Je peux le croire facilement qu'aujourd'hui et aussi pour le temps de transition, la communauté des enseignants puisse avoir de grands doutes contre ce qui doit se passer seulement pour la facilitation d'une telle école et une telle éducation, comme elle a été caractérisée ici, par les efforts de l'Union pour la triarticulation de l'organisme social. Cette Union pour la triarticulation voit dans la dépendance de l'école de l’État, dans la pénétration de l’école par le principe d’État ce qui rendra impossible à l'avenir de soigner dans l'école ce dont a été parlé aujourd'hui ici.

Les socialistes peuvent un petit peu réfléchir là-dessus. Ils veulent dans une certaine mesure tout socialiser ou étatiser.
La classe humaine, qui les a précédés a étatisé l'école. L'école est entièrement et complètement étatisée, à elle on peut apprendre, ce qu'est l'étatisation. Et aujourd'hui, sous l'appel à socialisation, doit, qui prend les choses sérieusement, qui est capable, de considérer les choses historico-culturellement, il doit dire : c'est de la désétatisation de l'école dont il s'agit. De cela, « l'Union pour la triarticulation de l'organisme social » a le principe de placer le système scolaire entièrement sur lui-même, donner au système scolaire la gestion autonome, ainsi qu'a l’État ne reste pas une fois la surveillance, mais ce qui œuvre dans l'école par autogestion, cela doit croître purement soi-même des besoins de la vie de l'Esprit. Là maint en croîtra.