triarticulation

Institut pour une triarticulation sociale
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Collection: 10 -Anarchistes, anarchisme,
et individualisme éthique.
Vie libre de l'esprit ou anarchisme des pensées. Freies Geistesleben oder Gedankenanarchismus.

 

 
Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes : 330 186-193 (1983) 13/05/1919
Traducteur: FG v. 01/20161119 Editeur: SITE

Mes très chers présents ! Ce que Monsieur le deuxième orateur a débattu ici, bien que je sois pleinement convainc, qu'il n'est pas du tout conscient, comment il est en fait venu à ses affirmations, et bien que je ne veuille pas lui dénier une sorte de bonne volonté de la moindre façon, cela fait sur moi l'impression qu'il a, morceau pour morceau chaque fois, pour part pour un quart, pour part pour une moitié, parfois aussi entièrement, retourné ce que j'ai dit, et alors polémiqué contre ses propres affirmations, a discuté avec elles, pour finalement arriver à quelque chose, qui n'a pas la moindre chose à faire avec ce que vous avez entendu de moi hier ou aujourd'hui. Il s'agit donc très souvent qu'on se crée la possibilité de la discussion par de telles conditions préalables, et ainsi j'aimerais seulement discuter un peu du particulier de cette peut être bien pratique inconsciente de la discussion . Par exemple, Monsieur l'orateur danse de manière répétée autour de l'opinion que j'aurais représenté la tyrannie ou la suprématie des spirituellement dotés. Ce par quoi il rend remarquable qu'après ce que j'ai expliqué, une conséquence pourrait être que les dotés spirituellement devraient régner ? Maintenant je ne sais pas si Monsieur l'orateur a aussi entendu ce dont j'ai récemment parlé ici aussi, ou si il sait ce qui se tient dans mes livres. Il saurait sinon, que ce dont il s'agit dans tout ce qui repose à la base des impulsions dont je parles, que toutes les facultés humaines arrivent à leur position sociale correspondante. Il s'agit tout de suite de l'articulation d'un organisme social tel, où pas un, quelque don donne la priorité, mais qui rend possible, que chacun des dons vienne à sa place correspondante. Cela ne pourra être atteint par rien d'autre que quand de part en part de celle-ci différents dons seront choisis/sélectionnés et développés où on si connaît en talent, où les talents pourrons être administrés de manière correcte.

 

 

L'organisme spirituel devra voir sa tâche principale de développer les talents. Lisez attentivement mon livre. Ne prenez pas un mot adjectif à ce que je dis, mais prenez les choses ainsi que je les dis vraiment, alors vous verrez que sur le sol de la vie de l'esprit ne seront pas seulement développés les talents spirituels, mais tous les talents jusque en bas dans les talents corporels. L'organisme spirituel n'est pas là pour créer une aristocratie spirituelle, mais pour vraiment développer l'ensemble des dons. Mis à part ce sur quoi j'ai rendu attentif la dernière fois qu'un don spirituel ne peut en réalité pas du tout subsister sans en même temps offrir la possibilité, quand c'est nécessaire, de développer un talent manuel. Bref, l'orateur ne s'est pas donné la moindre peine de sortir des habitudes de pensée jusqu'à présent et de vraiment se décider à la volonté de penser autrement, mais il a critiqué quelque chose d'après ce qui fut usuel/habituel qui consciemment aspire à sortir de ce qui était usuel jusqu'à présent.

 

 

Mais cela m'apparaît comme ce qui doit avant toutes choses être surmonté. Les humains qui ne se donnent pas la peine, aussi quand ils ont de la bonne volonté, de se trouver dans ce que l'autre dit et veut, ce sont tout de suite ceux qui nous ont conduit dans la situation actuelle. et aussi douloureux que cela m'est, je dois quand même dire : je peux seulement voir dans monsieur l'orateur, un de ces humains qui ne veulent pas nous laisser sortir de la confusion. Avant la grande catastrophe mondiale on pouvait ma foi comprendre de tels humains, car cette fois là les grandes épreuves et les grandes questions n'étaient pas arrivées à l'humanité. Mais aujourd'hui nous ne devrions vraiment pas vouloir retenir le cours de l'évolution par notre propre sincérité de pensée. C'est cela qui me rend si inquiet, quand les êtres humains veulent offrir avec tous les vieux concepts modèles, et même faire atrocement en ce qu'ils disent, l'autre serait anarchiste des pensées ou ainsi semblable, je n'ai pas compris le mot de la particularité.

 

Ce sont des choses, qui peuvent rendre lugubre. A cela on doit tenir en vis-à-vis ce qui peut vraiment provenir du dit. Après l'imagination , cela provient de la tri-articulation, ce que l'orateur a dit, mais lisez mon livre et vous verrez que là toutes les dispositions possibles afin que justement ce qui devrait apparemment se passer, ne peut pas du tout se passer.

 

Par exemple, Monsieur l'orateur a prétendu que les intérêt contradictoire des professions surgissent. Cela est une évidence. Mais tout de suite par la séparation de la vie de l'esprit, par la séparation de la vie de droit, cela sera abrogé. Je vous ai aujourd'hui longtemps entretenu en vous disant en une sorte d'introduction : quand le socialisme sera réalisé et il laisse tout cela dedans dans l'organisme social, qui effectue ce que j'ai décrit, alors cela se produit. Certes, dans l'organisme social, que Monsieur l'orateur se représente, cela serait dedans. Dans la tri-articulation ce qu'il veut placer dans l'ordre économique, sera justement tout de suite sorti de l'ordre économique. Monsieur l'orateur me revient quand aussi il se reconnaît au système des conseils, comme représentant de cette manière de pensée des conseils de cour, qui pas du système des conseil du peuple, mais du système du conseil de cour m'a une fois fait une objection similaire.

La chose n'a aussi pas le côté de politique extérieure, que Monsieur l'orateur a dépeint, mais un tout autre. La seule guérison pour nos contextes de politique extérieure, qui nous ont conduit dans cette catastrophe, auraient du se montré lors de la discussion des choses de politique extérieure - je ne peux pas naturellement tout discuter dans une conférence. Ce que nous débarrassons avant toute chose par l'organisme social tri-articulé, même si c'est mis à exécution seulement par un état et pas dans les états voisins, qui tous encore maintiennent un ordre capitaliste, est le jeu d'intérêt comme jusqu'à présent.

C'est tout de suite le particulier, que la tri-articulation peut être mise à exécution chaque état pour soi, entièrement indifférent, si les autres restent à l'ancien, et que par exemple, par le jeu des intérêts, qui sera tout autre que jusqu'à présent, quand les intérêts économiques seuls pour soi comme intérêt économiques agissent aussi par dessus les frontières, qu'alors ces conflit de matières seront mis de côté, lesquels ont conduits aux guerres qu'on nomme techniquement guerres des matière premières.

Le conseiller de cour maintenant, qui fit cette objection, m'a dit : oui, jusqu'à présent une grande part des guerres furent des guerres pour les matières premières. Quand votre système sera réalisé, alors il n'y aura plus aucune guerre de matières premières, donc votre système contredit la réalité. Je devais lui dire : si vous auriez dit cela pour confirmation, je l'aurais compris; que vous disiez cela pour réfutation, cela est particulier. Ainsi je dois dire : la seule aide vis-à-vis de cette ambiance, laquelle est disponible du côté de l'entente, consiste en ce que nous faisions éclater/se diviser/se désintégré cette ambiance, cette jalousie en trois membres. C'est cela, qui, sur ce domaine, pour la politique extérieure de l'instant apporterait la tri-articulation. Je conseillerais à Monsieur l'orateur, tout de suite d'un supplément comme sorti d'un point de vue de conseiller à la cour, d'étudier la politique extérieure comme conséquence de la tri-articulation, il pourrait alors s'économiser la définition entièrement inutile si l'organisme triarticulé est anarchiste ou du genre. Il pourrait reconnaître comme vrai cela est que je peux justement seulement exprimer par une comparaison, je l'ai déjà évoqué ici, les rêveurs d'unité, justement les mêmes humains, auxquels on doit dire : une famille paysanne consiste en un homme, une femme, des enfants, un valet et une servante et trois vaches, tous ont besoin de lait. Mais doivent-ils tous donner du lait à cause de cela ? Non, seul les trois vaches ont besoin de donner du lait, alors tous auront du lait. ainsi c'est nécessaire que l'ensemble de l'organisme sera articulé de manière correcte ; alors les membres agirons aussi ensemble de manière correcte à l'unité, et ce qui apparaît sur l'un des sol, pourra agir aussi de la manière correcte sur les autres membres.

Parce que l'orateur précédent ne fait pas attention à de telle chose, il devrait décider le talent par le droit de vote universel. Maintenant, on peut administrer tout le possible par le droit de vote universel, on le peut pour l'occupation de fonctions/positions. Mais comme vous voulez administrer les talents par le droit de vote universel, je vous prie de réfléchir cela de part en part, et vous verrez quand je suis la méthode de Monsieur l'orateur précédent et vous dépeindrais les conséquences - mais je reconnais cette méthode seulement comme une méthode sophistique, c'est pourquoi je ne vais pas plus loin là dessus -, mais quand je vous dessinerais les conséquences, alors vous verriez, ce qui en sortirait. Lors d'une démocratisation des talents vous ne diriez peut être pas anarchisme des pensées, mais n'importe quoi d'autre.

 

Des choses semblables ont encore été beaucoup présentées. Je fut particulièrement surpris d'entendre l'expression " capitalisme d'esprit ". Ce qu'on devrait se représenter là dessous, je ne le sais pas, en particulier je ne sais pas comment il aimerait être utiliser après un exposé, dans lequel a été parlé de la circulation du capital de la manière dont j'ai parlé. Des possesseurs spirituels - oui, mes très chers participants, qu'on tenterait donc seulement une fois, de penser avec des réalités ! Représentez-vous l'organisme social - l'orateur ne vous a donc pas décrit, comment il se représente - d'après le peu d'allusions que l'orateur a fait. Alors vous devrez donc volontiers dire : qu'est-ce donc en fait, quand, disons, par une quelque ordonnance socialiste des travailleurs spirituels travaillent justement à côté des travailleurs manuels/des artisans ? Je ne sais pas, ce que ce devrait être comme différence vis-à-vis de ce qui doit aussi être là dans mon organisme d'économie, que le travailleur spirituel travaille à côté du travailleur manuel. J'ai expressément expliqué : la possession s'arrête au moment où le capital est réalisé, cela signifie le moyen de production est là. Comment on peut alors parler de possesseurs spirituels, cela m'est entièrement et tout à fait inexplicable. D'expériences uniques particulières que le vénéré orateur a mentionnées, on peut évidemment faire dériver tout le possible, qu'on veut seulement. De l'étiolement de la vie de l'âme et semblable/du genre on peut évidemment dériver beaucoup. Je ne trouvais cela pas très goûteux, ce avec quoi Monsieur l'orateur à conclu, qu'il se mût là dessus, me
cédant la bourgeoisie, afin alors qu'à lui lui serait d'autant mieux assuré le prolétariat. Maintenant sur de telles choses, on n'a pas besoin de s'avancer plus loin, car qu'on considère cela finalement comme phrase agitatrice ou pas, cela est absolument une chose de goût.

Mais ce qui a été dit là en rapport à la confiance et en rapport à la croyance à la confiance - oui, voyez-vous, à cela je dois déjà dire, il ne s'agit aujourd'hui véritablement pas de critiquer le rapport, qu'on a appris à connaître à partir des vieux contextes, mais aujourd'hui il s'agit de fonder de nouveaux contextes. Quand aujourd'hui un, et le deuxième et le centième et le millième me raconterait, qu'il ne croirait pas à ce que de la confiance serait là, mais il a dans tels et tels nombreux cas dû lutter avec méfiance, alors je lui dis : rien ne deviendra mieux, quand nous ne nous efforçons pas d'établir cette confiance, car nous devons aujourd'hui travailler avec la confiance. Tous les autres fils, avec lesquels on a jusqu'à présent attiré les masses, ils échouent. Les fils de l'avenir peuvent seulement être ceux de la confiance. La méfiance saisirait/prendrait-elle encore de la place demain et après demain, ainsi nous devrions justement attendre sur ce qui suit sur demain et après demain encore pouvoir saisir de la place, car quand du bon/bien devrait venir, cela peut seulement venir à partir de la confiance. La confiance, que je pense et à laquelle nous devons travailler, cette confiance devra justement être fabriquée/produite , cette confiance devra provenir des âmes. Cette confiance devra justement être fabriquée, c'est même aujourd'hui plus important que tout autre chose. Alors, quand cette confiance sera fabriquée, que je pense, alors il y a le rapport correct entre travaillant de la main aux moyens de production et travaillant spirituellement. Alors, cette confiance rend possible ce que l'orateur a peint au mur comme une image d'horreur.

Cela est tout de suite ce qui aujourd'hui, en ce temps socialement retourné, manque si terriblement, la volonté de construire sur la confiance. Oh, cette confiance, elle sera disponible, que de plus en plus d'épreuves viennent par dessus les humains, et je devrais désespérer de l'humanité, au moins à la reconstruction de rapports sains, quand je ne pourrais plus croire, qu'un être humain pourra finir par confiance le chemin à un autre humain. Car, mes très vénérés participants, socialisez autant que vous voulez, parlez de socialisation autant que vous voulez, une chose devra reposer à la base de cette socialisation : la socialisation des âmes. Qui ne cherche pas le chemin de la socialisation des âmes, il aimerait socialiser dehors, autant qu'il veut, il introduira les êtres humains dans des contextes encore plus anarchiques que cela n'est, ce que l'orateur précédent a voulu placer dedans comme une sorte d'anarchisme.

Et le socialisme des âmes ne s'appelle pas autrement que confiance. Mais à cette confiance devra justement être travaillé. Et aujourd'hui, cette confiance n'est elle pas un peu ébranlée ? Mais très cher participants, je suis relier depuis longtemps avec ce qui est mouvement social du dix-neuvième et vingtième siècle. J'ai travaillé là dedans; je le sais. Ce que le vénéré orateur précédent a énoncé, on a toujours de nouveau et de nouveau pu l'entendre énoncé contre ce que j'ai dis aujourd'hui. Vu à partir de la tri-articulation, les mêmes objections, que Monsieur l'orateur m'a fait aujourd'hui, m'ont été déjà faites par d'autres autour de 1898, 1899. Mais cela est le plus important, que nous arrivions à sortir par dessus les vieilles pensées, que nous pouvons apprendre à changer, que nous ne restions pas debout à l'ancien. Aussi douloureux que cela m'est à exprimer, je crois, que nous retiennent le plus souvent, ceux qui ne peuvent se dépasser/surmonter, sortir de leur vieux préjugés. Et les messieurs, qui utilisent la méthode de tordre d'abord à demi ou entièrement les principes, pour alors polémiquer contre leur propre, ont toujours jeu facile, parce qu'évidemment après l'écoute une fois d'une conférence, ils ne comprendront pas tout, comment les choses sont pensées, comment, quand elles se placent dans dans la réalité, elles devront être saisies. Car tout de suite cela qui exprime pas des théories, pas pure bonne volonté, mais qui souche d'une expérience de vie, d'observation de la vie, pleine de conscience, consciente de la responsabilité, tout de suite cela ne pourra pas être épuisé en une heure, mais pourrons seulement être donné des suggestions pour cela.

 

Mais ces suggestions, d'elles j'ai depuis le temps, et c'est donc déjà il y a passablement longtemps, depuis que je parle de tri-articulation, toujours à nouveau dit : elles aimeraient être que les particularités se comporteront entièrement dans leur réalisation comme cela que je dis moi-même à la manière d'un exemple sur ces particularités. Il s'agit pour moi que le plan de construction soit pris de la réalité et peut se vivre dans la réalité, qu'il soit conforme à la réalité.

Et c'est pourquoi, parce que je crois que c'est pas volonté humaine subjective qui se forme, de devoir réaliser ces impulsions, mais parce que l'observation des forces d'évolution de l'humanité dans le présent et l'avenir conduit soi-même à cela, c'est pourquoi je crois qu'il se trouvera de la compréhension pour cela. Et j'espère, je dois dire cela encore une fois, de notre temps lourdement éprouvé et de notre situation douloureuse, nous trouverons encore de la compréhension pour maintes choses que nous ne pouvons peut être aujourd'hui pas du tout nous représenter.

Meine sehr verehrten Anwesenden! Was der zweite Herr Redner hier erörtert hat, das macht, obwohl ich völlig überzeugt bin, daß er sich gar nicht bewußt ist, wie er eigentlich zu seinen Behauptungen gekommen ist, und obwohl ich ihm nicht im geringsten eine Art guten Willen absprechen will, auf mich den Eindruck, daß er Stück für Stück jedesmal das, was ich gesagt habe, zum Teil um ein Viertel, zum Teil um die Hälfte, manchmal auch ganz herumgedreht und dann gegen seine eigenen Behauptungen polemisiert, mit ihnen diskutiert hat, um zuletzt bei etwas anzukommen, was nicht das geringste mehr mit dem zu tun hat, was Sie heute oder gestern von mir gehört haben. Es kommt ja sehr häufig vor, daß man sich die Möglichkeit der Diskussion durch solche Vorbedingungen schafft, und so möchte ich nur einzelnes weniges aus dieser vielleicht recht unbewußten Diskussionspraxis heraus besprechen. Zum Beispiel tanzt der Herr Vorredner wiederholt auf der Meinung herum, ich hätte vertreten die Tyrannis oder die Vorherrschaft der geistig Begabten. Wodurch macht er bemerklich, daß nach dem, was ich auseinandergesetzt habe, eine Folge sein könnte, daß die geistig Begabten herrschen sollten? Nun weiß ich nicht, ob der Herr Redner auch das gehört hat, was ich neulich hier gesprochen habe, oder ob er weiß, was in meinem Buche steht. Er würde sonst wissen, daß es sich bei alledem, was den Impulsen, von denen ich rede, zugrunde liegt, darum handelt, daß alle menschlichen Begabungen an ihre entsprechende soziale Stelle hinkommen. Es handelt sich gerade um die Gliederung eines solchen sozialen Organismus, der nicht irgendeiner Begabung den Vorrang gibt, sondern der es möglich macht, daß eine jede Begabung an den ihr angemessenen Platz kommt. Das kann durch nichts anderes erreicht werden, als wenn die durch und durch verschiedenen Begabungen da ausgelesen und entwickelt werden, wo man sich auf Begabungen versteht, wo Begabungen in der richtigen Weise verwaltet werden können.

Der geistige Organismus wird seine Hauptaufgabe darin sehen müssen, Begabungen zu entwickeln. Lesen Sie aufmerksam mein Buch. Hören Sie nicht ein Eigenschaftswort zu dem hinzu, was ich sage, sondern nehmen Sie die Dinge so, wie ich sie wirklich sage, dann werden Sie sehen, daß auf dem Boden des Geisteslebens nicht nur die geistigen Begabungen entwickelt werden, sondern alle Begabungen bis in die körperlichsten Begabungen herunter. Der geistige Organismus ist nicht dazu da, um eine geistige Aristokratie zu schaffen, sondern um sämtliche Begabungen wirklich zu entwickeln. Abgesehen davon, daß ich das letztemal aufmerksam gemacht habe darauf, daß eine geistige Begabung gar nicht in Wirklichkeit bestehen kann, ohne zu gleicher Zeit die Möglichkeit zu bieten, wenn es nötig ist, eine manuelle Begabung zu entwickeln. Kurz, der Redner hat sich nicht die geringste Mühe gegeben, aus den bisherigen Denkgewohnheiten herauszukommen und wirklich sich aufzuraffen zu dem Willen, umzudenken, sondern er hat nach dem, was bisher üblich war, etwas kritisiert, was bewußt herausstrebt aus dem, was bisher üblich war. Das aber erscheint mir als dasjenige, was vor allen Dingen überwunden werden muß. Die Menschen, welche sich nicht, wenn sie auch guten Willen haben, die Mühe geben, sich hineinzufinden in dasjenige, was der andere sagt und will, das sind gerade diejenigen, die uns in die heutige Lage hineingeführt haben. Und so schmerzlich es mir ist, muß ich doch sagen: Ich kann in dem Herrn Vorredner nur einen derjenigen Menschen sehen, die uns nicht hinauskommen lassen wollen aus der Wirrnis. Vor der großen Weltkatastrophe konnte man meinetwillen solche Menschen verstehen, denn dazumal waren nicht die große Prüfung und die großen Fragen an die Menschheit herangekommen. Heute aber sollten wir wahrlich nicht durch unsere Denkeigensinnigkeit den Gang der Entwickelung aufhalten wollen. Das ist dasjenige, was mich so ängstlich macht, wenn die Menschen mit allen möglichen alter Schablonenbegriffen aufwarten und sogar graulich machen wollen, in dem sie sagen, der andere sei Gedankenanarchist oder so ähnlich, ich habe das Eigenschaftswort nicht verstanden.

Das sind Dinge, die graulich machen können. Dem muß man gegenüberhalten, was aus dem Gesagten wirklich hervorgehen kann. Nach der Einbildung geht das aus der Dreigliederung hervor, was der Redner gesagt hat, aber lesen Sie mein Buch, und Sie werden sehen, daß da alle möglichen Vorkehrungen, wenn ich so sagen darf, getroffen sind, damit eben dasjenige, was hier scheinbar hervorgehen soll, gar nicht hervorgehen kann.

Zum Beispiel hat der Herr Redner behauptet, es treten die gegenteiligen Interessen der Berufe auf. Das ist eine Selbstverständlichkeit. Aber gerade durch die Abtrennung des Geisteslebens, durch die Abtrennung des Rechtslebens wird das aufgehoben. Ich habe Sie heute lange damit aufgehalten, Ihnen in einer Art Einleitung zu sagen: Wenn der Sozialismus verwirklicht wird und er läßt alles dasjenige drinnen im sozialen Organismus, was das bewirkt, was ich geschildert habe, dann tritt das ein. Gewiß, in dem sozialen Organismus, den der Herr Redner sich vorstellt, würde das drinnen sein. In der Dreigliederung wird eben gerade das, was er in die Wirtschaftsordnung hineinstellen will, aus der Wirtschaftsordnung herausgenommen. Es kam mir der Herr Redner vor, wenn er auch sich zum Rätesystem bekennt, als Vertreter jener Hofratlichen Denkweise, welche nicht aus dem Volksrätesystem, aber aus dem Hofratssystem mir einmal einen ähnlichen Einwand gemacht hat.

Die Sache hat auch nicht die außenpolitische Seite, die der Herr Redner hingemalt hat, sondern eine ganz andere. Die einzige Heilung für unsere außenpolitischen Zustände, die uns in diese Katastrophe hineingeführt haben, hat sich bei Besprechung der außenpolitischen Dinge - ich kann natürlich nicht in einem Vortrag alles besprechen - zeigen sollen. Was wir vor allen Dingen hinwegschaffen durch den dreigegliederten sozialen Organismus, selbst wenn er nur von einem Staate und nicht in Nachbarstaaten, die noch die alte kapitalistische Ordnung behalten, durchgeführt wird, ist das bisherige Interessenspiel.

Es ist ja gerade das eigentümliche, daß die Dreigliederung jeder Staat für sich durchführen kann, ganz gleichgültig, ob die anderen beim alten bleiben, und daß zum Beispiel durch jenes Spiel der Interessen, das ganz anders sein wird als das bisherige, wenn die wirtschaftlichen Interessen allein für sich als Wirtschaftsinteressen auch über die Grenzen hinüberwirken, daß dann diejenigen Konfliktstoffe beseitigt werden, welche zu den Kriegen geführt haben, die man technisch die Rohstoffkriege nennt.

Der Hofrat nun, der diesen Einwand machte, hat mir gesagt: Ja, bisher war ein großer Teil der Kriege Rohstoffkriege, wenn Ihr System verwirklicht wird, dann gibt es ja keine Rohstoffkriege mehr, also widerspricht Ihr System der Wirklichkeit. - Ich mußte ihm sagen: Wenn Sie das zur Bestätigung gesagt hätten, verstände ich es; daß Sie es zur Widerlegung sagen, das ist eigentümlich. So muß ich sagen: Die einzige Hilfe gegenüber jener Stimmung, welche auf der Seite der Entente vorhanden ist, besteht darin, daß wir diese Stimmung, diese Mißgunst in drei Glieder zerfällen. Das ist dasjenige, was auf diesem Gebiete für die augenblickliche Außenpolitik diese Dreigliederung bringen würde. Ich würde dem Herrn Redner empfehlen, gerade von einem weiteren als dem Hofratsstandpunkte heraus die aus der Dreigliederung folgende Außenpolitik zu studieren, er würde sich dann ersparen können die gänzlich unnütze Definition, ob der dreigliedrige Organismus anarchistisch ist oder dergleichen. Er würde einsehen können, wie wahr dasjenige ist, was ich eben nur durch einen Vergleich aussprechen kann, ich habe es hier schon angedeutet, die Einheitsschwärmer, die gleichen eben Menschen, denen man sagen muß: Eine ländliche Familie besteht aus Mann, Frau, Kindern, Knecht und Magd und drei Kühen, sie alle brauchen Milch. Müssen sie deshalb alle Milch geben? Nein, es brauchen nur die drei Kühe Milch zu geben, dann werden alle Milch haben. So ist es notwendig, daß der gesamte Organismus in der richtigen Weise gegliedert wird; dann werden die Glieder auch in der richtigen Weise zur Einheit zusammenwirken, und das, was auf dem einen Boden entsteht, wird auch in der richtigen Weise auf die anderen Glieder wirken können.

Weil der Vorredner solches nicht beachtet, müßte er die Begabung durch das allgemeine Wahlrecht entscheiden. Nun, man kann die Besetzung von Stellen, man kann alles mögliche durch das allgemeine Wahlrecht entscheiden. Wie Sie aber die Begabungen durch das allgemeine Wahlrecht verwalten wollen, das bitte ich Sie nur einmal gründlich durchzudenken, und Sie werden sehen, wenn ich der Methode des Herrn Vorredners nachgehen und Ihnen die Konsequenzen ausmalen würde - aber diese Methode erkenne ich nur als eine sophistische Methode an, deshalb gehe ich nicht weiter darauf ein -, aber wenn ich Ihnen die Konsequenzen zeichnen würde, dann würden Sie sehen, was dabei herauskäme. Bei einer Demokratisierung der Begabung würden Sie vielleicht nicht sagen Gedankenanarchismus, aber irgend etwas anderes.

Ähnliche Dinge sind noch viel vorgebracht worden. Besonders überrascht war ich, den Ausdruck «Geistkapitalismus» zu hören. Was man sich darunter vorstellen soll, das weiß ich nicht, insbesondere weiß ich nicht, wie er gebraucht werden mag nach einem Vortrag, in dem über die Zirkulation des Kapitals in der Weise gesprochen worden ist, wie ich gesprochen habe. Geistige Besitzer - ja, sehr verehrte Anwesende, man versuche doch nur einmal, mit Realitäten zu denken! Stellen Sie sich den sozialen Organismus - der Redner hat ihn ja nicht geschildert, wie er ihn sich vorstellt - vor nach den wenigen Andeutungen, die der Redner gemacht hat. Dann werden Sie doch wohl sagen müssen: Was ist denn das eigentlich, wenn, sagen wir, durch irgendeine sozialistische Ordnung geistige Arbeiter eben arbeiten neben dem Handarbeiter? Ich weiß nicht, was das für ein Unterschied sein soll gegenüber dem, was auch in meinem Wirtschaftsorganismus da sein muß, daß der geistige Arbeiter arbeitet neben dem Handarbeiter. Ich habe ausdrücklich erklärt: Der Besitz hört auf in dem Moment, wo das Kapital realisiert ist, das heißt das Produktionsmittel da ist. Wie man dann von geistigen Besitzern sprechen kann, das ist mir ganz und gar unerfindlich. Aus einzelnen besonderen Erfahrungen, die der verehrte Redner angeführt hat, kann man selbstverständlich alles mögliche, was man nur will, herleiten. Von der Verkümmerung des Seelenlebens und dergleichen kann man selbstverständlich sehr viel herleiten. Das fand ich nicht sehr geschmackvoll, womit der Herr Redner geschlossen hat, daß er sich darauf bezog, er überläßt mir das Bürgertum, damit dann ihm um so besser das Proletariat gesichert sei. Nun, auf solche Dinge braucht man sich ja nicht weiter einzulassen, denn ob man das nun schließlich als agitatorische Phrase ansieht oder nicht, das ist durchaus Geschmackssache.

 

Aber was da gesagt worden ist in bezug auf das Vertrauen und in bezug auf den Glauben an das Vertrauen- ja sehen Sie, dazu muß ich schon sagen, es handelt sich heute wahrhaftig nicht darum, das Verhältnis, das man kennengelernt hat aus den alten Zuständen heraus, zu kritisieren, sondern heute handelt es sich darum, neue Zustände zu begründen. Wenn mir heute einer und der zweite und der hundertste und der tausendste erzählen würde, er glaube nicht daran, daß Vertrauen da sei, sondern er hat in soundso vielen Fällen mit Mißtrauen kämpfen müssen, dann sage ich ihm: Besser wird nichts, wenn wir uns nicht bemühen, dieses Vertrauen herzustellen, denn wir müssen heute mit dem Vertrauen arbeiten. Alle anderen Fäden, mit denen man bisher die Massen herangezogen hat, die versagen. Die Fäden der Zukunft können nur die des Vertrauens sein. Würde Mißtrauen morgen und übermorgen noch Platz greifen können, so müßten wir eben auf das, was auf morgen und übermorgen folgt, warten, denn wenn Gutes kommen soll, kann es nur aus dem Vertrauen heraus kommen. Das Vertrauen, das ich meine und an dem wir arbeiten müssen, dieses Vertrauen wird aus den Seelen hervorgehen müssen. Dieses Vertrauen muß eben erzeugt werden, es ist sogar heute wichtiger als alles andere. Dann, wenn dieses Vertrauen erzeugt wird, das ich meine, dann gibt es das rechte Verhältnis zwischen den Handarbeitenden an den Produktionsmitteln und den geistig Arbeitenden. Dann macht dieses Vertrauen unmöglich, was der Redner als ein Schreckbild an die Wand gemalt hat.

 

Das ist gerade das, was heute in dieser sozial aufgewühlten Zeit so furchtbar fehlt, der Wille, aufzubauen auf Vertrauen. Oh, dieses Vertrauen, es wird vorhanden sein, je mehr und mehr Prüfungen über die Menschen kommen, und ich würde verzweifeln müssen an der Menschheit, wenigstens an dem Neuaufbau gesunder Verhältnisse, wenn ich nicht mehr glauben könnte, daß ein Mensch den Weg zum anderen Menschen durch Vertrauen wird Enden können. Denn, meine sehr verehrten Anwesenden, sozialisieren Sie soviel Sie wollen, reden Sie von Sozialisierung soviel Sie wollen, eines wird dieser Sozialisierung zugrunde liegen müssen: die Sozialisierung der Seelen. Wer nicht sucht den Weg zur Sozialisierung der Seelen, der mag außen sozialisieren, soviel er will, er wird die Menschen in anarchistischere Zustände hineinführen als dasjenige ist, was der Vorredner als eine Art von Anarchismus hat hinstellen wollen.

Und nicht anders heißt der Seelensozialismus als Vertrauen. Aber an diesem Vertrauen muß eben gearbeitet werden. Und heute, ist dieses Vertrauen nicht ein wenig erschüttert? Meine sehr verehrten Anwesenden, ich bin mit dem, was soziale Bewegung des neunzehnten und zwanzigsten Jahrhunderts ist, seit langem verknüpft. Ich habe gearbeitet darin; ich weiß es. Was der verehrte Vorredner gesprochen hat, man hat es immer wieder und wieder aussprechen hören können gegen dasjenige, was ich heute gesagt habe. Abgesehen von der Dreigliederung, sind dieselben Einwände, die der Herr Vorredner mir heute gemacht hat, von anderen schon gemacht worden um 1898, l899. Das aber ist das Notwendigste, daß wir hinauskommen über die alten Gedanken, daß wir umlernen können, daß wir nicht beim alten stehenbleiben. So schmerzlich es mir auszusprechen ist, ich glaube, daß diejenigen uns am meisten zurückhalten, die sich nicht überwinden können, aus ihren alten Vorurteilen herauszukommen. Und die Herren, welche die Methode anwenden, die Sätze erst halb oder ganz umzudrehen, um dann gegen ihr Eigenes zu polemisieren, haben immer leichtes Spiel, weil selbstverständlich nach dem einmaligen Anhören eines Vortrages nicht alle verstehen werden, wie die Sachen gemeint sind, wie sie, wenn sie sich in die Wirklichkeit hineinstellen, aufgefaßt werden müssen. Denn gerade dasjenige, was nicht Theorien, nicht bloß gutem Willen entspricht, sondern das herausstammt aus einer gewissenhaften, der Verantwortlichkeit bewußten Lebenserfahrung, Lebensbeobachtung, gerade das kann nicht in einer Stunde erschöpft werden, sondern dafür können nur Anregungen gegeben werden. Aber diese Anregungen, von ihnen habe ich seit der Zeit, und es ist ja schon ziemlich lange her, seit ich von der Dreigliederung spreche, immer wiederum gesagt: Mag sein, daß die Einzelheiten bei ihrer Verwirklichung ganz anders sich ausnehmen werden als das, was ich selbst beispielsweise über diese Einzelheiten sage. Mir kommt es darauf an, daß der Bauplan der Wirklichkeit entnommen ist und sich in die Wirklichkeit hineinleben kann, daß er wirklichkeitsgemäß ist.

Und deshalb, weil ich glaube, daß nicht subjektiver menschlicher Wille es ist, der sich einbildet, diese Impulse realisieren zu müssen, sondern weil die Beobachtung der Entwickelungskräfte der Menschheit in der Gegenwart und Zukunft selber dazu führt, deshalb glaube ich, es wird sich Verständnis dafür finden. Und ich hoffe, das muß ich noch einmal sagen, aus unserer schwergeprüften Zeit und aus unserer schmerzlichen Lage werden wir für manches noch Verständnis finden, wofür Verständnis zu finden wir uns vielleicht heute noch gar nicht vorstellen können.