[SamF/F002189094097195702031919.html
Cela signifie, tout ce qui se
rapporte aux conditions politiques
doit avoir une relative autonomie à
côté de la vie économique.
Lorsqu’on considère cela, on remarque
aussi la non-vérité, qui repose dans
les conditions entre employeur et
employé, et qui se décrit ainsi, comme
si la force de travail était vraiment
rémunérée. Elle ne sera en effet
d'abord pas du tout rémunérée
directement, mais seulement
indirectement. Ce qui se présente est
une certaine apparence, mais un droit
devenu pouvoir économique, par lequel
l’employeur contraint l’employé à la
machine ou dans la fabrique, - pas
entièrement manifestement, mais en
fait le contraint en secret.
Ce qui est maintenant échangé, n’est
en réalité pas force de travail contre
marchandise ou représentant de
marchandise, cela signifie argent,
mais des prestations : les
marchandises produites par le
travailleur sont échangées contre
d’autres marchandises, respectivement
de l’argent. Contre les marchandises
que l’entrepreneur lui donne, le
travailleur échange les marchandises
qu’il produit. Ainsi devient d’abord
évidente la non-vérité, comme quoi
seraient échangées des marchandises
contre de la force de travail. Et ça,
le prolétariat moderne l’éprouve en
secret comme humainement indigne, en
ce qu’il dise : tu produis tant
et tant de marchandises, et de cela
l’entrepreneur ne te donne seulement
que tant et tant.
Le rapport de nature juridique entre
l’employé et l’entrepreneur ne peut
notamment pas du tout être établi dans
la sphère du processus économique,
mais seulement dans la sphère de
l’État politique, comme un rapport de
droit. C’est de cela qu’il s’agit.
L’humain se tient-il d’un côté sur le
sol de la vie économique et de l’autre
côté sur le sol de la vie de droit
autonome, alors cette vie économique
sera déterminée de deux côtés :
d’un côté par la vie du droit, de
l’autre côté elle est dépendante des
facteurs naturels indépendants de
l’activité humaine.
Je vous ai mentionné dans les
conférences publiques de Bâle que dans
une région de sol déterminée pour, par
exemple, produire des céréales, plus
de travail doit être mis en œuvre que
dans une autre région où la capacité
de rapport est même plus élevée. Ce
sont les conditions naturelles.
Celles-ci forment une frontière d’un
côté de la vie économique. De l’autre
côté ce qui doit, par exemple, se
dégager comme un rapport entre employé
et employeur doit couler de la vie du
droit dans la vie de l'économie.
Maintenant des gens, qui voient des
choses à peine la surface,
disent : oui, mais c’est
aujourd’hui déjà le cas, car est
conclu un contrat de travail. À quoi
cela sert, quand le contrat de travail
sera conclu sur quelque chose, qui est
en fait un rapport caché
mensonger ? Le contrat de travail
sera notamment conclu justement sur le
rapport entre employé et employeur en
rapport à la force de travail et sa
rémunération. D’abord seulement sera
établi un véritable rapport, quand le
contrat ne sera pas conclu sur la
rémunération, mais sur l’art et la
manière comment employé et employeur
partagent la prestation qui sera
produite.
Alors, le travailleur reconnaîtra - et
de là-dessus dépend bien plus que sur
tout ce que les gens croient - que
sans génération de plus-value rien du
tout ne peut en sortir.
Mais il doit pouvoir voir, comment la
plus-value apparaît. Il n’a pas le
droit d’être inséré dans un rapport
mensonger. Alors le travailleur
reconnaîtra, que sans formation de
plus-value il ne peut absolument y
avoir aucune culture spirituelle,
aussi pas d’État de droit, car tout ça
coule de la plus-value. Mais quand
l’organisme social est sain, tout cela
se montre de l’organisme social
triarticulé.
Maintenant on peut parler sur cette
façon de voir non pas seulement des
heures, mais des semaines, et cela
nous l’avons donc déjà presque
fait ; mais nous en venons
naturellement toujours à nouveau à de
nouvelles particularités, qui doivent
nous faire la chose plus
compréhensible, car chaque question
concrète particulière se laisse
pressentir, nous naissons à elle, et à
sa réponse. Là doit avant toute chose
être pensé : dans la vie
économique seront échangées des
marchandises. À la vie économique est
articulée la vie de l’État politique
au sens restreint. Celui-là limite la
force de travail dans la vie commune
humaine, dans la vie de droit. Ainsi
que, pendant que l’économie est
dépendante d’un côté des conditions
naturelles, elle est dépendante de
l’autre côté de ce qui est fixé par
l’État de droit, donc par exemple du
temps de travail, conditions de
travail de l’humain particulier, à sa
force, à sa faiblesse, son âge. Il ne
peut plus y avoir un jour de travail
maximal ou du genre, mais en réalité
il ne peut plus y avoir qu’une
limitation vers le haut et vers le
bas. Tout cela sont des conditions,
qui coulent vers la vie économique du
côté de l’État de droit, tout comme
les conditions naturelles se
présentent à lui de l’autre côté.
L’organisme social est-il de cette
manière une fois assaini, alors
disparaîtra aussi le complètement
monstrueux, que la rémunération ait
lieu à partir de la vie économique
elle-même. Le fait que la rémunération
grimpe par bonne conjoncture, sera par
contre réduite dans la crise, se
transformera dans la loi contraire. La
bonne conjoncture pourra apparaître
sous l’influence du salaire et
inversement.
La rente foncière, bien une question
de droit entraînant la correction par
la vie politique de ce que la vie
économique associative ne peut
compenser. Mais ce ne saurait être le
cas pour la vie de l'esprit.
05032 – Cela peut être aussi
particulièrement visible avec la rente
foncière, qui aujourd’hui est
diversement dépendante du prix des
marchandises, qui sont produites sur
fond et sol, du prix de marché des
marchandises. Le rapport sain est
seulement l’inverse, quand le droit
qui s’amène à l’expression dans la
rente foncière influence de son côté
le prix de marché. Diversement se
manifestent sous cette triarticulation
tout de suite des rapports inversés
vis-à-vis des actuels, qui ont causé
nos convulsions révolutionnaires.
Toute la vie se déroulera d’une autre
manière.
À quoi faut-il veiller avant toute
chose dans le rapport entre vie
économique et État politique au sens
restreint ? Choisissons comme
exemple quelque chose, qui parfois est
bien éprouvé désagréablement :
payer des impôts. En rapport à payer
des impôts il s’agit seulement de voir
clair comment l’impôt doit s’écouler
de la plus-value, en ce qu’on ait
ainsi toujours à l’œil dans la vie
commune politique démocratique les
conditions de vie de l’organisme
politique, comme on a devant les yeux
la vie économique, en ce qu’on achète
et vend, et ainsi à partir des besoins
humains on perçoit clairement la
réalité de ces conditions économiques.
Aussi de cela se présentera le
contraire de ce qui est disponible. Je
ne dis pas que l’on doit changer la
loi fiscale ; sous les conditions
actuelles, beaucoup ne se laisse pas
changer, ce serait alors que les
erreurs seraient repoussées d’un autre
côté.
Mais sous l’influence du sain
organisme triarticulé se formeront de
toutes autres façons de voir sur
maintes choses. On reconnaîtra que
pour la vie sociale comme telle, que
pour la vie des humains dans
l’organisme social est sans
signification, quand l’humain encaisse
de l’argent. Car en ce que l'homme
perçoit de l'argent, il se distingue
de l'organisme social, et cela peut au
plus être indifférent à l'organisme
social. Car cela n'a aucun sens pour
ses fonctions, ce que l'homme perçoit,
mais l'homme devient seulement un être
social lorsqu'il dépense.
C'est seulement lorsqu'il dépense que
l'homme commence à agir dans le sens
social. Et ce qui est en cause, c'est
que c'est justement lors de la dépense
- je ne pense pas à des impôts
indirects, mais à des impôts sur les
dépenses, ce qui est complètement
différent -, que le paiement de
l’impôt doit intervenir. Bien sûr, je
ne peux pas vous développer cela dans
le détail bien que cela puisse l'être,
parce que cela suppose de larges
connaissances économiques bien trop
étendues pour les aborder dans une
conférence. Mais un peu de cela peut
quand même – j’aimerai dire – être
utilisé pour information.
Dans la vie économique saine,
désarticulée des membres restants de
l’organisme social, peut se montrer,
que par exemple sur un territoire,
pour des raisons géographiques le blé
doit être produit à plus cher que dans
les autres. Et cela peut se présenter
que par pure vie associative la
compensation ne puisse se faire. Alors
par la vie juridique la chose peut
être pleinement corrigée, en ce que
simplement dans un tel cas – cela se
présenterait même de soi-même – ceux
qui achètent le blé moins cher, cela
signifie dépensent moins, auraient à
payer des impôts plus élevés que ceux
qui l’achèteraient plus cher, donc
devraient dépenser plus.
Quand l’État de droit régule
justement le droit dans la vie
économique de manière correcte, quand
l’union des agriculteurs ne siège pas
au Reichtag, mais que siègent
purement, ceux qui d’humain à humain
ont à se prononcer sur le droit, vous
pouvez, aboutir à une complète
régulation dans la vie économique.
Je montre cela dans l’abstrait, en
général.
Cela serait à développer dans tous les
détails.
Le rapport fiscal est, d’après cela,
une question qui doit être réglée
entre la vie économique et la vie du
droit.
Mais le rapport entre la vie
économique et la vie du droit d’une
part, la vie spirituelle de l’autre
est ainsi qu’il ne peut se fonder que
sur une compréhension confiante. Ainsi
comme le débours (NDT Abgabe)
fiscal doit en être un de mesure
contraignante, aussi dans l’organisme
social sain, ainsi le débours pour la
vie spirituelle peut de l’autre côté
en être seulement un de plein
gré ; car la vie spirituelle doit
pleinement être placée sur l’esprit de
l’humanité. Elle doit être pleinement
émancipée de toutes les autres. Alors,
elle agit à nouveau tout de suite de
la plus profonde, intensive manière
sur ces autres en retour.]
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[SamF/F002189094097195702031919.html
Das heißt, es muß alles
das, was sich auf politische
Verhältnisse bezieht neben dem
Wirtschaftsleben eine relative
Selbständigkeit haben.
Wenn man das durchschaut, bemerkt man
auch die Unwahrheit, die in dem
Verhältnisse liegt zwischen
Arbeitgeber und Arbeitnehmer, und die
sich so darstellt, als wenn die
Arbeitskraft wirklich vergütet würde.
Sie wird nämlich zunächst gar nicht
unmittelbar vergütet, sondern nur
mittelbar. Was vorliegt, ist ein
gewisses scheinbares, aber zur
wirtschaftlichen Gewalt gewordenes
Recht, durch das der Arbeitgeber den
Arbeiter an die Maschine oder in die
Fabrik hineinzwingt, - nicht ganz
offenbar, aber eigentlich im geheimen
hineinzwingt.
Das, was nun getauscht wird, ist in
Wirklichkeit nicht Arbeitskraft gegen
Ware oder Warenrepräsentanz, das heißt
Geld, sondern Leistungen: Vom Arbeiter
produzierte Waren werden gegen andere
Waren beziehungsweise Geld
eingetauscht. Gegen die Waren, die der
Unternehmer ihm gibt, tauscht der
Arbeiter die Waren ein, die er
produziert. So wird erst die
Unwahrheit, als ob Ware gegen
Arbeitskraft getauscht würde,
offenbar. Und das empfindet der
moderne Proletarier im Geheimen als
menschenunwürdig, indem er sich sagt:
du produzierst so und so viel an Ware,
und davon gibt dir der Unternehmer nur
so und so viel ab.
Das rechtmäßige
Verhältnis zwischen dem Arbeitnehmer
und dem Unternehmer kann nämlich gar
nicht in der Sphäre des
Wirtschaftsprozesses hergestellt
werden, sondern nur in der Sphäre des
politischen Staates, als ein
Rechtsverhältnis. Darauf kommt es an.
Steht der Mensch auf der einen Seite
auf dem Boden des Wirtschaftslebens
und auf der anderen Seite auf dem
Boden des selbständigen Rechtslebens,
dann wird dieses Wirtschaftsleben von
zwei Seiten her bestimmt; auf der
einen Seite vom Rechtsleben, auf der
andern Seite ist es abhängig von den
von der Menschentätigkeit unabhängigen
Naturfaktoren.
Ich habe Ihnen in den öffentlichen
Basler Vorträgen angeführt, daß in
einer bestimmten Bodengegend, um zum
Beispiel Weizen hervorzubringen, mehr
Arbeit aufgewendet werden muß als in
anderen Gegenden, wo die
Ertragsfähigkeit sogar noch höher ist.
Das sind die Naturgrundlagen. Diese
grenzen auf der einen Seite an das
Wirtschaftsleben an. Auf der anderen
Seite muß das, was zum Beispiel als
ein Verhältnis zwischen Arbeitgeber
und Arbeitnehmer sich herausstellen
soll, aus dem Rechtsleben in das
Wirtschaftsleben fließen.
Nun werden Leute, die von den Dingen
bloß die Oberfläche sehen, sagen: Ja,
aber das ist ja heute schon der Fall,
denn es wird ein Arbeitsvertrag
geschlossen. Was nützt das, wenn der
Arbeitsvertrag geschlossen wird über
etwas, was eigentlich ein kaschiertes
Lügenverhältnis ist? Der
Arbeitsvertrag wird nämlich
geschlossen gerade über das Verhältnis
zwischen Arbeitgeber und Arbeitnehmer
in bezug auf die Arbeitskraft und ihre
Entlohnung. Erst dann wird das
richtige Verhältnis hergestellt
werden, wenn der Vertrag nicht
geschlossen wird über die Entlohnung,
sondern über die Art und Weise, wie
Arbeitgeber und Arbeitnehmer die
Leistung, die hervorgebracht wird,
teilen. Dann wird der Arbeiter - und
darauf kommt viel mehr an als auf
alles, was die Leute heute glauben -
einsehen, daß ohne Mehrwert-Erzeugung
gar nicht auszukommen ist.
Aber er muß sehen können, wie der
Mehrwert entsteht. Er darf nicht in
ein Lügenverhältnis hineingebaut
werden. Dann wird der Arbeiter
einsehen, daß es ohne
Mehrwerterzeugung überhaupt keine
geistige Kultur, daß es auch keinen
Rechtsstaat geben kann, denn das alles
fließt aus dem Mehrwert. Wenn aber der
soziale Organismus gesund ist, ergibt
sich das alles aus dem dreigliedrigen
sozialen Organismus.
Nun kann man natürlich über diese
Anschauung nicht nur stundenlang,
sondern wochenlang sprechen, und das
haben wir ja fast schon getan; aber
wir kommen natürlich immer wieder zu
neuen Einzelheiten, die uns die Sache
verständlicher machen sollen, denn
jede einzelne konkrete Frage läßt sich
ahnen, die entstehen wird, und deren
Beantwortung Da muß vor allen Dingen
folgendes bedacht werden: Im
Wirtschaftsleben werden Waren
ausgetauscht. An das Wirtschaftsleben
ist angegliedert das Leben des
politischen Staates im engeren Sinne.
Der begrenzt die Arbeitskraft im
menschlichen Zusammenleben, im
Rechtsleben. So daß, während das
Wirtschaftsleben auf der einen Seite
von der Naturgrundlage abhängig ist,
es auf der anderen Seite von dem
abhängig ist, was durch den
Rechtsstaat festgestellt wird, also
zum Beispiel Arbeitszeit, Verhältnis
der Arbeit zum einzelnen Menschen, zu
seiner Stärke, zu seiner Schwäche,
seinem Lebensalter. Es kann nicht
einen Maximal-Arbeitstag oder so etwas
geben, sondern es kann in Wirklichkeit
nur eine Begrenzung nach oben und nach
unten geben. Das alles sind
Bedingungen, die dem Wirtschaftsleben
von der Seite des Rechtsstaates
zufließen, ebenso wie die
Naturgrundlage ihm von der anderen
Seite her entgegentritt.
Wird einmal der soziale Organismus in
dieser Weise gesunden, dann wird auch
das ganz Ungeheuerliche verschwinden,
daß die Entlohnung aus dem
Wirtschaftsleben selbst heraus
erfolgt. Die Tatsache, daß der Lohn
bei guter Konjunktur steigt, in der
Krise dagegen vermindert wird, wird
sich in das Entgegengesetzte
verwandeln. Die gute Konjunktur wird
entstehen können unter dem Einfluß des
Arbeitslohnes und umgekehrt.
05032 - Besonders
ersichtlich kann das auch sein bei
der Grundrente, die heute vielfach
abhängig ist von dem Preise der
Waren, die auf dem Grund und Boden
erzeugt werden, von dem Marktpreis
der Waren. Das gesunde Verhältnis
ist nur das Umgekehrte: Wenn das
Recht, das sich in der Grundrente zum Ausdruck bringt,
wiederum den Marktpreis beeinflußt.
Vielfach stellen sich unter dieser
Dreigliederung gerade die
umgekehrten Verhältnisse ein, die
heute da sind und die unsere
revolutionären Konvulsionen
verursacht haben. Denn das ganze
Leben wird in einer anderen Weise
verlaufen.
Was ist vor allen
Dingen zu beachten in dem Verhältnisse
zwischen dem Wirtschaftsleben und dem
politischen Staat im engeren Sinne?
Wählen wir als Beispiel etwas, was
manchmal recht unangenehm empfunden
wird: das Steuerzahlen. In bezug auf
das Steuerzahlen handelt es sich nur
darum, klar zu durchschauen, wie die
Steuer aus dem Mehrwert heraus
erfließen muß, indem man im
demokratischen politischen
Zusammenleben die Lebensbedingungen
des politischen Organismus immer
ebenso vor Augen hat, wie man das
Wirtschaftsleben vor Augen hat, indem
man kauft und verkauft, und so aus den
menschlichen Bedürfnissen heraus die
Realität dieses
Wirtschaftsverhältnisses deutlich
wahrnimmt. Auch hieraus wird sich das
Gegenteil von dem ergeben, was
vorhanden ist. Ich sage nicht, daß man
die Steuergesetzgebung ändern soll;
unter den heutigen Verhältnissen läßt
sich vieles nicht ändern, es sei denn,
daß die Fehler auf eine andere Seite
verschoben werden. Aber unter dem
Einfluß des gesunden dreigliedrigen
Organismus werden sich über manches im
sozialen Leben ganz andere
Anschauungen herausbilden. Man wird
einsehen, daß es für das soziale Leben
als solches, für das Leben des
Menschen im sozialen Organismus
bedeutungslos ist, wenn der Mensch
Geld einnimmt. Denn indem der Mensch
Geld einnimmt, sondert er sich heraus
aus dem sozialen Organismus, und dem
sozialen Organismus kann das höchst
gleichgültig sein. Für seine
Funktionen hat es gar keine Bedeutung,
was der Mensch einnimmt; denn erst
indem der Mensch ausgibt, wird er ein
soziales Wesen. Beim Ausgeben fängt
der Mensch erst an, in sozialer Weise
zu wirken. Und da handelt es sich
darum, daß gerade beim Ausgeben - ich
denke nicht an indirekte Steuern,
sondern an Ausgaben-Steuern, was ganz
etwas anderes ist -, daß gerade beim
Ausgeben das Steuerzahlen einsetzen
muß. Natürlich kann ich Ihnen das
nicht in Einzelheiten
auseinandersetzen, obwohl diese
ausgearbeitet werden können - weil es
viel zu weitgehende
volkswirtschaftliche Kenntnisse
voraussetzt, um es in einem Vortrag
auseinanderzusetzen. Aber einiges
davon kann doch - ich möchte sagen -
mitteilend angewendet werden.
In dem gesunden, von den übrigen
Gliedern des sozialen Organismus
abgegliederten Wirtschaftsleben kann
sich zeigen, daß zum Beispiel auf
einem Territorium aus geographischen
Gründen Weizen infolge der
Naturgrundlage teurer erzeugt werden
muß als in dem anderen. Und da kann
sich herausstellen, daß durch das
bloße Assoziationsleben der Ausgleich
nicht geschaffen wird. Dann kann durch
das Rechtsleben die Sache völlig
korrigiert werden, indem einfach in
einem solchen Falle - das würde sich
sogar von selbst ergeben - die, die
den Weizen billiger kaufen, das heißt
weniger ausgeben, höhere Steuern zu
zahlen haben als die, welche den
Weizen teurer kaufen, also mehr
ausgeben müssen.
Sie können, wenn der Rechtsstaat eben
das Recht im Wirtschaftsleben in der
richtigen Weise reguliert, wenn nicht
die Rechte nur verwirklichte
Interessen des Wirtschaftsleben sind,
wenn nicht in dem Reichstag der Bund
der Landwirte sitzt, sondern die bloß
sitzen, die von Mensch zu Mensch über
das Recht zu befinden haben, eine
vollständige Regulierung im
Wirtschaftsleben herbeiführen. Ich
deute das abstrakt im allgemeinen an.
In allen Einzelheiten wäre das
auszuführen. Das Steuerverhältnis ist
demnach eine Frage, die zwischen dem
Wirtschaftsleben und dem Rechtsleben
geregelt werden muß.
Das Verhältnis aber zwischen dem
Wirtschaftsleben und Rechtsleben auf
der einen, dem Geistesleben auf der
anderen Seite ist so, daß es sich
überhaupt nur auf vertrauendes
Verständnis begründen kann. So wie die
Steuerabgabe eine zwangsmäßige sein
muß, auch im gesunden sozialen
Organismus, so kann auf der anderen
Seite die Abgabe für das geistige
Leben nur eine freiwillige sein; denn
das geistige Leben muß völlig auf den
Geist der Menschheit gestellt werden.
Es muß völlig emanzipiert werden von
allem anderen. Dann wirkt es wiederum
gerade in der tiefsten, intensivsten
Weise auf dieses andere zurück.]
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