Avant tout nous pouvons renforcer de nous-mêmes ce qu’est l’Union pour la triarticulation de l’organisme social. Je pense naturellement par « nous » maintenant sans différence tous ceux, qui sont assis ici, pas seulement les membres de la Société anthroposophique – parmi lesquels sont donc de tels, qui aujourd’hui disent toujours encore: que l’anthroposophe véritable  doit résider au loin la vie politique, qu’il ne peut s’occuper de vie politique que quand sa profession le rend nécessaire. – cela arrive aussi, il y a de tels égoïstes, et ceux-là se nomment malgré tout anthroposophes, qui croient déjà développer une vie ésotérique particulière, en ce qu’ils s’assoient ensemble à la manière de sectes en petit nombre d’humains et satisfont leur volupté d’âme en s’emparant de toute sorte de mystiques. (Applaudissements) Mes très chers participants, ce n’est rien d’autre que le manque d’amour organisé de manière sectaire ; c’est pur parler d’amour humain, pendant que cela est issu justement de l’amour humain, cela signifie du principe le plus intérieur de l’action anthroposophique. Ce qui doit s’exprimer dans l’Union pour la triarticulation, c’est cela dont il s’agit, et de comprendre aujourd’hui ces choses, est infiniment important et plus important, que de mijoter toutes les questions de détail. Ainsi, mes très chers participants, de telles questions, qui seront des questions concrètes, elles se présenteront encore après demain d’une tout autre façon, que nous nous laissons rêver, lorsque demain nous avons aidé une quelconque institution à se mettre sur pied, qui seulement vraiment apporte vraiment quelque chose de réel à l’émancipation de la vie économique de la vie étatique ; car alors seulement apparaissent notamment les tâches