Question : qui juge
dans les affaires de commerce, probablement pas des
conseils de la vie de l'esprit seule, qui sont dénués
des connaissances professionnelles, pas des experts en
la matière seuls ?
« Au fond, beaucoup à
cette question est déjà répondu avec ce que j'ai
justement dit maintenant. Par le façonnement de notre
vie de l'esprit, l'un sera préalablement formé, comme
il doit l'être afin qu'il soit un correct stagiaire,
afin qu'il soit un correct commercial et semblable. Il
s'agit de ce que justement dans l'organisme social
tri-articulé, avec la vie de l'esprit autonome, ne
sera pas enseigné ainsi, mais que l'humain en fait,
par l'art et la manière comment la vie de l'esprit
place ses propres conditions, viendra à une certaine
pratique de vie, et qu'il pourra aussi façonner cette
pratique de vie.
On n'a donc absolument pas besoin d'avoir un jugement
à la mesure de la chose sur chaque domaine. C'est
justement cela qui ne peut être et sur quoi n'a pas le
droit d'être compté. Que le bon humain siège dans un
tribunal de commerce, pour cela sera à veiller de
toute façon à partir de l'administration spirituelle,
parce que dans l'administration spirituelle siégeront
aussi les humains qui comprennent quelque chose des
lois du commerce. Il sera, ce qui est savoir, pas
centralisé de la manière comme aujourd'hui, mais il
sera possible par ce que comment les humains sont
entre eux dans les corporations de l'organisation
spirituelle, de constituer un tel tribunal de manière
correspondante, à le constituer à la mesure de la
chose, pas à partir d'un quelconque besoin économique
et semblable.
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