En Angleterre par exemple l’élément politique démocratique s’est développé du démocratique ecclésial.
Cela est simplement arrivé parce qu’en Angleterre l’arrière-plan ecclésial a été rayé et que l’on en a épluché la forme démocratique de la pensée. Mais ainsi partout en a été fait naitre de place en place le politique-juridique de l’élément théocratique-ecclésial.
Seulement, on ne le remarque plus si exactement à d’autres endroits.

Il y a par exemple un rapport secret entre l’ensemble de la fonction publique, à la pointe de laquelle on peut donc se penser le régnant absolu « de grâce divine », lequel finalement justement trahi l’origine de l’élément théocratique-ecclésial, car « par la grâce de Dieu » fut seulement celui, qui fût institué par l’autorité spirituelle.
Tout le corps du service public est simplement la hiérarchie ecclésiale devenue profane. Mais l’autre côté qui s’est au fond aussi développé à partir de l’élément théocratique-ecclésial, est le système de l’armée.

Cela sera éprouvé par les humains d’aujourd’hui comme paradoxe. Mais le système d’armée est seulement ce qui, comme l’ombre d’un objet éclairé, suit l’entière organisation du système étatique.

Et ainsi,  j’aimerais dire, petit à petit pendant la dissolution de l’élément profane de l’élément théocratique-ecclésial, s’en est formé une certaine emprise de l’étatique.

Dans toutes les particularités cela est décelable, lorsqu’on saisit des yeux le passage des formes de l’administration, comment dans ces temps, se sont montrées dans leurs formes théocratique-hiérarchiques, comme Karl le grand attache une valeur a être couronné par le pape à Rome, comment la vie ecclésiale alors passe dans le profane, comment comme petit dernier de cette transition par exemple l’occupation des premières fonctions étatique a lieu en France avec des cardinaux. Lorsque vous pensez à cela, vous pourrez saisir partout des mains la survenue de cet élément politique-juridique moderne en application de l’élément théocratique-ecclésial et le devenir  autonome de l’application.
On pouvait appliquer ces choses de façon autonome.

Là-dedans se fraye la vie économique moderne, qui cependant a produit des usages instinctifs, mais jusqu'à maintenant toujours pas quelque chose qui serait intérieurement pénétré comme le vieil élément hiérarchique-ecclésial et étatique-militariste. Ces deux éléments ont amené le monde à sévère uniformisation. Par contre, ce fût d’abord dans l’époque récente, que l’aspiration apparût, de pénétrer consciemment ce qui comme la vie économique compliquée, sur laquelle on n’avait dans les temps anciens pas besoin de penser, parce que l’on créait de sources inépuisables, s’est pressée de manière prépondérante dans la vie moderne. Il est cependant apparu la nécessité de trouver aussi justement un certain maniement de la vie économique. Mais ce maniement n’a justement pas encore été trouvé.

Et pris fondamentalement le premier essai d’introduire quelque chose dans la vie économique, qui peut être parallélisé aux éléments étatiques et ecclésiaux, le principe associatif.
C’est pour la première fois l’essai de fonder vraiment organiquement quelque chose dans la vie économique. Car jusqu'à présent cela ne s’est pas passé. Et les différents essais théoriques, de gagner une manière de penser, d’organisé en tant que telle la vie économique, ce sont les théories utopistes qui toujours furent contaminées de ce qui est parvenu d’encore plus tôt.
Là on pensa ainsi : lorsqu’on organise, alors on doit organiser comme c’est dans l’élément ecclésial-hiérarchique ou étatique – les gens n’en étaient donc pas conscients.

Et l’expression pratique extérieure pour la chose est l’émergence du libéralisme économique dans la première moitié du 19e siècle.
Car pourquoi ce libéralisme économique a-t-il émergé ? Qu’est-il donc ? Il est l’appeler à la compétence des personnalités individuelles économiques.
Tout aussi en fut-il dans l’élément théocratique-ecclésial.
Avant qu’on trouvât une organisation, on dut en appeler aux individualités dirigeantes. Ce fut ainsi pareil dans l’élément étatique. Avant que l’on passât au parlementarisme, on dut en appeler à ceux qui avaient les capacités, d’administrer l’étatique.
Le libéralisme économique n’est pas autre chose que cet appeler à la compétence individuelle de la personnalité sur le domaine économique.
Seulement parce que les choses se développent plus rapidement dans le monde, est aussi devenu plus rapidement nécessaire, de trouver ce qui maintenant paralyse vraiment les effets dommageables des personnalités individuelles absolutistes.