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Institut pour une triarticulation sociale
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Collection: 201 - La rente foncière / Die Grundrente
Minimum d'existence, rente foncière, rente du sol : le minimum (difficile) à comprendre pour une évolution prospère de l'humanité Existenzminimum, Grundrente, Bodenrente : der minimum (schwer) zu verstehen zur eine gedeihliche Fortentwickelung der Menschheit

 

 
Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA189 035-039 (1980) 16/02/1919

Original

Traducteur: FG v. 2 au 03/05/2016 Editeur: SITE

[SamF/05189035037198016021919.html

Pour l’obtention d'une compréhension sociale est nécessaire que nous nous transplantions dans la situation de revenir au fondamental, au primaire et ne restions pas planté avec notre compréhension au secondaire ou tertiaire, en ce qui n’est qu’apparition de conséquences. On peut par exemple dire à partir d’une certaine situation de vie : l'être humain à besoin au minimum de tant et tant de valeurs – donc, disons d’argent, parce que nous avons déjà une fois converti les valeurs en argent - pour mener sa vie. Mais on peut parler de ce minimum d’existence ainsi que dans une certaine situation de vie. Mais on peut parler de ce minimum d’existence ainsi qu'on dit d’un côté quelque chose d’apparemment hautement évident et de l’autre un plein non-sens. Je veux essayer de vous rendre cela clair à un exemple.

Lorsque vous prenez les conditions de vie données sur un quelconque territoire, ainsi vous pouvez peut-être déjà dire à partir du ressenti : un travailleur manuel à besoin de tant et tant comme minimum d’existence, sinon il ne peut vivre dans cette communauté. Cela peut être un concept apparemment tout à fait évident. Mais comment est-ce quand cela ne se laisse pas réaliser d’après les conditions préalables que j’ai justement citées dans un organisme social déterminé  ?
Vous devez avant toutes choses répondre pour vous à cette question : quoi alors, quand cela est impossible à réaliser ?


C'est cela n'est justement, quand on réfléchit ainsi que je l’ai justement exposé maintenant, pas une pensée première/primaire (NDT je n'opte pas ici entre les deux pour signifier que « primaire » est a prendre au sens de « premier »). On ne retourne pas aux choses fondamentales, mais on s'attache à quelque chose de secondaire, à quelque chose qui est une pure apparition de conséquence. On doit toujours être en mesure de se rattacher aux choses fondamentales pour sa compréhension sociale. Ainsi une chose fondamentale est qu’on puisse se procurer un avis, un avis promouvant la vie, comment tout de suite, d’après les conditions de vie de l’organisme social, peut être le minimum d’existence, et avec « promouvant la vie », je pense dans ce cas un tel avis qu’une situation sociale possible et une vie en commun sociale possible des humains s’ensuivent.
C’est le premier/primaire.

Et maintenant on vient toutefois là à certaines représentations qui sont vraiment incommodes pour la plus grande partie de l’humanité actuelle, parce que, dans les derniers siècles, a été négligée la formation scolaire primitive/initiale, qui devrait aller sur de telles choses, vraiment diriger vers de telles choses. Il devrait pouvoir devenir aujourd'hui déjà bientôt clair aux êtres humains que pour être un être humain à peu près cultivé (NDT lit cultivé à mi-chemin) , on ne devrait pas purement savoir que trois fois neuf sont vingt-sept, mais qu'on devrait aussi savoir ce que c’est en fait par exemple la chose qu’on nomme « rente foncière ». Maintenant je vous demande, combien d’êtres humains aujourd’hui ont une représentation claire de ce qu’est la rente foncière ?
Mais sans embrasser du regard l’organisme social en rapport à de telles choses, ne se laisse absolument pas provoquer une évolution prospère de l’humanité.
Ces choses sont progressivement venues en grand désarroi. Et les rapports embrouillés, ils ne conduisent aujourd’hui les humains en leurs représentations, pas ce que sont de vraies conditions sur ce domaine. Voyez-vous, la rente foncière, qu’on peut évaluer/estimée de quelque manière d’après la productivité qu’a un morceau de terre sur un quelque territoire, cette rente foncière, elle donne maintenant, disons, une certaine somme pour un territoire délimité étatiquement. Le sol est d’après sa productivité, cela signifie selon la façon ou d’après le degré de l’utilisation rationnelle vis-à-vis de l’ensemble de l'économie de tant et tant de valeur. Pour les êtres humains, c’est aujourd’hui très difficile de penser cette simple valeur du sol en concepts clairs, parce que dans la vie économique capitaliste actuelle l’intérêt du capital ou le capital s’est absolument confondu avec la rente du sol, parce que la véritable/réelle valeur d’économie nationale de la rente du sol (NDT ici le texte allemand utilise par deux fois « Bodenrente » pour revenir ensuite à « Grundrente ») a été faite image mensongère par le droit hypothécaire, par le système de cédule hypothécaire, par le système obligataire et de ce genre. Par celà, tout a, pris au fond, été propulsé dans des représentations impossibles, non vraies.
Il n’est naturellement pas possible de recevoir vraiment en un tour de main, une correcte représentation de ce qu’est en fait la rente foncière. Mais pensez-vous simplement comme rente foncière la valeur d’économie nationale du foncier d’un territoire, de fond et sol en tant que tel, mais en rapport à sa productivité.


Maintenant existe un rapport nécessaire entre cette rente foncière et ce que j’ai auparavant mentionné comme minimum d’existence de l’être humain. N'est-ce pas, il y a donc aujourd’hui maints réformateurs sociaux et révolutionnaires sociaux, qui rêvent absolument de la suppression de la rente foncière, ils croient par exemple que la rente foncière est supprimée quand l’ensemble de fond et sol est – comme ils disent – étatisé ou sociétarisé. Mais par ce qu’on amène quelque chose dans une autre forme, la chose n’est pas supprimée.
Si maintenant toute la communauté possède fond et sol, ou si tant et tant le possèdent, cela ne change rien du tout à la disponibilité de la rente foncière. Elle se masque seulement, elle revêt d’autres formes. La rente foncière ainsi définie, comme je l’ai définie avant, est justement toujours là. Si vous prenez la rente foncière sur un territoire défini, vous la divisez par le nombre d’habitants du territoire concerné, ainsi vous en obtenez un quotient, et ce quotient montre le seul minimum d’existence possible.
Cela est une loi, c’est ma foi comme la loi de Boyle-Mariotte en physique, une loi bien déterminée, qui ne peut être autrement (NDT à noter qu'ici RS évoque une loi faisant appel à la physique, à pression et volume, et non comme souvent au théorème de Pythagorecarré de l’hypoténuse). Mais c’est un fait primaire, c’est quelque chose de fondamental, qu'en fait personne ne gagnera en réalité dans un quelque organisme social plus que l’ensemble de la rente foncière divisée par le nombre d’habitants. Ce qui sinon sera gagné en plus, sera gagné par coalitions et par associations, par lesquelles seront crées des conditions par lesquelles viennent plus de valeurs sur une personnalité que sur l'autre personnalité. Mais vraiment, dans la possession mobile d’un humain unique ne peut pas du tout passer plus que je décrivais maintenant. Et de ce minimum, qui partout existe vraiment, quand aussi les conditions/rapports réels (NDT pour dignifier que les conditions, on l'oublie trop féquemment, sont souvent des rapports entre humains) le recouvrent, ressort toute la vie économique, aussi loin que cette vie économique se rapporte sur ce qu’on a de possession mobile comme individu. De ce fait fondamental devra être parti. Il s’agit de ce qu’on ne parte pas d’un fait secondaire, mais de ce fait primaire.
Vous pouvez comparer ce fait primaire avec un quelque autre fait primaire, disons par exemple avec le fait primaire qui est aussi un tel pour la vie économique, que sur un territoire défini est seulement une quantité délimitée d’un produit brut. Là vous pouvez naturellement aussi le décrire comme souhaitable, si plus de ce produit non manufacturé (NDT lit. produit cru) état disponible, et pourriez calculer combien on pourrait alors avoir de plus sur ce territoire. Mais le produit non manufacturé vous ne pouvez pas le multiplier. C’est un fait primaire.
Justement ainsi est un fait primaire, qu’en réalité dans un organisme social personne ne gagne plus – on ne gagne pas par travail aussi quand on travaille encore tant – que ce que montre ce quotient, que j’ai mentionné (NDT ou fourni).
Tout le reste est provoqué par coalitions et ainsi de suite parmi les humains.]

Contre un tel fait, les institutions sociales peuvent agir, les institutions politiques peuvent agir. Elles peuvent rejeter cela. C'est pourquoi il s’agit qu’on amène toute la pensée organisante dans le sens dans lequel marchent les faits. Il s’agit de cela. La satisfaction entre les êtres humains ne peut survenir que par là que de telles choses seront reconnues. Alors on amène l'ordonnant, que, la pensée s'appliquant dans la réalité en de telles directions, qu'exige la nature de l'organisme social, alors l'autre s’oriente d’après, alors il ne peut pas du tout se produire que l’un se croit désavantagé vis-à-vis de l'autre. C'est cela qui, comme une loi de la vie sociale, réelle, repose à la base de l'organisme social. Mais vous pouvez penser seulement sur de telles choses de la manière correcte, - je vous ai donné cet exemple de la relation du minimum d’existence à la rente foncière - sur de telles choses vous pouvez recevoir seulement des concepts qui saisissent la réalité quand vous partez de la tri-articulation, que nous avons comme le fondamental. Car seulement sous l'influence de cette tri-articulation, il est possible que les êtres humains prennent des mesures telles que maintenant se développe vraiment, de la manière la plus productive, la coexistence des êtres humains sur un territoire. La vie se développera en fait de la manière la plus productive quand elle se déroule dans la direction de la conformité aux lois ( NDT : Gesetzmässigkeit : il faudrait traduire « légalité », mais ici la nature de ces lois reste à préciser) pas contre la conformité aux lois ; donc vit dans le sens de l'organisme social, c'est ce dont il s’agit.



Zur Erwerbung von sozialem Verständnis ist erforderlich, daß wir uns in die Lage versetzen, auf das Fundamentale, auf das Primäre zurückzugehen und nicht in dem Sekundären oder Tertiären, in dem, was nur Folge-Erscheinung ist, mit unserem Verständnis stecken zu bleiben. Man kann beispielsweise aus einer gewissen Lebenslage heraus sagen: Der Mensch braucht im Minimum so und so viel an Werten - also sagen wir an Geld, weil wir schon einmal die Werte in Geld umgesetzt haben -, um sein Leben zu fristen. Man kann von einem Existenzminimum reden in einer bestimmten Lebenslage. Man kann aber von diesem Existenzminimum so reden, daß man auf der einen Seite etwas scheinbar höchst Selbstverständliches und auf der anderen einen völligen Unsinn sagt. Das will ich Ihnen an einem Beispiel versuchen klar zu machen.

Wenn Sie die gegebenen Lebensverhältnisse auf irgendeinem Territorium nehmen, so können Sie vielleicht schon aus der Empfindung heraus sagen: ein Handarbeiter braucht so und so viel als Existenzminimum, sonst kann er nicht leben in dieser Gemeinschaft. Das kann ein scheinbar ganz selbstverständlicher Gedanke sein. Wie ist es aber, wenn sich das nach den Voraussetzungen, die ich eben angegeben habe, innerhalb eines bestimmten sozialen Organismus nicht verwirklichen läßt? Diese Frage müssen Sie sich vor allen Dingen beantworten: was dann, wenn das zu verwirklichen unmöglich ist?

Es ist das eben, wenn man so überlegt, wie ich es jetzt eben dargestellt habe, nicht ein primärer Gedanke. Man geht nicht an die fundamentalen Dinge zurück, sondern man knüpft an etwas Sekundäres an, an etwas, was bloß eine Folgeerscheinung ist. Man muß immer in der Lage sein, zu seinem sozialen Verständnis an die fundamentalen Dinge anzuknüpfen. So ist eine fundamentale Sache, daß man sich eine Ansicht verschaffen kann, eine lebenfördernde Ansicht, wie gerade nach den Lebensbedingungen des sozialen Organismus das Existenzminimum sein kann; und mit Leben-fördernd meine ich in diesem Falle eine solche Ansicht, daß eine mögliche soziale Lage und ein mögliches soziales Zusammenleben der Menschen daraus folgt.
Das ist das Primäre.




Und nun kommt man da allerdings auf gewisse Vorstellungen, die der heutigen Menschheit zum großen Teil recht unbequem sind, weil versäumt worden ist in den letzten Jahrhunderten, die primitive Schulbildung, die auf solche Dinge hingehen soll, nach solchen Dingen wirklich hinzuleiten. Es dürfte heute schon bald den Menschen klarwerden, daß man nicht bloß wissen soll, um ein halbwegs gebildeter Mensch zu sein, daß drei mal neun siebenundzwanzig ist, sondern daß man auch wissen sollte, was denn eigentlich zum Beispiel das Ding ist, das man «Grundrente» nennt. Nun frage ich Sie, wieviele Menschen heute eine deutliche Vorstellung haben von dem, was Grundrente ist. Ohne aber den sozialen Organismus in bezug auf solche Dinge zu überblicken, läßt sich überhaupt eine gedeihliche Fortentwickelung der Menschheit nicht herbeiführen.

 


Diese Dinge sind allmählich in große Verwirrung gekommen. Und die verworrenen Verhältnisse, die führen heute die Menschen zu ihren Vorstellungen, nicht dasjenige, was wahre Verhältnisse auf diesem Gebiete sind. Sehen Sie, die Grundrente, die man irgendwie bewerten kann nach der Produktivität, die auf irgendeinem Territorium ein Stück Boden hat, diese Grundrente, die ergibt nun, sagen wir, eine bestimmte Summe für ein staatlich begrenztes Territorium. Der Boden ist nach seiner Produktivität, das heißt, nach der Art oder nach dem Grade der rationellen Ausnützung gegenüber der Gesamtwirtschaft so und so viel wert. Für die Menschen ist es heute sehr schwierig, diesen einfachen Bodenwert in klaren Begriffen zu denken, weil sich im heutigen kapitalistischen Wirtschaftsleben der Kapitalzins oder das Kapital überhaupt konfundiert hat mit der Bodenrente, weil der wirkliche volkswirtschaftliche Wert der Bodenrente zu einem Truggebilde gemacht worden ist durch das Hypothekenrecht, durch das Pfandbriefwesen, durch das Obligationenwesen und dergleichen. Dadurch ist alles im Grunde genommen in unmögliche, unwahre Vorstellungen hineingetrieben worden. Es ist natürlich nicht möglich, im Handumdrehen wirklich eine Vorstellung von dem zu bekommen, was eigentlich Grundrente ist. Aber denken Sie einfach als Grundrente den volkswirtschaftlichen Wert des Grund und Bodens eines Territoriums, des Grund und Bodens als solchem, aber mit Bezug auf seine Produktivität.

 


Nun besteht ein notwendiges Verhältnis zwischen dieser
Grundrente und dem, was ich vorhin als Existenzminimum des Menschen angegeben habe. Nicht wahr, es gibt heute manche Sozialreformer und Sozialrevolutionäre, die träumen von einer Abschaffung der Grundrente überhaupt, die glauben, daß zum Beispiel die Grundrente abgeschafft ist, wenn man den gesamten Grund und Boden, wie sie sagen, verstaatlicht oder vergesellschaftet. Dadurch, daß man etwas in eine andere Form bringt, ist aber die Sache nicht abgeschafft. Ob nun die ganze Gemeinschaft den Grund und Boden besitzt, oder ob ihn so und so viele besitzen, das ändert gar nicht das Vorhandensein der Grundrente. Sie maskiert sich nur, sie nimmt andere Formen an. Grundrente so definiert, wie ich es vorhin definiert habe, ist eben immer da. Wenn Sie auf einem bestimmten Territorium die Grundrente nehmen, sie dividieren durch die Einwohnerzahl des betreffenden Territoriums, so bekommen Sie einen Quotienten heraus, und dieser Quotient ergibt das allein mögliche Existenzminimum.
Das ist ein Gesetz, das, wie meinetwillen das Boyle-Mariottesche Gesetz in der Physik ein ganz bestimmtes Gesetz ist, das nicht anders sein kann. Das ist aber eine primäre Tatsache, das ist etwas Fundamentales, daß eigentlich niemand in Wirklichkeit mehr verdient in irgendeinem sozialen Organismus, als die gesamte
Grundrente dividiert durch die Einwohnerzahl. Was sonst mehr verdient wird, wird verdient durch Koalitionen und durch Assoziationen, wodurch Verhältnisse geschaffen werden, durch die auf eine Persönlichkeit mehr Werte kommen als auf die andere Persönlichkeit. Aber wahrhaftig, in den mobilen Besitz eines einzigen Menschen übergehen kann gar nichts mehr als dasjenige, was ich jetzt bezeichnete. Und aus diesem Minimum, das überall wirklich existiert, wenn auch die realen Verhältnisse es zudecken, geht alles wirtschaftliche Leben, insofern dieses wirtschaftliche Leben sich bezieht auf dasjenige, was man als einzelner an mobilem Besitz hat, hervor. Von dieser fundamentalen Tatsache muß ausgegangen werden. Darauf kommt es an, daß man nicht von einer sekundären, sondern von dieser primären Tatsache ausgeht. Sie können diese primäre Tatsache vergleichen mit irgendeiner anderen primären Tatsache, sagen wir zum Beispiel mit der primären Tatsache, die auch für das Wirtschaftsleben eine solche ist, daß auf einem bestimmten Territorium nur eine bestimmte Menge eines Rohproduktes ist. Da könnten Sie es natürlich auch als wünschenswert bezeichnen, wenn dieses Rohprodukt mehr vorhanden wäre, und könnten ausrechnen, wieviel man dann mehr haben würde auf diesem Territorium. Aber das Rohprodukt können Sie nicht vermehren. Das ist eine primäre Tatsache. Ebenso ist es eine primäre Tatsache, daß in Wirklichkeit in einem sozialen Organismus niemand mehr verdient — man verdient nicht durch Arbeit, auch wenn man noch so viel arbeitet — als dasjenige, was dieser Quotient, den ich angeführt habe, ergibt. Alles übrige ist durch Koalitionen und so weiter unter den Menschen bewirkt.



Gegen eine solche Tatsache können die sozialen, können die politischen Einrichtungen handeln. Sie können dagegen verstoßen. Darum handelt es sich, daß man das ganze organisierende Denken in die Richtung bringt, in der die Tatsachen laufen. Darauf kommt es an. Zufriedenheit unter Menschen kann nur dadurch entstehen, daß solche Dinge eingesehen werden. Denn bringt man das ordnende, das in die Wirklichkeit sich umsetzende Denken in solche Richtungen, die die Natur des sozialen Organismus fordert, dann richtet sich das andere danach, dann kann es gar nicht eintreten, daß der eine sich benachteiligt glaubt gegenüber dem anderen. Das ist dasjenige, was als ein Gesetz dem sozialen, dem wirklichen Leben des sozialen Organismus zugrunde liegt. Aber in der richtigen Weise können Sie über solche Dinge nur denken — ich habe Ihnen dieses Beispiel von der Beziehung des Existenzminimums zu der Grundrente angegeben —, über solche Dinge können Sie nur Begriffe bekommen, die in die Wirklichkeit eingreifen, wenn Sie ausgehen von der Dreigliederung, die wir als das Fundamentale haben. Denn nur unter dem Einflusse dieser Dreigliederung ist es möglich, daß die Menschen solche Maßnahmen treffen, daß nun wirklich das Zusammenleben der Menschen über ein Territorium sich in der produktivsten Weise entwickelt. In der produktivsten Weise wird sich nämlich das Leben entwickeln, wenn es in der Richtung der Gesetzmäßigkeit verläuft, nicht gegen diese Gesetzmäßigkeit; also im Sinne des sozialen Organismus leben, das ist es, worauf es ankommt.