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Institut pour une triarticulation sociale
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Collection: 05 - LA VIE JURIDIQUE DEMOCRATIQUE
Sujet: Égalité devant l'impôt
 
Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes 331 22/05/1919
Traducteur: FG Editeur: SITE

 

Maintenant, des questions spéciales ne sont donc justement chez les humains pratiques pas toujours si faciles à répondre. Je veux vous dire pour quelles raisons . Aux questions spéciales est à répondre notamment d’après les conditions une fois comme ci, une fois comme ça. Les choses peuvent être manipulées tout à fait différemment, et il n’est pas toujours nécessaire qu’elles soient toujours faites de la même manière. L'humain-programme, le théoricien, il est habituellement si intelligent qu’il invente un programme socialiste jusque sur le point du "I". Il y a toujours eu de tels humains. Mais il ne s’agit pas de cela, mais de ce que l’on montre, comment le sol doit être formé, pour que les humains eux-mêmes puissent socialiser, afin qu’ils puissent se retrouver dans le socialiser.
Je dois toujours de nouveau souligner : je ne me sens pas plus intelligent que les autres en rapport avec les particularités, mais j’essaye de donner des suggestions, comment de chaque humain cela peut sortir, ce qui peut contribuer à la socialisation. À cause de cela j’aimerais que les humains se placent sur trois sols. Les humains ne seront donc pas articulés en trois états, mais eux tous se tiendront dans chaque domaine. Et ce sont les humains qui formeront l’unité.
À cause de cela j’aimerai tant pénétrer dans la communauté d’idées des forces, que la socialisation puisse vraiment être vraiment faite par les humains. Alors, nous découvrirons aussi sous les nouvelles conditions un système d’imposition juste. Nous n’avons pas le droit d’oublier : nous ne pouvons pas découvrir des statistiques d’actifs actuelles un juste principe pour l’imposition, auquel nous travaillons à le mettre sur un tout autre sol.
Pas vrai, toutes ces choses comme impôts sur les revenus, taxe à la consommation et ainsi de suite, elles sont posées sur un tout autre sol. Lisez une fois dans mon écrit sur la question sociale. Là vous verrez, que donc dans l’avenir, maint sera tout autrement. Ainsi, par exemple le père de famille se tient de toute autre manière dans l’organisme social que le célibataire, et d’ailleurs parce que, si l’État de droit se forme vraiment comme je le suppose, alors chaque enfant possèdera un droit à l’éducation. Alors, la situation n’est pas celle que le père de famille doit partager son maigre salaire sur une grande famille, pendant que le célibataire peut utiliser tout pour lui. Les conditions deviendront tout autres. [ Interpellation : Et les autres articles de consommation courante ?] Le droit aux articles de consommation courante en est un qui va de soi. C’est donc assuré de parce que le processus économique en est un réel. Chacun qui produit quelque chose aura simplement par le processus économique la possibilité, qui est bien plus sûre qu’un droit abstrait, de se procurer les articles de nécessité. Ce qui doit être suscité par l’émancipation de la vie économique, est que l’on a tant, que cela suffit.
Le besoin sera mieux satisfait que l’on ait un droit à l’article de nécessité et en cela assez dans le portemonnaie.

C’est ce qui concerne le droit aux articles de nécessité. Cela n’est pas en fait pas une expression utilisable, car pas significative dans la réalité, quand on pense vraiment à une réalisation d’un organisme social triarticulé.
Car notamment sera fabriqué ce qui à partir d’un certain âge place aussi vraiment à égalité avec un autre humain. Pas vrai, le revenu en tant que tel, cela n’a pas besoin du tout sous conditions, justement dans une communauté vraiment socialisée d’être donnant la mesure de ce que l’on peut utiliser.
Car il est par cela possible, que l’humain parce qu’il a à fournir une, maintenant, nommons cela un travail de qualité, qu’il encaisse plus qu’un autre ; il n’a pas plus pour cela pour sa consommation qu’un autre, il doit le débourser à nouveau de la manière appropriée.
Il ne s’agit pas de considérer particulièrement à l’avenir ce concept d’encaissement et de consommation, mais il s’agit de ce que – parce qu’un humain doit être placé économiquement équitablement en rapport des autres humains -, qu’il deviendra possible à l’avenir, qu’absolument l’État aussi comme encaissant l’impôt, soit déconnecté du processus économique.

Voyez-vous, un concept devra disparaitre complètement dans l’avenir, le concept de personnalité juridique, aussi la personnalité juridique économique. Il devra en fait ce qui devra être payé comme impôts, être à payer par des humains individuels, car dans l’État, dans l’Etat démocratique, sur le sol, sur lequel le droit doit vivre, l’humain individuel se tient en face de l’humain individuel.
Les humains peuvent seulement être égaux, lorsqu’un humain se tient en face d’un autre comme individuel. Sur le sol de la vie économique et sur le sol de la vie spirituelle, il doit y avoir des corporations. Sur le sol de l’État il ne peut y avoir qu’un droit, qui est le même pour tous les humains, cela chaque humain majeur peut aussi le deviner.
De cela est aussi l’équivalent que chaque personne privée, que chaque individu est seulement le porteur de l’impôt. Cela peut être institué proportionnellement ainsi que jamais ne se produit d’injustice, mais cette proportionnalité ne sera pas nécessaire, si vraiment la compensation entre les humains est là. La question fiscale sera alors quelque chose de tout différent. À cause de cela les choses, desquelles il s’agit et qui peuvent être demandées aujourd’hui, valent plus pour le stade de transition. Là il s’agit naturellement de ce que l’on prépare progressivement la route vers l’imposition de l’humain individuel, non à l’imposition de complexes […]

Naturellement doit aussi être faite une taxe sur la consommation, avec laquelle je ne pense pas aux impôts indirects, qui sont injustes. Donc, une taxe sur la consommation doit être faite, cela signifie qu’à celui qui consomme beaucoup d’argent, doit être naturellement plus tiré qu’a celui qui ne consomme pas beaucoup, car quand l’un se met l’argent dans le sac de paille, cela n’a pas de signification pour la vie sociale. Cela n’atteint de la signification seulement quand il est déboursé.

Ce sont naturellement de telles questions spéciales, qui aujourd’hui, parce qu’elles sont des questions pratiques particulières ne peuvent être répondues que toujours très insuffisamment, car aussi les institutions dans la phase de transition ne peuvent pas encore être bonnes. Quand nous trouvons un mode de pensée, qui rend possible de partager cela justement, ce qui revient à l’État, alors nous trouverons aussi un chemin, que nous imposerons alors plus celui qui aujourd’hui encore a un haut revenu que celui qui a moins. Et ce que Monsieur Mittwich a dit en rapport avec le futur, cela ne peut être réalisé, que quand tout sera là qui doit être fait par la triarticulation.