Mais qui une fois intérieurement sent de
part en part, ce que cela signifie, être ainsi dans
l'école, dans l'enseignement, dans l'éducation,
comment par une vraie connaissance de l'humain
devenant, cela est nécessaire à l'enfant, qu'il ait
dans sont ressentir, dans l'entier vivre, une pleine
preuve pour cela que la vie de l'esprit doit obtenir
sa pleine administration libre. Et toutes les
objections ne valent pas tant que justement on les
lance, mais seulement ainsi qu'on doit les écarter par
la réalité.
Là viennent des gens et disent :
quand la vie de l'esprit devrait reposer sur une libre
reconnaissance, les gens n'enverront plus les enfants
à l'école, de cela on ne pourrait pas ériger une libre
vie de l'esprit. - Ainsi ne parle pas celui, qui pense
à la mesure de la réalité. Celui-ci éprouve avant
toute chose la pleine nécessité de la libération de la
vie de l'esprit. Il dit : la vie de l'esprit doit
devenir libre ; cela peut peut-être avoir
l'inconvénient que maintes gens ne veulent pas envoyer
leur enfant à l'école ; là on doit songer à des
moyens que cela ne puisse avoir lieu. On ne doit pas
traiter cela comme une objection, mais on doit
soulever quelque chose comme ça et alors réfléchir
comment peut être apporté une réponse. Dans beaucoup
de choses, qui tout de suite concernent une pleine
réalité de vie, nous devrons apprendre à penser ainsi.
Vous devinez que tout de suite en
rapport avec la vie de l'esprit – et la vie de
l'esprit publique est au fond dans ses parties les
plus importantes donnée avec enseignement, avec
éducation – un plus total revirement doit pénétrer.
Ceux qui sont habitués d’œuvrer dans la vie de
l'esprit actuelle, ne parviendront justement pas sur
ces choses. Je le sais, comme certains professeurs de
plus hautes écoles, alors qu'a eux fut apportée
l'exigence de passer à l'autogestion, ont dit :
là je préfère me tenir sous le ministre, plutôt que
d'administrer cela avec des collègues ; cela ne
va pas. Avec mes collègues de la faculté, je suis
moins volontiers ensemble qu'avec le ministre, qui est
dehors.
On ne recevra peut-être pas d'après
cette direction les impulsions nécessaires. Mais comme
sinon en rapport avec les grandes questions de la vie
aujourd'hui toujours plus et plus sera donnant la
mesure non le producteur, mais le consommateur, ainsi
voudrait on qu'aussi sur cela qui est nécessaire dans
le système d'enseignement et d'éducation comme la plus
importante partie publique de la vie de l'esprit,
réfléchissent les consommateurs de ce système
d'enseignement et d'éducation.Ce sont avant toutes
choses des humains qui ont des enfants. - Nous l'avons
vécu, quelle impression ont reçu les parents de la
clôture de l'année scolaire, de tout ce que sinon les
enfants ont vécu dans l'école Waldorf durant l'année
scolaire. Nous l'avons vécu, comme les parents, quand
ces enfants arrivent à la maison, sont devenus
conscients, que là dans les faits un nouvel esprit
social se lève, qui pour la prochaine génération est
d'une énorme signification.- évidemment seulement, si
l'école Waldorf ne reste pas une petite école du coin
à Stuttgart, mais quand cet esprit, qui règne là,
devient déjà l'esprit de cercles plus larges.
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