N'est-ce pas, il existe un certain étagement en rapport au mensonge. En première place viennent les Églises, en deuxième vient d’abord la presse et en troisième viennent alors les politiciens. C’est entièrement décrit objectivement et pas à partir d’une quelconque émotion. L’enthousiasme du mensonge est suscité de par les choses, que l’on ne peut que recevoir par l’éducation au sein de l’Église.
L’enthousiasme du mensonge dans la presse est suscité par les conditions sociales, et dans la politique, le mensonge n’est pour ainsi dire, aimerais-je dire, en fait seulement qu’une transposition dans la vie civile de ce qui dans le militarisme avec lequel la politique va donc étroitement ensemble – est tout à fait évident. Lorsque l’on veut vaincre un adversaire, ainsi on doit le tromper. Toute la stratégie est basée là-dessus ; là on doit apprendre à tromper. C’est système. Cela est aussi transféré à la vie civile par la parenté entre militarisme et politique. Mais là c’est méthode, pendant que chez les deux autres classes, chez la presse et les représentants des confessions, c’est enthousiasme du mensonge. Ces choses ne sont aussi pas du radicalisme, lorsqu’on les décrit ainsi ; c’est simplement un fait objectif.