Question: Mr. Monges demande de quel point de vue, de quelle manière serait souhaité, que dans les cas particuliers les secrétaires généraux seraient élus, démocratiquement ou sinon comment ?

Dr Steiner: „Cela aussi je ne voudrais absolument pas fixer par des statuts pour les groupes particuliers du monde. Je peux par exemple me représenter très bien qu’il y a des sociétés nationales qui veulent absolument procéder démocratiquement. Je peux me représenter, que d’autres veulent être aristocratiques, se rattacher à une quelque personnalité et le lui transférer, les autres nommer des fonctionnaires et de la sorte.
C’est pourquoi je pense, que donc la par moi du reste quelque, comment dois-je dire, quelque installation appliquée aristocratiquement du comité sera peut-être un peu imitée. Mais il peut aussi être, qu’elle soit ici ou là ressentie comme hautement non sympathique : alors, pourrait aussi être voté. Mais le vote sera naturellement aussi léger, que plus petit est un groupe ; pendant que voter, disons par exemple à l’intérieur d’une assemblée, comme l’est l’actuelle, ne peut avoir de mon opinion absolument aucune signification. Nommer et élire quelqu’un, cela est impossible, quand du reste si peu de connaissance réciproque est disponible. Donc ici cela n’irait déjà pas.
Mais je peux très bien me représenter, que par exemple quelque institution démocratique ici ou là prenne une place.
Mais en général je pense, cette question n’est pas si extraordinairement pleine de signification en principe. Car soit on votera ainsi, que, j’aimerai dire, le vote est irréfléchi : alors les sociétés ne fleuriront pas, alors rien n’en sortira, quand n’importe qui sera nommé, avec qui on a vite fini avec le vote, ainsi que les choses se passent aux votes politiques. Là rien n’en sortira, là rien ne peut devenir chez nous.

L’autre cas pourrait être, qu’on regarde vers ceux qui se sont déjà acquis des mérites, qui ont fourni ceci ou cela comme travail, auxquels on observe, comment ils fournissent le travail : alors se trouvera aussi en général une majorité de manière évidente.

Je ne crois pas, que de quelque manière, quand les antécédents sont établit pour quelque vote, alors chez nous où il s’agit vraiment, que soit travaillé, une quelque démocratie rend le travail impossible.

Donc je pense, dans la pratique ne sera pas une si grande différence entre démocratie et aristocratie. Nous pourrions donc faire une fois faire la preuve par l’exemple dans les prochains jours et pourrions demander, si le comité, que j’ai proposé, sera élu ou non élu. Alors, nous aurions aussi une prémisse démocratique ; car je présuppose qu’il sera élu, sinon je me retirerai aussi de nouveau ! N’est-ce pas, il doit donc régner la liberté.


Mais, mes chers amis, je dois aussi avoir la liberté.
Je ne peux rien me laisser octroyer là-dessus. De la liberté doit donc aussi avoir avant toute chose celui qui doit exercer la fonction. Ou n’est-ce pas ainsi ?
Donc je pense, ce que je dis maintenant, se présentera en général partout : démocratie ou aristocratie, la société ne paraitra pas bien différente.

Question : Mr. Monges : Nous en Amérique sommes très politiques