien sûr, je ne peux pas vous développer cela dans le détail bien que cela puisse l'être, parce que cela suppose de larges connaissances économiques bien trop étendues pour les aborder dans une conférence. Mais un peu de cela peut quand même – j’aimerai dire – être utilisé pour information.

Dans la vie économique saine, désarticulée des membres restants de l’organisme social, peut se montrer, que par exemple sur un territoire, pour des raisons géographiques le blé doit être produit à plus cher que dans les autres. Et cela peut se présenter que par pure vie associative la compensation ne puisse se faire. Alors par la vie juridique la chose peut être pleinement corrigée, en ce que simplement dans un tel cas – cela se présenterait même de soi-même – ceux qui achètent le blé moins cher, cela signifie dépensent moins, auraient à payer des impôts plus élevés que ceux qui l’achèteraient plus cher, donc devraient dépenser plus.

Quand l’État de droit régule justement le droit dans la vie économique de manière correcte, quand l’union des agriculteurs ne siège pas au Reichtag, mais que siègent purement, ceux qui d’humain à humain ont à se prononcer sur le droit, vous pouvez,  aboutir à une complète régulation dans la vie économique.

Je montre cela dans l’abstrait, en général.
Cela serait à développer dans tous les détails.
Le rapport fiscal est, d’après cela, une question qui doit être réglée entre la vie économique et la vie du droit.

Mais le rapport entre la vie économique et la vie du droit d’une part, la vie spirituelle de l’autre est ainsi qu’il ne peut se fonder que sur une compréhension confiante. Ainsi comme le débours (NDT Abgabe) fiscal doit en être un de mesure contraignante, aussi dans l’organisme social sain, ainsi le débours pour la vie spirituelle peut de l’autre côté en être seulement un de plein gré ; car la vie spirituelle doit pleinement être placée sur l’esprit de l’humanité. Elle doit être pleinement émancipée de toutes les autres. Alors, elle agit à nouveau tout de suite de la plus profonde, intensive manière sur ces autres en retour.]

[SamF/F002189094097195702031919.html

Das heißt, es muß alles das, was sich auf politische Verhältnisse bezieht neben dem Wirtschaftsleben eine relative Selbständigkeit haben.
Wenn man das durchschaut, bemerkt man auch die Unwahrheit, die in dem Verhältnisse liegt zwischen Arbeitgeber und Arbeitnehmer, und die sich so darstellt, als wenn die Arbeitskraft wirklich vergütet würde. Sie wird nämlich zunächst gar nicht unmittelbar vergütet, sondern nur mittelbar. Was vorliegt, ist ein gewisses scheinbares, aber zur wirtschaftlichen Gewalt gewordenes Recht, durch das der Arbeitgeber den Arbeiter an die Maschine oder in die Fabrik hineinzwingt, - nicht ganz offenbar, aber eigentlich im geheimen hineinzwingt.
Das, was nun getauscht wird, ist in Wirklichkeit nicht Arbeitskraft gegen Ware oder Warenrepräsentanz, das heißt Geld, sondern Leistungen: Vom Arbeiter produzierte Waren werden gegen andere Waren beziehungsweise Geld eingetauscht. Gegen die Waren, die der Unternehmer ihm gibt, tauscht der Arbeiter die Waren ein, die er produziert. So wird erst die Unwahrheit, als ob Ware gegen Arbeitskraft getauscht würde, offenbar. Und das empfindet der moderne Proletarier im Geheimen als menschenunwürdig, indem er sich sagt: du produzierst so und so viel an Ware, und davon gibt dir der Unternehmer nur so und so viel ab.



Das rechtmäßige Verhältnis zwischen dem Arbeitnehmer und dem Unternehmer kann nämlich gar nicht in der Sphäre des Wirtschaftsprozesses hergestellt werden, sondern nur in der Sphäre des politischen Staates, als ein Rechtsverhältnis. Darauf kommt es an. Steht der Mensch auf der einen Seite auf dem Boden des Wirtschaftslebens und auf der anderen Seite auf dem Boden des selbständigen Rechtslebens, dann wird dieses Wirtschaftsleben von zwei Seiten her bestimmt; auf der einen Seite vom Rechtsleben, auf der andern Seite ist es abhängig von den von der Menschentätigkeit unabhängigen Naturfaktoren.
Ich habe Ihnen in den öffentlichen Basler Vorträgen angeführt, daß in einer bestimmten Bodengegend, um zum Beispiel Weizen hervorzubringen, mehr Arbeit aufgewendet werden muß als in anderen Gegenden, wo die Ertragsfähigkeit sogar noch höher ist. Das sind die Naturgrundlagen. Diese grenzen auf der einen Seite an das Wirtschaftsleben an. Auf der anderen Seite muß das, was zum Beispiel als ein Verhältnis zwischen Arbeitgeber und Arbeitnehmer sich herausstellen soll, aus dem Rechtsleben in das Wirtschaftsleben fließen.
Nun werden Leute, die von den Dingen bloß die Oberfläche sehen, sagen: Ja, aber das ist ja heute schon der Fall, denn es wird ein Arbeitsvertrag geschlossen. Was nützt das, wenn der Arbeitsvertrag geschlossen wird über etwas, was eigentlich ein kaschiertes Lügenverhältnis ist? Der Arbeitsvertrag wird nämlich geschlossen gerade über das Verhältnis zwischen Arbeitgeber und Arbeitnehmer in bezug auf die Arbeitskraft und ihre Entlohnung. Erst dann wird das richtige Verhältnis hergestellt werden, wenn der Vertrag nicht geschlossen wird über die Entlohnung, sondern über die Art und Weise, wie Arbeitgeber und Arbeitnehmer die Leistung, die hervorgebracht wird, teilen. Dann wird der Arbeiter - und darauf kommt viel mehr an als auf alles, was die Leute heute glauben - einsehen, daß ohne Mehrwert-Erzeugung gar nicht auszukommen ist.
Aber er muß sehen können, wie der Mehrwert entsteht. Er darf nicht in ein Lügenverhältnis hineingebaut werden. Dann wird der Arbeiter einsehen, daß es ohne Mehrwerterzeugung überhaupt keine geistige Kultur, daß es auch keinen Rechtsstaat geben kann, denn das alles fließt aus dem Mehrwert. Wenn aber der soziale Organismus gesund ist, ergibt sich das alles aus dem dreigliedrigen sozialen Organismus.

Nun kann man natürlich über diese Anschauung nicht nur stundenlang, sondern wochenlang sprechen, und das haben wir ja fast schon getan; aber wir kommen natürlich immer wieder zu neuen Einzelheiten, die uns die Sache verständlicher machen sollen, denn jede einzelne konkrete Frage läßt sich ahnen, die entstehen wird, und deren Beantwortung Da muß vor allen Dingen folgendes bedacht werden: Im Wirtschaftsleben werden Waren ausgetauscht. An das Wirtschaftsleben ist angegliedert das Leben des politischen Staates im engeren Sinne. Der begrenzt die Arbeitskraft im menschlichen Zusammenleben, im Rechtsleben. So daß, während das Wirtschaftsleben auf der einen Seite von der Naturgrundlage abhängig ist, es auf der anderen Seite von dem abhängig ist, was durch den Rechtsstaat festgestellt wird, also zum Beispiel Arbeitszeit, Verhältnis der Arbeit zum einzelnen Menschen, zu seiner Stärke, zu seiner Schwäche, seinem Lebensalter. Es kann nicht einen Maximal-Arbeitstag oder so etwas geben, sondern es kann in Wirklichkeit nur eine Begrenzung nach oben und nach unten geben. Das alles sind Bedingungen, die dem Wirtschaftsleben von der Seite des Rechtsstaates zufließen, ebenso wie die Naturgrundlage ihm von der anderen Seite her entgegentritt.
Wird einmal der soziale Organismus in dieser Weise gesunden, dann wird auch das ganz Ungeheuerliche verschwinden, daß die Entlohnung aus dem Wirtschaftsleben selbst heraus erfolgt. Die Tatsache, daß der Lohn bei guter Konjunktur steigt, in der Krise dagegen vermindert wird, wird sich in das Entgegengesetzte verwandeln. Die gute Konjunktur wird entstehen können unter dem Einfluß des Arbeitslohnes und umgekehrt.



05032 - Besonders ersichtlich kann das auch sein bei der Grundrente, die heute vielfach abhängig ist von dem Preise der Waren, die auf dem Grund und Boden erzeugt werden, von dem Marktpreis der Waren. Das gesunde Verhältnis ist nur das Umgekehrte: Wenn das Recht, das sich in der Grundrente zum Ausdruck bringt, wiederum den Marktpreis beeinflußt. Vielfach stellen sich unter dieser Dreigliederung gerade die umgekehrten Verhältnisse ein, die heute da sind und die unsere revolutionären Konvulsionen verursacht haben. Denn das ganze Leben wird in einer anderen Weise verlaufen.

Was ist vor allen Dingen zu beachten in dem Verhältnisse zwischen dem Wirtschaftsleben und dem politischen Staat im engeren Sinne? Wählen wir als Beispiel etwas, was manchmal recht unangenehm empfunden wird: das Steuerzahlen. In bezug auf das Steuerzahlen handelt es sich nur darum, klar zu durchschauen, wie die Steuer aus dem Mehrwert heraus erfließen muß, indem man im demokratischen politischen Zusammenleben die Lebensbedingungen des politischen Organismus immer ebenso vor Augen hat, wie man das Wirtschaftsleben vor Augen hat, indem man kauft und verkauft, und so aus den menschlichen Bedürfnissen heraus die Realität dieses Wirtschaftsverhältnisses deutlich wahrnimmt. Auch hieraus wird sich das Gegenteil von dem ergeben, was vorhanden ist. Ich sage nicht, daß man die Steuergesetzgebung ändern soll; unter den heutigen Verhältnissen läßt sich vieles nicht ändern, es sei denn, daß die Fehler auf eine andere Seite verschoben werden. Aber unter dem Einfluß des gesunden dreigliedrigen Organismus werden sich über manches im sozialen Leben ganz andere Anschauungen herausbilden. Man wird einsehen, daß es für das soziale Leben als solches, für das Leben des Menschen im sozialen Organismus bedeutungslos ist, wenn der Mensch Geld einnimmt. Denn indem der Mensch Geld einnimmt, sondert er sich heraus aus dem sozialen Organismus, und dem sozialen Organismus kann das höchst gleichgültig sein. Für seine Funktionen hat es gar keine Bedeutung, was der Mensch einnimmt; denn erst indem der Mensch ausgibt, wird er ein soziales Wesen. Beim Ausgeben fängt der Mensch erst an, in sozialer Weise zu wirken. Und da handelt es sich darum, daß gerade beim Ausgeben - ich denke nicht an indirekte Steuern, sondern an Ausgaben-Steuern, was ganz etwas anderes ist -, daß gerade beim Ausgeben das Steuerzahlen einsetzen muß. Natürlich kann ich Ihnen das nicht in Einzelheiten auseinandersetzen, obwohl diese ausgearbeitet werden können - weil es viel zu weitgehende volkswirtschaftliche Kenntnisse voraussetzt, um es in einem Vortrag auseinanderzusetzen. Aber einiges davon kann doch - ich möchte sagen - mitteilend angewendet werden.

In dem gesunden, von den übrigen Gliedern des sozialen Organismus abgegliederten Wirtschaftsleben kann sich zeigen, daß zum Beispiel auf einem Territorium aus geographischen Gründen Weizen infolge der Naturgrundlage teurer erzeugt werden muß als in dem anderen. Und da kann sich herausstellen, daß durch das bloße Assoziationsleben der Ausgleich nicht geschaffen wird. Dann kann durch das Rechtsleben die Sache völlig korrigiert werden, indem einfach in einem solchen Falle - das würde sich sogar von selbst ergeben - die, die den Weizen billiger kaufen, das heißt weniger ausgeben, höhere Steuern zu zahlen haben als die, welche den Weizen teurer kaufen, also mehr ausgeben müssen.
Sie können, wenn der Rechtsstaat eben das Recht im Wirtschaftsleben in der richtigen Weise reguliert, wenn nicht die Rechte nur verwirklichte Interessen des Wirtschaftsleben sind, wenn nicht in dem Reichstag der Bund der Landwirte sitzt, sondern die bloß sitzen, die von Mensch zu Mensch über das Recht zu befinden haben, eine vollständige Regulierung im Wirtschaftsleben herbeiführen. Ich deute das abstrakt im allgemeinen an. In allen Einzelheiten wäre das auszuführen. Das Steuerverhältnis ist demnach eine Frage, die zwischen dem Wirtschaftsleben und dem Rechtsleben geregelt werden muß.
Das Verhältnis aber zwischen dem Wirtschaftsleben und Rechtsleben auf der einen, dem Geistesleben auf der anderen Seite ist so, daß es sich überhaupt nur auf vertrauendes Verständnis begründen kann. So wie die Steuerabgabe eine zwangsmäßige sein muß, auch im gesunden sozialen Organismus, so kann auf der anderen Seite die Abgabe für das geistige Leben nur eine freiwillige sein; denn das geistige Leben muß völlig auf den Geist der Menschheit gestellt werden. Es muß völlig emanzipiert werden von allem anderen. Dann wirkt es wiederum gerade in der tiefsten, intensivsten Weise auf dieses andere zurück.]