J'ai montré en ces derniers jours ou dernières
semaines comment les différentes branches de
l'organisme social ont leur origine sur les différents
territoires de l'évolution terrestre. Pris
fondamentalement, je disais, toute notre vie
spirituelle est seulement une transformation de ce qui
est apparu il y a longtemps en Orient. Mais quand nous
éprouvons cela, ce que nous avons donc beaucoup décrit
d'un côté dans les dernières semaines, en rapport à
ces points de vue que j'ai maintenant justement
mentionnés, alors c'est ainsi que tout savoir de cet
Orient, aussi loin qu'il s'étendait sur le destin
humain, a été lu du cours des étoiles, été lu de ce
qui est extraterrestre,extra-tellurique.
Et l'idée de destin grecque a été le dernier
prolongement d'un tel savoir extraterrestre.
Alors vint à cela le savoir du
territoire médian ; cela a été comme nous l'avons
indiqué, un savoir plus juridique, cela a été quelque
chose que l'humain retira plus de lui-même. Cela ne
s'attachait pas aux observations qui provenaient de
l'extraterrestre. Et je vous ais dit, on le remarque
aussi a la plus haute vision du monde, comment elle a
été transjuricisée (NDT transposée en empruntant
des catégories juridiques) dans l'occidentale,
comment dans une certaine mesure cela qui se joue
comme développement de l'humanité a été placé sous des
concepts juridiques. Le juge du monde inflige une
peine exactement comme le juriste terrestre inflige
une peine pour un quelque délit extérieur. La manière
juridique de la façon de voir, la manière juridique de
la représentation, c'est ce qui a traversé la tout
autre représentation orientale de la vie spirituelle.
Et cette façon de voir la vie
spirituelle, qui pendait ensemble avec que dans les
centres d'initiation ceux qui étaient jugés mûrs,
étaient justement initiés en cela qui du visible, mais
dévoilant les domaines du monde invisible agit vers le
bas sur la terre.
Et alors on orienta cela qui sur la terre a à se
produire, d'après ces intentions de l'initiation. À un
tel savoir il est naturellement nécessaire, que plus
soit saisi des yeux que le seul point de vue en une
quelque année de vie, à partir de laquelle on fait
tomber un jugement absolu sur tout le possible. Du
point de vue doit être saisi des yeux l'entière
évolution de l'humain, mais aussi cela que l'humain
s'apporte dans l'être-là terrestre par la naissance,
et ce qui peut se dévoiler à lui, lorsqu'il aperçoit
une révélation de l'être-là supraterrestre.
Ainsi a été, pris fondamentalement dans
le temps récent, transjuricisé ce qui tout d'abord
était une sorte de science céleste. Cette science
céleste elle-même, son destin on doit un peu le saisir
des yeux. Car, ce qui a été savoir saint en Orient, ce
qui dans ces centres d'initiation dans sa forme la
plus pure a été soigné il y a peut-être dix mille ans
en Orient, oui, ce qui plus tard en Égypte quand aussi
plus en si pure forme, mais malgré tout a été soigné
en forme relativement pure, cela fut, après que là ai
été débité, d'une certaine manière popularisé, sur les
rues de la plus tardive Rome par des escrocs et
bateleurs, transformé toutefois en art magique
visible.
Cela est justement le cours des événements du monde
que quelque chose, qui dans une certaine époque est
saint, peut devenir ensuite le plus non saint. Et
pendant que la plus haute sagesse orientale dans
l'ultérieure époque impériale romaine appartenait à la
rue, se développa de la romanité (NDT Römertum)
elle-même sur base de l’Égyptéïté ultérieure la pensée
juridique, qui alors devint dominant le monde.
Dans le temps suivant, mais seulement lentement et
progressivement, a alors rougeoyé et dépérit, ce qui
tout en premier a été cherché des étoiles en Orient
comme sagesse humaine.
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