Ce sur quoi je tentais de rendre attentif au début des années quatre-vingt-dix du siècle précédent dans mon livre « Philosophie de la liberté » était que l'humain ne peut venir seulement à son plein être-là, quand il développe ce plein être-là dans son devenir entre naissance et mort, quand notamment il délie premièrement ce qu'une âme doit quand même avoir quand elle aspire à un être-là digne de l'humain, la conscience de sa libre nature humaine par le développement des forces déposées en son intérieur.

On peut seulement devenir libre, et les humains peuvent seulement devenir libres, s'ils sont éduqués à la liberté ou s'éduquent eux-mêmes. Qui voit à travers cela regardera ce qui se lève aujourd’hui comme appel au socialisme d’une manière plus profonde, que cela se passe ordinairement. Il demandera, n'est-ce peut-être pas ainsi que nous ne nous trouvions comme humain à humain pas social et démocratique parce que notre vie de l'éducation ne développe pas de manière correcte ce qui en nous est prédisposé pour démocratie et socialisme ? On a besoin de motivations intérieures entièrement déterminées quand on devrait se placer dans une communauté démocratique, ou quand on veut fonder une communauté sociale de l'économie. Et on pourrait presque dire si on ne choquerait pas trop d'humains du présent avec une toutefois correcte vérité : ainsi que l'humain naît – l'évolution de l'enfant le montre clairement -, ainsi il n'a tout d'abord pas les impulsions après démocratie et aussi pas après socialisme, elles doivent d'abord être immergées dans son âme. Elles reposent disposées dedans, mais elles ne peuvent sortir d'elles-mêmes. Et avant que notre système d'éducation ne soit pas placé sur une connaissance fondamentale et conforme à la réalité de la nature humaine, plus tôt nous ne le vivrons pas que l'humain peut se placer lui-même dans une communauté sociale ou démocratique avec mentalité démocratique et sociale.

Cela tentera constamment à faire éclater démocratie et socialisme à partir de forces d'impulsions inconscientes s'il n'est pas conscient de cela. Et si ne sont fait de premiers signes de changement à l'éducation au sens démocratique comme aussi au sens social, alors les humains vivent la suite à nouveau ainsi ensemble que du démocratique devient une quelque tyrannie, du social un quelque chose d'antisocial, comme donc très certainement du social, qu'on ambitionne dans l'Est européen, le plus antisocial devrait devenir en relativement peu de temps et est justement déjà là maintenant ! Par cela, le regard de celui de celui qui le pense aujourd'hui honnêtement avec l'évolution humaine sera orienté sur la vie de l'esprit, sur l'éducation. Et la nécessité se révèle de placer avant tout la vie de l'esprit et ses plus importantes parties constituantes, l'éducation et l'enseignement sur une véritable connaissance objective de l'humain.