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Institut pour une triarticulation sociale
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Collection: 10 -Anarchistes, anarchisme,
et individualisme éthique.
Orientation de consommation plutôt qu'anarchie d'offre et demande. Konsumorientierung statt Anarchie von Angebot und Nachfrage.

 

 
Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes : 331 128-129 (1989) 05/06/1919
Traducteur: FG v. 01/20161120 Editeur: SITE

Voyez-vous, à la structure actuelle de la société ne se laisse en fait pas du tout produire autrement qu'en regard au profit. Le principe de produire pour consommer, cela doit d'abord être créé ! Et de ce principe dépendra à nouveau, si peuvent être trouvés de manière correspondante des chemins pour une répartition de biens. Il dépendra beaucoup de ce que par dessus un grand domaine, on trouve, j'aimerais dire, une cellule originelle économique.

Cette cellule originelle économique - j'aimerais au moins parler d'elle brièvement en quelques mots -, en quoi consiste-t-elle donc ? Si on ne part pas du produire, mais du consommer, de la satisfaction des besoins, ainsi il s'agit de ce que nous devons en premier arriver à un résultat praticable de ce qui, au sens de la satisfaction des besoins, conduit à une formation de prix conforme à la chose. Cela se passe nommément aujourd'hui de manière anarchique-chaotique par offre et demande, et là est planté beaucoup dedans de l'impossibilité d'arrivé absolument à quelque chose aujourd'hui. Avec la formule d'offre et de demande on n'arrivera pas au but de produire pour consommer. N'est-ce pas, pour atteindre au but, il est nécessaire que ce que je produits doit être, en comparaison d'autre biens, d'autant de valeur que je puisse échanger pour cela, entièrement égal comment l'échange se forme, tout ces bien là, qui satisfont mes besoins jusqu'à l'instant auquel j'ai produit un produit égal/identique comme maintenant. Pour cela devra alors être calculé avec tout ce qu'on a à fournir comme contribution pour ceux qui pour l'instant ne peuvent eux-mêmes produire immédiatement, donc pour les enfant, qui devront être élevés, pour des incapable de travailler et ainsi de suite.

Ce dont on doit donc partir, c'est de devenir clair sur cette cellule économique originelle. En premier par cela deviendra possible d'atteindre une formation de prix correcte sur sol économique, ainsi que quand d'un côté on gagne plus à l'avenir, de l'autre, on doit dépenser plus parce que les choses deviennent évidemment plus chères sous l'influence du revenu supplémentaire (NDT : Mehrverdienstes).

Encore aujourd'hui on se plaint toujours de nouveau de ce qu'entre les prix des marchandises et les salaires existe un rapport non naturel. La socialisation aura à résoudre le grand problème, sortir absolument du monde cette différence entre prix des marchandises et salaires, parce que le salaire en tant que tel devra être sorti du monde afin que, fondamentalement, il n'y ai plus aucun travailleur salarié, mais le libre coopérateur, le libre collaborateur du travailleurs spirituel, du chef spirituel, parce que le rapport entre preneur de travail et donneur de travail dans la forme actuelle devra devenir absolument impossible. En premier alors, quand c'est possible d'extirper tout ce qui est là aujourd'hui et qui souille/pollue la formation de prix, en premier alors il est possible d'atteindre une véritable socialisation.

Sehen Sie, bei der heutigen Struktur der Gesellschaft läßt sich eigentlich gar nicht anders produzieren als im Hinblick auf den Profit. Das Prinzip, zu produzieren, um zu konsumieren, das muß erst geschaffen werden! Und von diesem Prinzip wird wiederum abhängen, ob in einer entsprechenden Weise Wege für eine Güterverteilung gefunden werden können. Es wird viel davon abhängen, daß man über einen großen Bereich hin, ich möchte sagen, eine wirtschaftliche Urzelle findet.

Diese wirtschaftliche Urzelle - ich möchte wenigstens mit ein paar Worten kurz von ihr sprechen -, worin besteht sie denn? Geht man nicht vom Produzieren, sondern vom Konsumieren, von der Befriedigung der Bedürfnisse aus, so handelt es sich darum, daß wir erst zu einem praktikablen Ergebnis dessen kommen müssen, was im Sinne der Bedürfnisbefriedigung zu einer sachgemäßen Preisbildung führt. Das geschieht nämlich heute in anarchisch-chaotischer Weise durch Angebot und Nachfrage, und da steckt viel drinnen von der Unmöglichkeit, heute überhaupt zu etwas zu kommen. Mit der Formel von Angebot und Nachfrage wird man nicht zu dem Ziel kommen, zu produzieren, um zu konsumieren. Nicht wahr, um zu dem Ziel zu gelangen, ist es notwendig, daß das, was ich produziere, im Vergleich zu anderen Gütern so viel wert sein muß, daß ich dafür eintauschen kann, ganz gleich, wie sich der Tausch gestaltet, alle diejenigen Güter, die meine Bedürfnisse befriedigen bis zu dem Zeitpunkt, an dem ich ein gleiches Produkt wie jetzt hervorgebracht habe. Dabei muß dann alles das mit eingerechnet werden, was man als Beitrag zu leisten hat für diejenigen, die zur Zeit nicht unmittelbar selbst produzieren können, also für Kinder, die erzogen werden müssen, für Arbeitsunfähige und so weiter. Wovon man also ausgehen muß, das ist, sich klar zu werden über diese wirtschaftliche Urzelle. Erst dadurch wird es möglich, auf wirtschaftlichem Boden eine gerechte Preisbildung zu erreichen, so daß man dann in der Zukunft nicht wiederum, wenn man auf der einen Seite mehr verdient, auf der anderen Seite mehr ausgeben muß, weil die Dinge selbstverständlich unter dem Einfluß des Mehrverdienstes teurer werden.

Heute noch beklagt man sich immer wieder darüber, daß zwischen Warenpreis und Löhnen ein unnatürliches Verhältnis besteht. Die Sozialisierung wird das große Problem zu lösen haben, diesen Unterschied zwischen Warenpreis und Löhnen überhaupt aus der Welt zu Schaffen, weil der Lohn als solcher aus der Welt geschafft werden muß, weil die Möglichkeit gegeben werden muß, daß es in Zukunft grundsätzlich keinen Lohnarbeiter mehr gibt, sondern den freien Genossen, den freien Mitarbeiter des geistigen Arbeiters, des geistigen Leiters, weil das Verhältnis zwischen Arbeitnehmer und Arbeitgeber in der heutigen Form überhaupt zur Unmöglichkeit werden muß. Erst dann, wenn es möglich ist, alles das auszumerzen, was heute da ist und was die Preisbildung verunreinigt, erst dann ist es möglich, eine wirkliche Sozialisierung zu erreichen.