Dans l’instant, où, quand aussi seulement dans une mesure limitée, peut être appelé en un point quelconque à l’autodétermination des humains en Europe centrale, doit se montrer, qu’à partir de l’essence allemande rien ne veuille avoir à faire avec tous ceux qui ont un rapport avec les vieux dépositaires du pouvoir, égal, s’ils sont d’anciens hommes d’État ou s’ils sont des industriels, qui ont cherché leur profit, bien égal s’ils se tiennent du côté de Helfferich ou Erzberger ou du côté de la démocratie allemande.
Tout cela, qui a un quelconque rapport avec ce qui, du reste est placé dans l’époque wilhelmienne, doit être débranché. Et du véritable soubassement de l’essence allemande, à laquelle l’Autriche appartient aussi, doit être trouvé ce qui peut être dit. Car alors cela concorde avec ce que ceux, qui réfléchissent à la vérité, disent dans le monde entier. De cela pourra être suscité la plus grande impression dans le monde international entier, quand un quelque petit tas dit : nous ne voulons rien avoir à faire avec la Prusse, comme elle s’est formée, nous ne voulons rien avoir à faire avec ce qui se tient sous la protection de l’Entente, nous savons que des soubassements de toutes autres forces peuvent bourgeonner, nous voulons nous placer du point de vue de la tri-articulation, nous ne voulons pas seulement d’une autonomie d’apparence, comme elle apparaîtrait quand même, nous voulons une réelle, vraie autonomie et nous nous aménagerons provisoirement à l’intérieur de cette vraie réelle autonomie, nous faisons le scrutin en une protestation contre le fait du scrutin.
C’est la conséquence nécessaire, qui se montre des faits de l’histoire, comme aussi des actuelles conditions internationales.