Ce renforcement de la personnalité repose dans le sens du développement normal, bon, conforme aux règles correctes de l'évolution. L'affaiblissement, la désinfection au soufre de la personnalité ne repose pas dans les impulsions du reste de la cinquième période post-atlantéenne ; cette montée de la personnalité dans le nébuleux, c'est une rechute, une rechute atavique en des temps anciens !
Deux choses œuvrent contre ce qui est nécessaire au progrès de l'humanité : un principe de nationalité absurde parce que devenu atavique ; ça c'est la première. Un principe de nationalité absurde comme en particulier au 19e siècle par lequel Napoléon a été porté dans le monde, un principe de nationalité, dans le nom duquel seront appelés beaucoup d'impulsions contre le vrai sens de l'évolution humaine. Un principe de nationalité embrumant, lequel embrume et embrouillent les concepts, installe les concepts dans une fausse sphère !

(…) Quand j'utilise abstrait la parole : la verdeur du sage, ainsi je dois m'être clair de ce que je forme une abstraction, laquelle résume les concrets particuliers, les plantes vertes. Cela est nécessaire dans le sens le plus éminent, que telle clarté règne en rapport à formation de concepts, que par ex. les êtres humains apprennent que les mots liberté et droit sont seulement à utiliser en rapport à un être humain concret, comme la verdure à une plante particulière concrète, et que, quand je parle de droit et de liberté des peuples, je peux seulement penser une abstraction, tout comme la verdure du pré. Mais aujourd'hui, la devise la plus hypocrite, qu'il peut y avoir, sera répandue sur la moitié du monde, en ce que sera parlé de quelque chose qu'on veut conquérir au nom de droit et liberté des peuples, qui est tel un non-sens, une telle folie, comme la verdure est une folie au pré quand on pense qu'on pourrait peindre toutes les plantes du pré, plutôt que le pré est vert par les individus-plante particuliers.

Cependant par l'actuelle diffusion de brouillard sur les peuples avec le faux principe de nationalité sera parlé de cette folle devise : droit et liberté des peuples.

Et l'autre, qui œuvre dans notre temps contre les principes progressistes en dehors du principe absurde de nationalité, c'est la politisation de la vie de la pensée.

De nos jours, il est [Sylvain : Faust] la protestation vivante contre le faux principe de nationalité, qui avec un (…) sonnant durement, mais est quand même atteint fondamentalement avec une parole profonde, vraie de Grillparzer. Grillparzer prononça la parole : de l'humanité par la nationalité à la bestialité. Cela est bien le chemin! La nationalité conduit vers le bas quand sera réclamé après elle, quand d'elle seront créée les aspirations (…) de l'humanité et elle conduit bientôt dans la bestialité.