Actuellement une seule administration englobe dans nos États ces trois éléments de la vie, et lorsque l’on parle d’une triarticulation, on sera aussitôt mécompris. On sera ainsi compris, que sera dit : maintenant donc la quelqu’un veut une administration autonome pour la vie de l’esprit, une administration pour la vie juridique – ou étatique -  ou politique, une administration autonome pour la vie économique ; donc promeut trois parlements, un parlement culturel, un parlement démocratique-politique et un parlement économique. – Si l’on promouvait cela, alors on ne comprendrait justement rien du tout de l’idée de la triarticulation de l’organisme social, car cette idée de la triarticulation de l’organisme social veut justement prendre complètement au sérieux les exigences, qui se sont données historiquement au cours des récents développements de l’humanité.
Et ces trois exigences on peut les exprimer avec trois mots qui toutefois sont déjà devenus des slogans ; passe t’on par-dessus les slogans, pour rencontrer la réalité, ainsi l’on trouve, que trois impulsions historiques justifiées sont contenues dans ces trois mots. Ces trois mots sont les impulsions à la liberté de la vie humaine, et l’impulsion à la démocratie, et l’impulsion à une formation sociale de l’être communautaire. Mais si l’on prend au sérieux ces trois exigences, alors on ne peut pas les mettre en pelote ensemble en une seule administration, car alors l’une doit toujours gêner l’autre.

Qui par exemple prend au sérieux l’appel à la démocratie, celui-là doit se dire : cette démocratie peut seulement se vivre dans une représentation du peuple ou par un referendum, quand chaque humain devenu majeur, en ce qu’il est placé également à chaque autre humain devenu majeur, peu décider par son jugement, sur justement sur sol démocratique par la capacité de jugement d’un humain devenu majeur peut être décidé.

Maintenant, il y a – ainsi, dit l’idée de la triarticulation de l’organisme social - tout un domaine de vie, c’est justement le domaine de la vie juridique, le domaine des rapports politiques, dans lequel chaque humain devenu majeur est appelé, à partir de sa conscience démocratique à se prononcer. Mais quand est ainsi fait sérieusement avec la démocratie et que la vie de l’État doit entièrement être démocratisée, plus jamais le domaine spirituel peut alors être tiré d’un côté dedans cette démocratie, et plus jamais le cycle de la vie économique ne peut être tiré dans cette administration démocratique.

Dans cette administration démocratique, un parlement est absolument à sa place. Mais dans un tel parlement démocratique ne peut jamais être décidé sur ce qui est a réaliser sur le sol de la vie de l’esprit, aussi sur le sol du système d’éducation et d’enseignement.