Le grand combat entre bourgeoisie et prolétariat consiste en cela, de ne me plus laisser la force de travail être une marchandise. Ainsi que les choses reposent aujourd’hui, il s’agit de ce que le prolétariat réclame énergiquement – et cela n’est pas seulement une exigence prolétarienne, mais une spirituelle -, que dans l’avenir la force de travail physique n’ai plus le droit d’être une marchandise. La bourgeoisie a réclamé le libéralisme, parce qu’elle ne voulait plus les vieux privilèges aristocratiques, par ce qu’elle ne voulait plus faire du droit une chose de domination et d’achat.
Le prolétariat réclame l’émancipation de la force de travail du caractère de marchandise. Si nous ne voulons pas laisser quelque chose en reste, qui mènerait toute l’Europe du centre et de l’Est dans le contexte de la barbarie, ainsi devons nous aujourd’hui examiner une chose supplémentaire. L’exigence ne se donnerait elle pas aujourd’hui à partir du prolétariat, de coopérer en pleine compréhension avec les travailleurs spirituels, alors le prolétariat dévêtirait certes le travail physique du caractère de marchandise, mais la conséquence de cela serait, que dans l’avenir s’introduirait un contexte, par lequel alors toute la force humaine spirituelle deviendra marchandise. Ce contexte n’a pas le droit d’être atteint. Le sérieux de la tâche doit être saisit ainsi qu’avec le travail physique en même temps le travail spirituel, vraiment spirituel vienne à son droit.
La vielle aristocratie a amenée la privation de droits de l’humain, la vielle bourgeoisie a amenée la privation de propriété du prolétariat. Si restait la conception purement économico-matérialiste de la question prolétarienne, ainsi resterait en retrait la deshumanisation de la vie de l’esprit. Nous nous tenons devant ce danger, quand pas ceux qui ont cœur et sens pour la vie de l’esprit se placent sur le sol de libérer eux-mêmes cette vie de l’esprit. Et cette vie de l’esprit peut seulement être libérée, quand nous prenons congé de [la dépendance de] la vie de l’esprit que j’ai donc caractérisée de différentes manières et vraiment par un sérieux conseil de la culture (1) amenons un nouveau membrement (NDT ou nouvelle articulation) de la vie de l’esprit.