Certainement, depuis qu'est œuvré dans le sens de la triarticulation, la chose est donc que d'un côté se tiennent ces humains dont on dit ils s'intéressent pour la triarticulation, mais ne veulent rien savoir de l'anthroposophie, et de l'autre côté ceux qui s'intéressent pour l'anthroposophie, et alors ne veulent rien savoir de la triarticulation.
Mais quand on compte avec ce fait trop fortement par soi-même, alors on n'atteint quand même rien pour la durée ; pour l'instant quelque chose peut être atteint, mais pour la durée on n'atteint quand même rien.

En particulier on pourra atteindre peu, justement en Suisse, avec une telle chose qu'on pourrait tenir pour une tactique, avec en rapport avec la Suisse à partir des raisons que j'ai déjà tout de suite indiquées.
Il s'agira quand même de ce qu’au moins qu'en arrière-plan des orateurs doit être fortement disponible la conviction qu'on ne peut pas correctement aider à mettre la triarticulation sur pied. On peut naturellement utiliser ce que maints humains acceptent la triarticulation et renvoient l'anthroposophie ; mais on devrait absolument savoir – et quand on le sait, on introduira déjà les tournures nécessaires dans son discours -, que ne peut être tri-articulé sans la propagation au moins des choses élémentaires de l'anthroposophie.

Que doit-on en fait triarticuler ? Pensez-le vous seulement une fois, dans un tel territoire, dans lequel, disons, un État d'un côté à dans sa main tout le système scolaire, de l'autre la vie économique, ainsi que la vie du droit soit tombée au travers – oui, pensez seulement une fois, il pourrait donc pénétrer le plus invraisemblable que là serait maintenant serait triarticulé!

Il serait dans le domaine du système scolaire, qui serait maintenant autonome fait des pas vers le vote d'un monarque scolaire et ministre scolaire, et la libre vie de l'esprit serait en peu de temps transformée en un État !

De telles choses ne se laissent pas prendre formellement, elles doivent reposer dans l'entier vivant de l'humain. Il doit donc d'abord être là quelque chose comme vie de l'esprit libre, en laquelle les humains se tiennent quand on veut placer la vie de l'esprit sur elle-même dans l'organisme social. Alors seulement quand la vie de l'esprit aussi dans le sens anthroposophique devient appliquée, par exemple dans l'école libre Waldorf à Stuttgart, peut être parlé de cela, qu'on a là quelque chose qui est un germe pour une vie de l'esprit libre. Mais dans la libre école Waldorf on n'a ni un recteur ni des plans scolaires, ni quelque chose d'autre de ce genre, mais la vie est là, et est absolument pris recul sur ce qu'on doit justement réfléchir vis-à-vis de la vie.

Je suis entièrement convaincu que sur un système scolaire libre idéal s'assoient ensemble trois, sept, douze, treize ou quinze humains qui peuvent faire les plus belles pensées, et établir un programme : premièrement, deuxièmement, troisièmement – beaucoup de points. Ce programme pourrait être ainsi qu'on ne pourrait se représenter quelque chose de plus beau. Les gens, qui inventent ce programme n'ont pas une fois besoin d'être particulièrement intelligents, peuvent par exemple absolument être des parlementaires moyens, n'ont pas une fois besoin d'être de tels, peuvent être politiciens d'auberge sous conditions, et ceux-là pourraient trouver trente, quarante points qui remplissent les plus hauts idéaux pour un système scolaire irréprochable – mais on ne peut rien commencer avec cela !
Il est tout à fait inutile de former des paragraphes et des statuts de cette manière quand on ne peut rien commencer avec cela. On ne peut seulement commencer quelque chose avec un collège de professeur rassemblé, quand on ne compte pas du tout d'après des statuts, mais d'après ce que donc justement on peut et que de cela le meilleur est fait en toute vivacité.

La libre vie de l'esprit doit justement être une véritable libre vie de l'esprit. Quand les humains aujourd'hui parlent de vie de l'esprit, ils ne parlent pas du tout de l'esprit, ils parlent d'idées, ils parlent donc seulement toujours d'idées.

Donc quand déjà anthroposophie est déjà là pour en appeler à nouveau dans les humains à la perception d'une vie de l'esprit réelle, ainsi elle est indispensable quand on établit l'exigence de la triarticulation de l'organisme social.

Donc au fond dois aller dans l'un : promotion de l'anthroposophie, promotion de la triarticulation de l'organisme social.