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Collection: 110 - ECONOMIE ET PLAN SCOLAIRE



Mathématique et allemand : tenu de comptabilité et lettres d'affaire plus important qu'idéalisme.

Mathematik und Deutsch: Buchführung und Geschäftsbrief wichtiger als Idealismus

 


 

Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes : 294 166-170 (xml) 03/09/1919

Original




Traducteur: Editeur: 2006

 

 

 

 

 

 

 

 

C'est précisément à l'époque où le matérialisme s'est considérablement répandu, dans le dernier tiers du XIXe siècle, qu'il a pénétré si intensément la didactique, et qu'on a attaché une grande valeur à la spécialisation. Ne croyez pas pourtant qu'on oriente l'enfant vers l'idéalisme lorsqu'on omet de lui montrer les rapports de ce qu'il apprend avec la vie pratique dans les dernières classes primaires, dans les premières classes secondaires. Ne croyez pas que l'enfant sera davantage un idéaliste parce que vous lui aurez fait faire des rédactions sur des sujets sentimentaux, sur la douceur de l'agneau, la férocité du lion, l'omniprésence de Dieu dans la nature. Vous ne l'inclinerez pas ainsi vers l'idéalisme. Vous travaillerez beaucoup plus à cultiver l'idéalisme en lui si vous le visez moins directement, moins brusquement. Car en réalité, pourquoi les hommes modernes sont-ils devenus si irréligieux ? Tout simplement parce qu'on a prêché la religion avec beaucoup trop de sentimentalité et beaucoup trop d'abstraction. Ils sont devenus irréligieux parce que l'Église observe trop peu les commandements de Dieu. L'un de [145] ces commandements dit par exemple : « Tu ne prononceras pas le nom du Seigneur ton Dieu en vain. » Lorsqu'on l'observe, qu'on ne prononce pas le nom de Jésus-Christ toutes les cinq phrases, qu'on ne parle pas de la « divine ordonnance de l'univers », on se l'entend aussitôt reprocher par les gens dont on dit qu'ils sont pieux, par ceux qui voudraient entendre à chaque phrase parler de Jésus-Christ et de Dieu. Cette pudeur qui consiste à se sentir pénétré intérieurement de la présence divine, mais qui évite d'avoir constamment à la bouche « Seigneur, Seigneur ! », est considérée dans les milieux cléricaux comme une attitude sans piété. Et lorsqu'on propose à l'humanité un enseignement imprégné de ce sentiment pudique du divin, mais qui n'en a pas constamment le nom à la bouche, on s'entend dire de tous côtés par des gens qui sont sous l'influence d'une fâcheuse éducation : « Oui, il devrait parler beaucoup plus du christianisme et de ces questions ! ». Ce que j'évoque ici, il faudrait aussi en tenir compte dans l'enseignement ; donner à ce qu'apprend l'enfant de 13, 14, 15 ans, une tournure beaucoup moins sentimentale, et l'orienter bien davantage vers la vie pratique. Au fond, aucun enfant ne devrait arriver à l'âge de 15 ans sans qu'avec le calcul on lui ait enseigné au moins les règles de comptabilité les plus simples. Les principes de la grammaire et de la syntaxe, on devrait bien moins les introduire par cette forme de rédaction où s'étale une vie intérieure à l'eau de rose — car telles sont la plupart du temps les rédactions que l'on fait faire aux enfants de 13 à 16 ans, à titre d'échantillon amélioré de ce qui circule dans les cafés et les salons ; il faudrait plutôt veiller à ce que la grammaire soit pratiquée dans des rapports commerciaux, des lettres d'affaires. Aucun enfant ne devrait dépasser la 15e année sans être passé par ce stade qui comporte la rédaction d'une lettre d'affaires type. Ne dites pas : cela, l'enfant l'apprendra plus tard. Bien sûr, en surmontant de grands obstacles, on peut aussi l'apprendre plus tard — mais justement : en surmontant de terribles obstacles. Vous causez à l'enfant un grand bienfait quand vous lui enseignez à mettre en pratique ses connaissances de la grammaire et de la langue dans des rapports et des lettres d'affaires. Lorsqu'on a saturé l'enfant d'idéalisme sentimental vers la 13e, 15e année, il aura plus tard le dégoût de tout idéalisme et deviendra un matérialiste. Si dans ces [146] années on initie déjà l'enfant au côté pratique de l'existence, il gardera un lien sain avec les besoins idéalistes de l'âme, qui ne sont étouffés que si on les alimente inconsidérément pendant la jeunesse.

 

[...]

Si par exemple le professeur d'instruction religieuse daignait parler de temps à autre de sujets empruntés aux autres disciplines, s'il en parsemait son enseignement — disons par exemple en expliquant aux enfants la machine à vapeur ou quelque chose qui touche à l'astronomie, ou qui soit tout à fait d'ordre profane, ce fait aurait pour la conscience des adolescents une signification considérable. Je vous mentionne ce cas extrême parce qu'il faudra, dans le reste de l'enseignement, tenir compte de ce qui sera peu mis en pratique dans le domaine dont nous parlons. Nous n'aurons pas le droit de penser systématiquement : maintenant tu vas faire de la géographie, maintenant de l'histoire, et tu ne te soucieras de rien d'autre. — Non, nous veillerons, quand nous expliquerons à l'enfant que le mot « sofa » est venu d'Orient à l'époque des Croisades, nous veillerons à insérer dans le cours d'histoire un petit exposé de la manière dont on fabrique un sofa. Nous passerons à d'autres meubles plus occidentaux, nous étendrons donc à bien autre chose ce qu'on appelle « le sujet du cours ». Du point de vue de la méthode, cela sera infiniment bénéfique pour l'enfant grandissant, parce que cette façon de passer d'une chose à une autre, les deux ayant naturellement un lien entre elles, est la chose la plus importante qui soit pour le développement de l'esprit et de l'âme, et même pour celui du corps. Car on peut dire ceci : un enfant pour la joie duquel, au cours d'histoire, on raconte comment se fabrique un sofa, [147] puis, partant de là, ce que sont les motifs des tapis orientaux, et tout cela de façon à ce qu'il ait une vue d'ensemble réelle — cet enfant digérera mieux qu'un autre qui, après une heure de français, aura eu une heure de géométrie. Ce sera plus sain pour sa physiologie. Et nous pouvons ainsi donner à l'enseignement une forme qui le rende intérieurement assainissant. Les gens ont aujourd'hui, de toute façon, toutes sortes de troubles de la digestion, qui proviennent souvent de notre manière d'enseigner peu conforme à la nature ; cette manière d'enseigner ne peut pas être adaptée à ce que la vie demande.

[...]

 

 

Si vous voulez rassembler autour de vous des enfants et éveiller leur intérêt en leur parlant sur un ton pénétré de la splendeur des forces divines dans le monde, ce que vous direz à ces enfants qui viennent au hasard d'établissements différents entrera par une oreille et sortira par l'autre, et ne touchera pas leur sentiment. Si vous reprenez l'après-midi des enfants à qui vous aurez fait écrire le matin une lettre d'affaires, et que vous vouliez leur inculquer des notions religieuses, vous aurez du succès, parce que grâce à ce que la lettre d'affaires aura produit dans leur subconscient, vous aurez créé l'atmosphère dans laquelle ils aspirent à ce qui en est le pôle opposé. Vraiment, ce n'est pas d'un quelconque point de vue didactique et dans l'abstrait que je vous expose ces choses, mais parce qu'elles sont d'une extrême importance pour la vie. Je voudrais bien savoir qui, de nos jours, n'a pas constaté combien, dans la vie pratique, on fait de travail inutile. Les hommes d'affaires nous donneront toujours raison quand nous dirons : voilà quelqu'un qu'on engage dans un commerce ; on le charge d'écrire une lettre d'affaires à une entreprise de nature analogue ou à des gens qui doivent s'occuper de la chose. Il écrit sa lettre, il arrive une réponse ; il faut à nouveau [148] écrire, et l'on reçoit encore une réponse, et ainsi de suite. Cette manière de gaspiller le temps s'est beaucoup installée de nos jours dans la vie commerciale. C'est un fait que par là, on se comporte de façon très peu « économique » dans la vie publique, et on peut bien le sentir. Car lorsque, muni de son simple bon sens, on prend dans une maison de commerce les copies des lettres, on est soumis à une véritable torture. Non pas parce qu'on incline à trouver antipathiques les tournures et les intérêts en cause, mais parce que les choses sont rédigées de la façon la moins pratique qui soit, et parce que ce copie-lettres pourrait être réduit au quart de son volume. Cela vient uniquement de ce que durant la dernière classe primaire, l'enseignement n'a pas été ce qu'il faut. Et cela ne peut être compensé plus tard qu'avec des difficultés quasiment insurmontables. Même dans les établissements de formation professionnelle on ne peut plus rattraper ce qui a été négligé précédemment, parce que les forces qui se seraient développées là se perdent dans le sable et ne sont plus disponibles de la même façon. C'est avec ces forces qu'il faut compter lorsqu'on veut s'appuyer sur quelqu'un qui écrive une lettre autrement qu'au petit bonheur, et la rédige en étant bien à ce qu'il fait, avec soin et esprit de synthèse.

Es ist ja gerade in der Zeit, in welcher der Materialismus sich ganz ausgebreitet hat, im letzten Drittel des 19. Jahrhunderts, dieser Materialismus auch in die Didaktik in so hohem Grade eingedrungen, daß man die Spezialisierung für sehr wichtig hielt. Glauben Sie nicht, daß es idealistisch auf das Kind wirkt, wenn Sie es vermeiden, ihm den Unterrichtsstoff in seiner Beziehung auf das praktische Leben zu zeigen in den letzten Jahren seines Volksschullebens, in den ersten Jahren seines Mittelschullebens. Glauben Sie nicht, daß das Kind für das spätere Leben idealistischer wird, wenn Sie es in diesen Jahren Aufsätze machen lassen über allerlei sentimentalisches Weltempfinden, über die Gutmütigkeit des Lammes, über die Wildheit des Löwen und dergleichen, über die gottdurchwirkte Natur. Sie wirken nicht dadurch idealistisch auf das Kind. Sie wirken tatsächlich viel besser für die Pflege auch des Idealismus in dem Kinde, wenn Sie nicht so direkt, so brutal direkt auf diesen Idealismus losgehen. Wodurch sind denn eigentlich die Menschen in der neueren Zeit so irreligiös geworden? Einfach aus dem Grunde, weil viel zu sentimental und abstrakt gepredigt wird. Deshalb sind die Menschen so irreligiös geworden, weil die Kirche so wenig die göttlichen Gebote beachtet. Zum Beispiel gibt es doch ein Gebot: «Du sollst den Namen des Herrn, deines Gottes, nicht eitel aussprechen.» Wenn man das beobachtet und nicht nach jedem fünften Satz den Namen Jesus Christus nennt, oder von göttlicher Weltordnung spricht, dann bekommt man gleich Vorwürfe von Seiten der sogenannten kirchlich gesinnten Menschen, von denen, die am liebsten hören möchten, daß man in jedem Satz Jesus Christus und Gott sagt. Jenes scheue Durch-setztseinlassen von göttlichem Innesein, das sogar vermeidet Herr, Herr! immer auf den Lippen zu führen, das wird heute gerade in kirchlich gesinnten Kreisen nicht als religiöse Gesinnung angesehen. Und wenn dann das, was an die Menschheit herangebracht wird, von diesem scheuwirksamen Göttlichen durchsetzt wird, das man nicht sentimental auf den Lippen trägt, dann hört man heute, durch eine falsche Erziehung bewirkt, von allen Seiten: Ja, der sollte viel mehr vom Christentum [166] und dergleichen sprechen. - Das, was ich hier andeute, muß auch schon durchaus im Unterricht berücksichtigt werden, indem man dasjenige weniger ins Sentimentale zerrt, was vom Kinde gerade im 13., 14., 15. Lebensjahre gelernt wird, sondern indem man das, was vom Kinde gelernt wird, mehr in die Linie des praktischen Lebens hineinführt. So sollte im Grunde genommen kein Kind das 15. Jahr erreichen, ohne daß ihm der Rechenunterricht in die Kenntnisse der Regeln wenigstens der einfachsten Buchführungsformen übergeführt worden ist. Und so sollten die Grundsätze der Grammatik und der Sprachlehre in diesen Jahren weniger in jene Aufsatzform eingeführt werden, die gewissermaßen das menschliche Innenleben überall wie durchspült von Gerstenschleimsaft darstellt - denn das sind meistens die Aufsätze, die man die Kinder pflegen läßt in diesem 13. bis 16. Jahre, so als besseren Aufguß von dem, was beim Dämmerschoppen und in den Kaffeeklatschgesellschaften als Geist herrscht -, es sollte vielmehr darauf gesehen werden, daß die Sprachlehre einläuft in den geschäftlichen Aufsatz, in den Geschäftsbrief. Und kein Kind sollte das 15. Jahr überschritten haben, ohne durchgegangen zu sein durch das Stadium, Musterbeispiele von praktischen Geschäftsbriefen geschrieben zu haben. Sagen Sie nicht, das kann das Kind ja auch später noch lernen. Gewiß, unter Überwindung von furchtbaren Hindernissen kann man es auch später lernen, aber eben nur unter dieser Überwindung von Hindernissen. Sie erweisen dem Kinde eine große Wohltat, wenn Sie es lehren, seine grammatischen Kenntnisse, seine Sprachkenntnisse in geschäftliche Aufsätze, in Geschäftsbriefe einfließen zu lassen. In unserer Zeit sollte es eigentlich keinen Menschen geben, der nicht einen ordentlichen Geschäftsbrief einmal schreiben gelernt hat. Gewiß, er wird es vielleicht im späteren Leben nicht anzuwenden brauchen, aber es sollte doch keinen Menschen geben, der nicht einmal dazu angehalten worden ist, einen ordentlichen Geschäftsbrief zu schreiben. Hat man das Kind vorzugsweise mit sentimentalem Idealismus übersättigt im 13. bis 15. Jahr, so wird ihm später der Idealismus zum Ekel, und es wird ein materialistischer Mensch. Führt man das Kind in diesen Jahren schon in die Praxis des Lebens ein, dann behält das Kind auch ein gesundes Verhältnis zu den idealistischen Bedürfnissen der Seele, die nur dann [167] ausgelöscht werden können, wenn man ihnen in früher Jugend auf eine unsinnige Weise frönt. […]

Wenn zum Beispiel der Religionslehrer sich herbeiließe, ab und zu etwas herauszugreifen aus dem Gebiete des andern Unterrichts, wenn er zum Beispiel, eingestreut in den Religionsunterricht, dem Kinde die Dampfmaschine erklären würde, indem er an irgend etwas anknüpfte, etwas Astronomisches oder irgend etwas ganz Weltliches und dergleichen, so würde einfach die Tatsache, daß das der Religionslehrer tut, eine ungeheure Bedeutung für das Bewußtsein der heranwachsenden Kinder haben. Ich sage Ihnen diesen extremen Fall aus dem Grunde, weil im übrigen Unterricht dasjenige wird beachtet werden müssen, was ja auf dem eben gekennzeichneten Gebiete wenig beachtet werden kann. Wir werden nicht pedantisch daran denken dürfen: Jetzt lehrst du Geographie, jetzt Geschichte und kümmerst dich gar nicht um alles andere. Ü Nein, wir werden schauen, wenn wir dem Kinde erklären, daß das Wort Sofa während der Kreuzzüge aus dem Orient gekommen ist, daß wir dann etwas über den Fabrikationsprozeß des Sofas überhaupt im geschichtlichen Unterricht einfügen. Wir werden dann zu andern Möbeln übergehen, die abendländischer sind, werden also aus dem sogenannten Lehrgegenstand etwas ganz anderes herausgreifen. Das wird namentlich methodisch-didaktisch von ungeheurer Wohltat für das heranwachsende Kind sein aus dem Grunde, weil das Übergehen von einem zum andern, so daß das eine aber mit dem [168] andern zusammenhängt, das Allerwohltätigste für die Entwickelung des Geistes und der Seele und sogar des Leibes ist. Denn man kann sagen: Ein Kind, dem im Geschichtsunterricht zu seiner Freude plötzlich von der Fabrikation des Sofas erzählt wird und von da ausgehend vielleicht gesprochen wird von orientalischen Teppichmustern, aber alles das so, daß das Kind wirklich einen Überblick hat, das verdaut besser als ein Kind, das einfach nach der französischen Stunde eine Geometriestunde bekommt. Es wird auch leiblich gesünder sein. Wir können so den Unterricht innerlich hygienisch gut gestalten. Jetzt haben ja ohnehin die meisten Menschen allerlei Verdauungsstörungen, Störungen des Leibes, die vielfach von unserem unnatürlichen Unterrichten herrühren, weil wir uns mit unserem Unterrichten nicht anpassen können dem, was das Leben fordert. [...]

Wollen Sie Kinder mit Interesse um sich scharen, um ihnen, religiös durchdrungen, von der Herrlichkeit der göttlichen Kräfte in der Welt zu sprechen, dann werden Sie, wenn Sie dies einfach zu Kindern tun, die von da oder dort ungewählt herkommen, so sprechen, daß es bei einem Ohr herein-, beim andern herausgeht und gar nicht ans Gefühl dringt. Wenn Sie Kinder, nachdem sie vormittags einen Geschäftsbrief geschrieben haben, nachmittags mit dem, was durch den Geschäftsbrief in dem Unterbewußtsein entstanden ist, wieder bekommen und ihnen religiöse Begriffe beibringen wollen, dann werden Sie Glück dabei haben, denn Sie haben dann selbst diejenige Stimmung erzeugt, die ihren Gegenpol haben will. Wahrhaftig nicht aus irgendeinem abstrakten didaktischen Gesichtspunkte werden solche Dinge vor Sie hinge- [169] tragen, sondern weil sie von ungeheurer Wichtigkeit sind für das Leben. Ich möchte wissen, wer heute im Leben draußen es nicht erfahren hat, wie viele unnötige Arbeit geleistet wird. Geschäftsleute werden einem heute immer wieder recht geben, wenn man sagt: Da ist einer in irgendeinem Geschäft angestellt; man beauftragt ihn, einen Geschäftsbrief zu schreiben zu irgendeiner verwandten Branche oder zu Leuten, die die Sache vertreiben sollen. Er schreibt einen Brief, es kommt ein Brief zurück; dann muß man wieder einen andern Brief schreiben, es kommt wieder einer zurück und so fort. Das ist gerade im Geschäftsleben heute sehr eingerissen, daß auf diese Weise Zeit vergeudet wird. Es ist durchaus so, daß auf diese Weise ungeheuer unökonomisch in unserem öffentlichen Leben verfahren wird. Das kann man auch fühlen. Denn wenn man heute einfach mit gewöhnlichem gesundem Menschenverstand in einem Geschäft ein Kopierbuch in die Hand nimmt, so steht man wirklich Qualen aus. Nicht etwa deshalb, weil man abgeneigt ist, die Redeformen und Interessen, die darinnen spielen, etwa sympathisch zu finden, sondern man empfindet Qualen, weil die Dinge so unpraktisch wie möglich niedergeschrieben sind, weil eigentlich dieses Kopierbuch mindestens auf ein Viertel reduziert werden könnte. Und das rührt lediglich davon her, daß der Unterricht im letzten Volksschuljahr nicht in der entsprechenden Weise eingerichtet ist. Denn das kann einfach nicht ohne fast unüberwindliche Schwierigkeiten für die späteren Lebensalter nachgeholt werden. Sie können nicht einmal in der Fortbildungsschule nachholen, was in dieser Zeit versäumt worden ist, weil eben die Kräfte, die sich da entwickeln, versanden und später nicht mehr so vorhanden sind. Mit diesen Kräften hat man zu rechnen, wenn man bei jemand darauf zählen will, daß er nicht nur äußerlich mit halben Gedanken einen Brief zusammenschustert, sondern daß er bei der Sache ist und mit Umsicht und Übersicht einen solchen Brief formuliert. [,,,] 170