L'activité d'entrepreneur peut intervenir d'une manière saine dans l'organisme social seulement quand, dans l'organisme social, agissent ces forces de vie qui permettent aux facultés individuelles de l'humain de se manifester de la façon la meilleure possible. Cela peut seulement avoir lieu quand est disponible un domaine de l'organisme social qui donne aux capables la libre initiative de faire usage de ses facultés et rend possible chez d'autres [] humains, le jugement de la valeur de ces mêmes facultés par une libre compréhension. On voit, l'activité sociale d'un humain par du/le capital appartient à ce domaine de l'organisme social dans lequel la vie de l'esprit, soigne la législation et l'administration. Si l'Etat politique interfère dans cette activité, l'incompréhension envers les facultés individuelles sera nécessairement co-déterminante sur leur efficacité. Car l'Etat politique doit reposer et il doit transposer en efficacité ce qui disponible dans tous les humains comme égales/mêmes exigences de vie. Dans son domaine, il doit laisser venir tous les humains au faire valoir/à la revendication de leur jugement. Pour ce qu'il a à accomplir, la compréhension ou l'incompréhension pour des facultés individuelles n'entre pas en ligne de compte. De ce fait, ce qui en lui vient à la réalisation n'a la permission d'avoir aucune influence sur l'activité des facultés humaines individuelles. La perspective sur l'avantage économique devrait pouvoir être tout aussi peu déterminante pour les répercutions des facultés individuelles rendues possibles par le capital. Beaucoup d'observateurs du capitalisme attachent une grande importance à cet avantage. Ils croient que seul par l'attrait de cet avantage les facultés individuelles pourront être mises en activité. En tant que « praticiens», ils en appellent à l'«imparfaite» nature humaine qu'ils prétendent connaître. Toutefois à l'intérieur de cet ordre de société qui a conduit au contexte présent, la vue sur des avantages économiques a acquis une signification qui va profondément. Mais ce fait est justement pour une part non négligeable la cause des contextes qui pourront être vécus maintenant. Et ces contextes pressent au développement d'une autre motivation pour l'exercice [] des facultés individuelles. Cette motivation devrait reposer dans compréhension sociale s'écoulant d'une une vie saine de l'esprit. L'éducation, l'école, armeront l'être humain, à partir de la force de la vie libre de l'esprit, de motivations qui l'amèneront à réaliser, grâce à cette compréhension sociale qui lui est inhérente, ce vers quoi ses capacités individuelles le poussent.

[03/07] Une telle opinion n'a pas nécessairement besoin d'être une exaltation rêveuse (NDT : Schwarmgeisterei : une spiritualité d'essaim, la nuance est probablement dans la dimension de phénomène social de cette exaltation que le précédent traducteur ne voit pas). Certes, l'exaltation a apporté des malheurs incommensurables dans le domaine du vouloir social, comme dans d'autres. Mais, comme on peut le constater par ce qui précède, la façon de voir exposée ici ne repose pas sur la croyance insensée que « l'esprit » opérera des miracles lorsque ceux qui pensent l'avoir en parleront le plus possible ; mais elle provient de l'observation de la libre coopération des humains dans le domaine spirituel. Cette coopération obtient par sa propre entité, une empreinte sociale quand elle peut seulement se développer véritablement libre.
 
[03/08] Seule la façon non libre de la vie de l'esprit a jusqu’à présent pas laisser monter cette empreinte sociale. A l'intérieur des classes dirigeantes, les forces spirituelles se sont développées d'une façon qui ont confiné/enfermé les prestations de ces forces de manière antisociale à l'intérieur de certains cercles de l'humanité. Ce qui a été produit à l'intérieur de ces cercles pouvait seulement être apporté à l'humanité prolétarienne de manière artificielle. Et cette humanité ne pouvait puiser aucune force de soutien de l'âme de cette vie de l'esprit car elle ne prenait pas vraiment part à la vie de ce bien de l'esprit. Les institutions pour un «enseignement populaire», pour «mettre à la portée du peuple» des jouissances artistiques et autres choses semblables, ne sont en vérité aucun moyen pour répandre le bien de l'esprit dans le peuple, aussi longtemps que ce bien de l'esprit gardera le caractère qu'il a adopter dans les temps récents. Car le peuple ne se tient pas dans la vie de ce bien de l'esprit avec la plus intime part de son être. Il lui est seulement rendu possible, dans une certaine mesure de regarder dessus d'un point de vue qui repose à l'extérieur de celui-ci. Et ce qui est valable de la vie de l'esprit dans un sens étroit, cela a sa signification aussi dans celles des ramifications de l'action spirituelle qui, qui sur la base du capital affluent dans la vie économique. Dans l'organisme social sain, le travailleur prolétaire ne doit pas se tenir à sa machine, et seulement être touché par son animation, pendant que le capitaliste est le seul a savoir quel est le destin de la marchandise fabriquée dans le circuit de la vie de l'économie. Le travailleur devrait pouvoir avec pleine participation à la chose pouvoir développer des représentations sur la façon dont il prend part à la vie sociale en ce qu'il travaille à la production des marchandises. Des réunions/entretiens, qui doivent être compris dans le temps de travail au même titre que le travail lui-même, devraient être régulièrement organisées par l'entrepreneur, dans le but de développer un cercle de représentations communes qui entoure l'employeur et l'employé. Une saine activité de cette sorte engendrera chez le travailleur la compréhension qu'une activité correcte du gestionnaire/administrateur du capital promeut elle-même l'organisme social et avec cela du travailleur, qui en est un membre. L'entrepreneur sera amené, par une telle publication de la direction de son entreprise visant une libre compréhension, à un comportement libre de reproches.[]
[03/09] Seul celui qui n'a pas le sens de l'effet social de l'expérience intérieure d'union vécue en commun lors de la réalisation d'une chose, tiendra ce qui vient d'être dit pour dénué d'importance. Mais celui qui a un sens pour ces choses saisira que la productivité économique se trouve stimulée lorsque la direction de l'entreprise reposant sur le capital a ses racines dans la vie libre de l'esprit. Le pur intérêt disponible porté au capital à cause du profit, et de sa multiplication, peut seulement alors, quand cette condition préalable est remplie, faire place à l'intérêt objectif pour l'élaboration de produits et à la venue en l'état de prestations.