Les humains se pénètrent-ils entièrement avec la mécanisation occidentale de l'esprit, alors l'animalisation orientale se liera à cette mécanisation occidentale de l'esprit, cela signifie l'apparition de revendications sociales purement en forme d'instincts animaux et de pulsions grossières. Les deux sont pendants. Au milieu se fiche la végétalisation, cela signifie l'envie de dormir de la vie de l'âme, qui ne veut pas être réveillée par l'entrée dans un chemin de l'esprit. Cela est l'une des perspectives qui sont là. L'humanité aura à se décider si elle veut aller dans cette perspective à la mécanisation de l'esprit, à la végétalisation de l'âme et à l'animalisation du corps, ou si elle veut aller sur l'autre chemin. Dans le besoin et la misère, nous pourrons bien nous accommoder de l'autre chemin. Et de cet autre chemin, le chemin de l'esprit, malgré que les autres ont le pouvoir, nous ne pourrons pas être déviés.

Nous devons seulement vouloir le pénétrer. Nous devons seulement maintenir nous-mêmes notre esprit libre de l'esclavage vis-à-vis nos corps. Nous devrons seulement nous décider des sensations et sentiments qui pourront nous venir par la conscience de l'humain suprasensible et du monde suprasensible, nous placer sur nous-mêmes en relation spirituelle psychique. Alors les autres ne pourront pas nous nuire. Alors se montrera peut-être quand même ce que j'aimerais exprimer par les mots : au cours du dix-neuvième siècle nous en somme malheureusement arrivé à cela d'imiter les peuples de l'ouest en Europe du centre, aussi là où dans la civilisation de l'ouest n'était aucune raison. Peut-être que par nécessité et misère, tout de suite par le pouvoir qu'ils ont sur nous, nous trouverons le chemin pour ne pas absorber ce que nous avons malheureusement accueilli spontanément, en ce que nous les imitons. Maintenant où ils veulent nous montrer la mécanisation de l'esprit par leur pouvoir, là nous nous trouvons l dans cette vieille Europe du centre a force qui peut se rattacher à de grandes périodes, là nous trouvons la force d'aller le chemin de l'esprit en l'humain intérieur. Alors, nous éviterons la mécanisation matérialiste de l'esprit et arriverons à ce que je tentais de caractériser déjà au début des années quatre-vingt-dix dans ma « Philosophie de la liberté ». Alors par l'esprit libéré, nous arriverons à une véritable vision du monde de l'esprit. Alors, nous trouverons le chemin à l'égalité des humains, tout de suite par l'esprit. Car plus jamais ne peut être une égalité des humains seulement dans l'ordre économique extérieur.

Mais quand l'humain est à même de se saisir dans sa nature suprasensible comme être spirituel doté d'âme, alors il arrivera à trouver aussi le droit qui le fait égal parmi des égaux. Alors, il approfondira sa science ; car de ce que je vous ai mentionné aujourd'hui, la médecine peut, la science du droit peut, l'art de l'éducation peut, tous peuvent créer en premier leurs sources correctes. Alors ne s'écoulera pas de la science ce qui conduit comme jusqu'à présent à la mécanisation de l'esprit, ce qui conduit comme jusqu'à présent à l'inégalité des humains, mais alors viendra de ce que l'esprit cherche sur le chemin de l'esprit, pleine liberté de l'esprit des humains. Alors, viendra de cela que l'esprit cherche sur chemins des âmes, l'égalité humaine des humains dotés d'âme, et alors, quand l'humain, se saisissant lui -même comme humain suprasensible, spirituel aimant les autres humains, se tient en face des autres humains, alors rentrera dans la vie sociale, parce que les humains fréquenteront consciemment comme être spirituel en amour l'un l'autre, alors régnera dans la nature de l'humain à côté de l'esprit libéré, à côté de l'autre âme égale la vraie fraternité pénétrée d'esprit, dotée d'âme, toute humaine!