Il dépend justement partout des lois concernées, si on peut fonder de telles écoles comme l’école Waldorf. Cela s’oriente donc absolument au sens concret d’après les lois des pays particuliers. On peut donc tenter d’aller aussi loin que possible.J’ai été récemment prié, par exemple, de passer commande de professeurs pour une sorte d’école en train de commencer à un autre endroit, et j’ai dis nous devions naturellement faire l’essai. Je passais commande tout d’abord de deux forces enseignantes très capables pour une première classe, mais qui n’ont pas fait d’examen, afin qu’on puisse voir si les gens peuvent imposer de telles forces enseignantes. Il n’est donc pas absolument exclu que dans l’école Waldorf, seront employés aussi des professeurs qui n’ont pas fait l’examen. Alors que par exemple j’ai été questionné récemment par une force d’enseignement, si cela allait de l’employer, bien qu’elle n’ait encore fait aucun examen, mais passe l’examen, je disais : vous aurez aussi une fois l’examen.
Maintenant, n’est-ce pas, il s’agit de ce qu’on travaille vraiment dans une grande mesure à une véritable libération de la vie de l’esprit, respectivement de l’école. Ainsi pour cela il est quelque peu nécessaire comme une sorte d’association scolaire mondiale. Il doit devenir possible, que ne soit plus du tout soulevée la question, si alors dans les plus différents pays, les écoles comme l'école Waldorf pourrons être ouvertes, mais il doit justement être partout créé cette possibilité par la force de conviction du plus grand nombre d’être humains. Cela nous alla aussi ainsi sur d’autres domaines, comme aujourd’hui cela commence aussi sur le domaine du système d’écoles. Maints êtres humains ne sont pas d’accord avec la médecine d’école, pour cela ils se tournent vers ceux qui veulent sortir de cette médecine d’école – maintenant pas de manière charlatanesque, mais absolument conforme à la chose – . J’ai même appris à connaître un ministre d’un état centre européen qui claironna dans son parlement avec toute puissance le monopole de la médecine d’école, qui vint alors lui-même et voulu avoir une aide sur un autre chemin.

C’est l’aspiration, d’un côté ce qu’en fait le sentiment veut surmonter, donc laisser croire et de l’autre obtenir [cependant] par toutes les portes arrières. De cela nous devons sortir. Nous ne devons pas vouloir ouvrir des écoles du coin, mais nous devons partout créer la possibilité, d’ouvrir une école dans le sens décrit aujourd’hui. Si nous ne rassemblons pas ce courage, alors ceux qui comprennent ces choses, ne se présenterons aussi pas de laisser ouvrir des écoles du coin ou réserver des professeurs pour cela. Un grand mouvement devrait naître, duquel devrait devenir membre chaque être humain qui réfléchi sur les tâches de l'époque, afin que par le pouvoir d’une telle union mondiale soit réalisé ce qui pourrait partout conduire de telles écoles à naître.

Mais là, donc avant toutes choses, dans une telle association scolaire – permettez déjà une fois que je présente cela comme en marge, entre parenthèse – devra déjà s'introduire qu’un certain idéalisme s’amenuise par là dans l'humanité, je pense notamment celui qui dit : ah, les choses spirituelles, l’anthroposophie, c’est donc si haut, là le matériel n’a pas la permission d’approcher ; cela souillerait l’anthroposophie, si le matériel venait à elle. – Cet idéalisme, qui est si idéal qu’il garni le spirituel avec toutes les phrases possibles et se tient dans le ciel, en un nid de coucou dans les nuages et pose fortement la main sur la bourse, ne va pas avec la fondation de l’association scolaire mondiale ou semblable. Là on doit quand même trouver un tel idéalisme auquel la bourse n’est pas si bonne, pour aussi faire quelque chose pour les idéaux de l’humanité.

La science de l'esprit orientée anthroposophiquement doit absolument penser jusque dans la vie pratique, cela signifie jusque dans la bourse. Là il y a aussi des coins et recoins, qui justement appartiennent à la vie pratique. Cela seulement sur la caractéristique de ce qui est une conception du monde correcte.