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Collection: 09 - Nationalisme et âmes de peuple
Sujet : Réunification des races physiquement et spirituellement ouvertes comme idéal
 
Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA013 293-294 (1989) 00/00/1910
Traducteur: FG Editeur: SITE

 

Ce qui par l'apparition du Christ s'est écoulé dans l'évolution de l'humanité, a agis comme une semence dans celle-ci. La semence ne peut mûrir que progressivement. Seule la plus insignifiante partie des profondeurs des nouveaux bien de sagesse s'est écouler sur le présent dans l'être-là physique. Cela se tient comme premier dans le début de l'évolution chrétienne. Cela a pu dans les périodes se succédant, qui se sont écoulés depuis cette apparition, dévoiler seulement toujours de son essence intérieure autant que les êtres humains, les peuples ont été capable de recevoir comme cela qu'ils pouvaient accueillir dans le patrimoine de représentations. La première forme dans laquelle a pu se déverser cette connaissance, se laisse exprimer comme un idéal de vie étendu. Comme tel il se plaça [] vis-à-vis de ce qui s'était extériorisé comme forme de vie dans l'humanité post-atlantéenne. Les conditions ont été décrites plus haut, qui dans l'évolution de l'humanité ont effectué la repopulation de la Terre dans l'époque lémurienne. Les êtres humains sont àla mesure de cela à reconduire animiquement/psychiquement sur différentes entités, lesquelles venant d'autres mondes s'incarnèrent dans la succession des corps des ancien lémuriens. Les différentes races d'humains sont une conséquence de ce fait. Et dans les âmes réincarnées sont apparu, en conséquence de leur karma, les plus différents intérêt de vie. Aussi longtemps que tout cela continua d'agir, il ne pouvait y avoir d'idéal de "l'humanité universelle". L'humanité est sortie d'une unité, mais l'évolution de la Terre jusqu'à présent à conduit à la particularisation. Dans la représentation-Christ est tout d'abord donné un idéal, qui oeuvre contre toute particularisation, car dans l'être humain, qui porte le nom du Christ, vivent aussi les forces du haut être solaire dans lequel chaque Je humain trouve sont fondement originel. Le peuple israélite se sentait comme peuple, l'être humain comme membre de ce peuple. En ce que tout d'abord dans les pures pensées a été saisit que dans le Christ Jésus vit l'être humain idéal, auquel les conditions de la particularisation ne contraignent pas, le christianisme devient l'idéal de la fraternité de grande envergure.

 

Détaché des intérêt particuliers et des parentés particulières apparu le sentiment que le Je le plu intérieur de l'être humain à chez chacun la même origine. (Près de toutes les priorités terrestres apparut le père commun de tous les êtres humains. "Je et le Père sommes un").