Quand nous regardons par exemple les Français actuels, ainsi vivent naturellement à l'intérieur du peuple français un nombre d'individualités humaines. Ces individualités ne sont pas celles qui par exemple ont vécu dans des incarnations antérieures à l'intérieur du peuple, qui là, dans l'ouest de l'Europe a pris l'habit extérieur du christianisme. Car tout de suite par ce que dans l'ouest de l'Europe un nombre d'être humains devaient prendre le christianisme comme habit extérieur, les êtres humains allèrent de par la porte de la mort, qu'ils étaient assignés entre autres conditions d'être unis au christianisme dans leur corps astral et Je dans la prochaine vie. Tout de suite parce qu'ils étaient incarnés dans l'ouest de l’Europe, pour eux était donnée la nécessité de ne pas avoir leur prochaine incarnation dans l'ouest de l’Europe. C'est absolument très rarement le cas – je dis rarement, mais cela n'a pas toujours besoin d'être ainsi -, qu'une âme poursuivant l'une après l'autre plusieurs incarnations appartienne quelque peu à la même communauté terrestre. Les âmes passent d'une communauté terrestre à l'autre.

Mais nous avons un exemple – je dis cela, sans vouloir exciter sympathie ou antipathie, ni vouloir flatter quelqu'un -, nous avons un exemple, où en fait des âmes vont plusieurs fois à travers un seul et même peuple. Cela est le cas chez le peuple centre européen. Ce peuple centre européen a beaucoup d'âmes lesquelles vivent dedans, et qui étaient aussi incarnés auparavant dans les peuples germaniques. Nous pouvons vérifier un tel fait. Nous pouvons souvent, avec les moyens de la recherche occulte, comme nous l'avons jusqu'à maintenant, pas du tout l'expliquer pleinement, mais il se tient là. Un tel fait comme, par exemple, il a été montré dans la conférence publique jeudi dernier «  L'âme germanique et l'esprit allemand », s'éclaire quand nous savons que des âmes apparaissent de manière répétée à l'intérieur de la communauté de peuple centre européenne. Cela est le fait que nous avons tout de suite à l'intérieur de cette époque de culture arrachée à la communauté de peuple. On devrait seulement se représenter ce que cela signifie, qu'a l'intérieur de l'aube de la culture germanique, il y a eu une époque comme elle fut là avec les poêles de l'épopée des Nibelungen, chez Walther von der Wogelweide et autres ; et on doit se représenter que plus tard commença un temps dans lequel un nouveau temps de floraison de la culture germanique eu lieu ,et où la première floraison était entièrement oubliée. Car au temps où Goethe était jeune on ne savait pour ainsi dire rien des premières floraison de la vie de culture germanique. Tout de suite parce que les âmes revenaient à l'intérieur de cette communauté de peuple, devait être oublié ce qui était déjà une fois là, afin que les âmes trouvent quelque chose de neuf, quand elles revenaient, et ne pouvaient pas immédiatement se rattacher à ce qui était restée des temps anciens. Chez aucun autre peuple c'est ainsi que dans une certaine mesure une telle métamorphose aurait été traversée, comme chez le peuple centre européen : à cette hauteur, laquelle était disponible dans les dixièmes, onzième, douzième siècles, à cette autre hauteur qui de nouveau était autour du temps de la fin du dix-huitième et début du dix-neuvième siècle et dont nous avons la permission d'espérer leur continuation. Du premier moment au deuxième ne va aucun courant continu, ce qui devient seulement éclairant quand nous savons que tout de suite sur ce domaine de la culture de l'esprit des âmes reviennent. Peut-être cela était-il aussi pendant avec ce que je vous ai nommé déjà une fois vis-à-vis d'un fait bouleversant – que justement vraiment était seulement à remarquer chez les lutteurs centre européens du présent qu'ils, quand ils vont par la porte de la mort, continue à lutter avec ; que bientôt quand ils ont passés par la porte de la mort, est à contempler, comme ils continuent à lutter avec. De cela on peut avoir d'après ce fait les plus belles espérances pour l'avenir, quand on voit justement que pas seulement les vivants, mais aussi les morts, les défunts, aident à ce qui se passe.

Lançons maintenant la question. Comment est-ce quelque peu avec ces âmes qui étaient incarnées dans les temps, où le christianisme a été accueilli comme un habillement extérieur, nommément dans le temps des sixièmes, septième, huitième neuvième siècle en Europe de l'ouest et là, aussi sous les romains, avaient accueilli le christianisme, mais ne pouvaient pas encore l'unifier avec leur corps astral et leur moi ? Comment est-ce avec ces âmes ?

Oui, aussi grotesque c'est pour les êtres humains pensant matérialistes du présent, les enseignements de la science de l'esprit seront aussi pleins de signification pour la vie, quand on va sur les choses concrètes – Les êtres humains regardent encore cela comme la chimère de certains rêveurs fous, quand on parle de vies terrestres répétées. On n’accueille pas cette idée ; mais on la trouve pardonnable après donc que le grand Lessing en une heure de faiblesse de sa vie a accueilli l'idée des vies terrestres répétées, quand aussi aujourd'hui sera de nouveau parler de cela. Mais quand vraiment sera arrivé aux résultats de la recherche occulte, alors on n'est plus, pour les êtres humains des grandes lumières, un fou obtenant le pardon. Cependant nous devons arriver sur une chose que nous donne la recherche occulte ; car par cela rentre en premier de la lumière en ce qui doit sinon rester la grande erreur.

Là est l'étrange que des âmes, qui pendant l'époque romaine montante, comme le christianisme gagnait progressivement de l'influence et devint alors religion d'État, vivaient jadis dans l'ouest, maintenant un grand nombre nous vient en vis-à-vis de l'Est, des âmes donc, qui grandissent dans l'est et sont parmi les combattants de la Russie.
Je disais : remarquons le fait que nous introduisions auparavant. Car nous trouvons parmi les êtres humains, qui seront tués dans l'ouest, qui combattent là ou seront fait prisonniers, des âmes telles quelles ont vécues dans l'ouest de l'Europe dans les derniers temps des romains. Elles nous viennent maintenant à la rencontre de l'Est, qui jadis a laissé couler le christianisme dans le corps éthérique et qui maintenant dans les corps prennent ainsi une culture se tenant relativement plus bas, par la vie particulière de l'est, prennent le christianisme dans le contexte de veille ainsi dans leurs âmes, qu'elles se lient avec lui à la mesure de l'instinct, à la mesure du sentiment. Donc tout de suite dans leurs corps astraux se lient avec l'impulsion-Christ et cherchent par cela après ce qu'elles n'ont pu atteindre dans leurs incarnations précédentes. Cela est un fait très étrange que peut nous montrer la recherche occulte de nos jours. Parmi les nombreuses choses éprouvantes, qui, stimulées par nos événements d'époque peuvent pénétrer dans le champ occulte, est aussi celle-là. Que pouvons nous nous rendre maintenant clair de ces faits ?