Alors aussi le travail ne sera plus une marchandise, mais sera accueilli dans l’état de droit se développant pour lui-même ; alors dans cette structure sociale, dans laquelle agit l’humain devenu majeur avec chaque autre humain devenu majeur sur la base d’un même droit, le travail viendra à son droit.
Et seulement dans la liberté du sentiment pour l’obligation de travailler peut ressortir l’élan dans notre vie, pas de l’exigence après l’encasernement et le devoir, qui doit étouffer chaque sentiment du droit dans l’humain.
D’une vie spirituelle autonome, d’une vie du droit autonome on doit saisir les grandes tâches de notre temps.