Et ainsi on verra, quand la vie juridique-étatique peut s'exercer de manière correcte, que cette vie juridique-étatique prend alors en compte le travail de l'humain. Le travail de l'humain est donc entièrement fiché aujourd'hui dans la vie économique. Il ne sera pas traité comme quelque chose qui sera déterminé d'humain à humain. J'ai écrit environ en 1905 un article sur la question sociale, et j'ai voulu rendre clair là que sous notre actuelle division/ partage/répartition du travail, le travail deviendra seulement une marchandise, en ce qu'il coule/influe dans tout l'organisme restant. Pour nous-même, notre travail a en vérité/réalité seulement une valeur d'apparence. Seul ce que les autres font pour nous, a une valeur ; pendant que ce que nous faisons, devrait avoir une valeur pour les autres. C'est quelque chose, que la technique a déjà atteint. Seulement nous n'avons pas encore suivi avec notre moral/morale. Techniquement, à l'intérieur de l'ordre social actuel, on ne peut rien faire pour soi, pas une fois une robe. Même quand on se fait la robe soi-même, ainsi elle a un prix tel, comme elle aurait quand elle sera faite par un autre. Cela signifie que ce que la robe place dans l'économique, c'est universel, c'est déterminé à partir de la communauté. Ce n'est qu'une structure d'apparence quand on pense, que la robe fabriquée par le tailleur pour soi-même serait meilleure marché. On peut calculer cela avec des nombres, là ça paraît meilleur marché. Mais si on le place dans un bilan d'ensemble ainsi on verrait : justement ainsi peu qu'on peut sortir de sa propre peau, justement ainsi peu on peut, en ce qu'on se fait soi-même une pièce d'habillement, changer ou déconnecter l'économique.

Aussi la pièce d'habillement, qu'on a faite soi-même pour soi, devra être payée dans son ensemble. Le travail est ce que fait l'humain pour l'humain, qui ne peut être ordonné d'après combien de temps de travail on a besoin dans la fabrique. Cette valorisation du travail conduit dans le sens le plus éminent dans le domaine du droit, de l'ordre étatique-juridique.

Que cela n'est pas non à-la-mesure du temps, mais à-la-mesure du temps, cela vous pouvez le déduire que partout le travail sera protégé, sera assuré et ainsi de suite. Mais ce sont toutes non des demi dispositions, ce sont des quarts de dispositions, qui peuvent alors seulement venir pleinement à validité, quand une tri-articulation correcte de l'organisme social est là. Car alors l'humain se tiendra en face de l'humain pour la première fois et le travail trouvera pour la première fois une réglementation correcte, quand la dignité humaine parlera vis-à-vis de la dignité humaine, à partir de ce pour quoi tous les humains sont compétents. Alors vous direz : oui, là peut une fois ne pas être là assez de travail, quand de cette manière sera alors déterminé le travail dans l’État démocratique. Oui, là est un des points, où le social introduit dans le généralement historique, dans évolution générale de l'humanité. La vie économique n'a pas la permission de déterminer le travail. Elle doit être enfermée sur l'un des côtés entre la nature, de l'autre côté entre le travail fixé étatiquement. Tout de suite aussi peu qu'un comité peut déterminer maintenant, combien de jours de pluie devraient être là en 1923, afin qu'on puisse correctement gérer/faire l'économie en 1923, comment on doit admettre cela et calculer avec cela comme une donnée, avec ce que la nature donne, ainsi on devra aussi compter dans l'organisme économique autonome avec le donne comme avec une masse de travail, qui se donne à l'intérieur de l'organisme étatique-juridique. Je peux seulement évoquer cela en général comme une caractéristique.