Toujours, quand cela s’est mal passé, on a attendu que d’un tournant quelconque l’amélioration vienne. Elle n’est pas venue ! Ainsi ne devrait-on pas non plus attendre aujourd’hui, que de n’importe où, on ne sait d’où, du reste, les conditions deviendraient déjà à nouveau meilleures !
Non, l’humanité est aujourd’hui – l’apparition de la démocratie l’atteste – l’humanité, est à un certain degré, appelée à se comporter mûrement.
Mais mûr on ne l’est seulement que lorsque l’on n’attend pas n’importe quoi d’indéterminé, l’amélioration viendra, mais quand on se dit : l’amélioration ne peut venir que de la volonté propre, d’une volonté sensée, qui discerne les effets. [lacune] Quand même seulement un pour cent de l’humanité civilisée actuelle pouvait faire le pas vers une claire connaissance du danger pour l’ensemble du monde civilisé, et pouvait voir, combien nécessaire les conditions tendent après la tri-articulation !

Mais la tri-articulation est partout foulée aux pieds.
Si un pour cent des humains pouvait comprendre les choses jusqu’à un certain degré, ainsi cela deviendrait mieux. Car seule par les humains peut venir l’amélioration ! Le pire fut toujours le fatalisme pour l’humanité.