Nous avons il y a quelques semaines pris cela en main, ce que devrait devenir– ce n'est peut être pas désigné avec un mot intelligent – le conseil de culture. Depuis trois semaines, nous bafouillons autour de la chose et elle n'a pas été mise en place. La chose devait être opté ainsi, comme elle a été opté, car là aussi devait être appelé à ce qui est encore resté d'instincts sains dans le retour à l'état sauvage général. Ce qui de ce point de vue a été dit, n'a pas besoin d'être national-chauviniste, ni besoin d'avoir la pointe hostile contre un autre peuple. Les Anglais savent très bien eux-mêmes : comme Anglais particulier, ils sont quelque chose d'autre que comme peuple. - L'homme que j'ai déjà souvent introduit, qui est l'un des plus fins observateurs de l'art, a une fois prononcé une belle parole en quoi il disait à peu près ce qui suit : Ah, là nous faisons l'histoire. Là on examine comment les événements se sont en fait déroulé et donnés les uns des autres et comment les peuples sont venus en guerre. Mais tout ce qui a été écrit là n'est donc là seulement pour cela, pour d'après notre point de vue subjectif, faire l'éloge de l'un dont nous avons besoin, et juger ou dénigrer l'autre. Et c'est vrai que les peuples, quand ils entreprennent des guerres, comme des sauvages conduisent partout des guerres et ne demandent pas les raisons. Herman Grimm pense que dans l'instant où les êtres humains entreprennent des guerres, ils deviennent des sauvages. Les humains deviennent, quand ils deviennent un état, une nation, non un plus élevé, mais un plus bas. C'est le grand malheur en notre temps que l'on estime plus haut l’État ou l'appartenance commune que l'être humain individuel. Mais les êtres humains sont aujourd'hui tellement empêtrés dans l'estimer plus haut des communautés que de l'individu qu'ils se sentent bien volontiers, être déshumanisés, être un cliché d’État. Là il est naturellement difficile de former quelque chose qui peut vraiment émanciper la vie de l'esprit.