On a appris l’organiser (NDT : « das Organisieren », on serait bien sûr tenté de traduire par « l’organisation ») de la nature. On crédite particulièrement les Allemands de l’organiser. Ils l’ont si bien reçu, qu’ils l’ont déformé jusqu’au mécanisé. Mais cela a débordé dans l’essentiel sur tout le monde civilisé.
On a apporté l’organiser, qui de nature est propriété de l’humain aussi dans la vie sociale. Et cet organiser qui est en rapport avec les lignés héréditaires, cet organiser, qui a un très symptomatique – il y a beaucoup d’autre – dans le droit d’héritage, cet organiser, il ressort donc au fond très clairement aussi dans l’organisation de la vie spirituelle. Et finalement – toutefois, l’Église catholique veut être une institution démocratique, qui laisse aussi monter sous conditions jusqu’aux plus hautes positions de la hiérarchie d’églises celui, qui là est au-dessous des états les plus au dessous.-, mais s’est aussi la dans la pratique ce qui a soudé ensemble de telles choses, comme les vieilles organisations qui dépendent de la lignée héréditaire, se sont aussi glissées dans des organisations d’église catholiques ; car finalement quand même plus de hauts nobles sont devenus évêques que d’autres et ainsi de suite. Bref, nous voyons dans beaucoup de rapport comment s’immisce dans l’organisation sociale moderne, ce qui vient des lignés héréditaires : et qui dans de telles choses comme le droit d’héritage, vient particulièrement à l’expression, mais là-dessus,  l’espèce humaine en a en fait grandi hors avec sa conscience la plus intérieure.