Il a tout à fait justement été mis en avant par notre ami van Leer, que ce qui en rapport à la vie libre de l'esprit est à représenter en rapport avec la triarticulation sociale, que cela doit être traité de différente manière pour les plus différents domaines. Seul, cela doit alors aussi vraiment se passer ainsi que la manière de traiter pour les territoires concernés convient à la mesure de la réalité sur ces territoires. Moi-même indiquerais toujours que par exemple pour l'Angleterre il sera nécessaire, d'exposer de la manière qui justement tout de suite convienne aux conditions anglaises de civilisation.
Seul, on n'a pas le droit de ne pas voir qu'on doit fondamentalement considérer ce qui est prétention vis-à-vis des grandes questions de l'humanité dans l'avenir et ce qu'est la réalité. On n'a donc pas le droit de représenter la chose ainsi qu'on suscite la croyance que la vie de l'esprit anglaise est plus libre que l'autre. Et vous verrez si vous parcourez vraiment les « Points germinatifs » que donc là moins de valeur a été mise sur le moment négatif – libération de la vie de l'esprit de l’État – que sur la fondation d'une vie spirituelle libre absolument.
Et là il restera toujours un bon mot : qu'il dépend de l'humain, de quelles bases spirituelles part l'humain, quelles bases spirituelles sont créées pour sa formation.
Il ne s'agit pas tant de ce qu'on souligne le moment négatif, mais le positif est a souligné. Et je n'ai besoin que de dire : quand la vie de l'esprit est libérée formellement de la contrainte étatique et tout resterait sinon à l'ancien, ainsi la libération de l’État ne pourrait particulièrement pas servir.

Il s'agit de ce que de l'esprit positif, comme il a voulu être représenté ici cette semaine, comme fut tenté de représenté que cet esprit libre soit introduit internationalement. Et là les choses se présenteront comme elles doivent se présenter.
Il ne s’agit vraiment par exemple pas seulement à l'école Waldorf qu'elle soit une école vraiment libre, qu'elle n'ait pas une fois un directeur, mais que le collège des professeurs soit une communauté vraiment représentative. Il ne s'agit pas de ce que toutes les mesures soit atteintes ainsi que « rien d'autre » ne parle que ce qui ressort du collège des professeurs lui-même, qu'on ait donc ici vraiment « une communauté spirituelle indépendante », mais il s'agit aussi de ce que dans tous pays manque cette vie de l'esprit de laquelle ici toute la semaine a été parlé.
Et quand on entend souligner « que donc la vie de l'esprit ici au pays est libre » - je ne pense pas maintenant la Suisse, je parle de l'Angleterre -, ainsi c'est justement l'autre question.
Et ce positif c'est avant toute chose ce dont il s'agit. Cela doit alors être mis en avant : cela n'aura lieu naturellement seulement quand on essaye d'avancer en réalité sur les conditions dans les pays et territoires particuliers.