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Institut pour une triarticulation sociale
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Collection: 05 - LA VIE JURIDIQUE DEMOCRATIQUE
Sujet: Capital n'appartient à personne.
 
Les références : Rudolf Steiner Oeuvres complètes 330 176-177 (1983) 13/05/1919
Original
Traducteur: FG Editeur: SITE

À l’avenir il apparaîtra du capital par un humain capable pour une entreprise précise. Ce capital apparaitra seulement par la confiance que d’autres humains auront en lui, qui lui donneront ce qu’ils fournissent comme travail de plus (NDT Mehrarbeit) par-dessus leurs besoins. Il sera dans la situation dans une certaine mesure à la charge d’un groupe confiant en lui, mais cela signifie l’universalité de l’organisme social, de construire une telle entreprise, qu’aujourd’hui seulement peut être construit par le capital privé et la jouissance privée du capital. Mais alors, quand l’entreprise est construite, alors survient quelque chose, ce contre quoi en fait aujourd’hui le travailleur combat, il survient la possession du moyen de production. Se tiennent face à face, après que la construction du moyen de production est accomplie, le travailleur par le contrat et celui qui est le conducteur technique ou sinon spirituel de l’entreprise. Les moyens de production n’appartiennent à personne, la possession de moyen de production s’arrête. Et au moment où par les capacités particulières du conducteur n’est plus justifiée la coopération de l’entreprise avec ce conducteur, ce conducteur est obligé de transmettre le moyen de production à un autre consortium, à un autre groupe de personnes.
Indirectement ou directement ! Par là sera atteint à l’avenir ce que je dois appeler la circulation du capital et arrêter la possession privée de capital ! Le capital sera incorporé de manière saine à l’organisme sociétalement socialisé. Il circulera dans cet organisme sociétal, comme le sang circule dans l’organisme animal ou humain, où il n’aura aussi pas le droit d’être pris en considération unilatéralement par un organe, mais doit circuler par tous les organes. Libre circulation du capital ! C’est cela qui en vérité sera exigé par l’avenir.


Dans un tel organisme social, dans lequel le capital circule ainsi libre, est aussi seulement possible véritable liberté du travail. Car ainsi que la propriété privée du capital est en fait la cinquième roue de la voiture vis-à-vis des fonctions sociétales, ainsi la force de travail humain est parvenue comme contrepartie du capital dans une situation de contrainte sous la domination du capitalisme. Ce qui est nécessaire pour la guérison de la société humaine, cela sera atteint par la circulation du capital, que personne ne possède. Ce qui aujourd’hui est payé vers dehors, est chercher vers l’extérieur à partir des moyens de productions, ce que les gens nomment leur capital ou leur rente en billets d’hypothèques, en cédule hypothécaire ou obligation et ainsi de suite, cela est absolument inutile dans le véritable processus de l’évolution humaine de l’ordre sociétal. Cela est pris sorti de l’ordre sociétal, et cela place les humains, qui l’extraient, eux-mêmes hors de cet ordre sociétal, les fait plus parasites et ceux qui génèrent les grandes forces de l’insatisfaction à l’intérieur de l’organisation sociale. Ce que je vous ai expliqué sur la circulation du capital, maintes gens le trouveront évidemment hautement mal pratique. Je le crois. Mais trouver mal pratique, cela signifie dans ce cas ne rien vouloir lâcher de ce qui est cinquième roue de l’ordre économique, ça signifie s’être habitué, à ne trouver pratique que ce qui s’est avéré pratique pour soi, pour l’égoïsme.



Mais l’humain devra pour l’avenir s’adonner avec son entière entité à l’organisme sociétal.

Es wird in der Zukunft Kapital entstehen durch einen für einen bestimmten Betrieb fähigen Menschen. Dieses Kapital wird nur entstehen durch das Vertrauen, das andere Menschen zu ihm haben, die ihm dasjenige geben werden, was sie als Mehrarbeit leisten über ihren Bedarf hinaus. Er wird in der Lage sein, gewissermaßen im Auftrage einer ihm vertrauenden Gruppe, das heißt aber der Allgemeinheit des sozialen Organismus, einen solchen Betrieb aufzubauen, der heute nur auf dem Privatkapital und Privatkapitalgenuß aufgebaut werden kann. Dann aber, wenn der Betrieb aufgebaut ist, dann entfällt etwas, wogegen eigentlich heute der Arbeiter in Wirklichkeit kämpft, es entfällt der Besitz der Produktionsmittel. Es stehen sich gegenüber nachdem der Aufbau der Produktionsmittel vollzogen ist, der Arbeiter durch Vertrag und derjenige, der der technische oder sonstige geistige Leiter des Betriebes ist. Die Produktionsmittel gehören niemand, der Besitz an Produktionsmitteln hört auf. Und in dem Moment, wo nicht mehr durch die besonderen Fähigkeiten des Leiters gerechtfertigt ist das Zusammenwirken des Betriebes mit diesem Leiter, ist der Leiter verpflichtet, die Produktionsmittel an ein anderes Konsortium, an eine andere Personengruppe überzuführen.
Unmittelbar oder mittelbar! Dadurch wird für die Zukunft erreicht, was ich nennen muß Zirkulation des Kapitals und Aufhören des Privatbesitzes an Kapital! Das Kapital wird in gesunder Weise dem sozialisierten gesellschaftlichen Organismus einverleibt werden. Es wird zirkulieren in diesem gesellschaftlichen Organismus, wie das Blut im menschlichen oder im tierischen Organismus zirkuliert, wo es auch nicht einseitig in Anspruch genommen werden darf durch ein Organ, sondern durch alle Organe durchzirkulieren muß. Freie Zirkulation des Kapitals! Das ist es, was in Wahrheit für die Zukunft gefordert wird.
In einem solchen sozialen Organismus, in dem so das Kapital frei zirkuliert, ist auch nur möglich wirkliche Freiheit der Arbeit. Denn so wie das private Kapitaleigentum tatsächlich gegenüber den gesellschaftlichen Funktionen das fünfte Rad am Wagen ist, so ist als Gegenstück des Kapitals die menschliche Arbeitskraft in eine Zwangslage gekommen unter der Herrschaft des Kapitalismus. Was für die Gesundung der menschlichen Gesellschaft notwendig ist, das wird erreicht durch die Zirkulation des Kapitals, das niemand besitzt. Was heute herausbezahlt, herausgeholt wird aus den Produktionsmitteln, was die Leute in den Hypothekenscheinen, in Pfandbriefen oder Obligationen und so weiter ihr Kapital oder ihre Rente nennen, das ist absolut unnötig im wirklichen Prozeß der menschlichen Entwickelung der gesellschaftlichen Ordnung. Das ist herausgenommen aus dieser Gesellschaftsordnung, und das stellt die Menschen, die es herausnehmen, selber aus dieser Gesellschaftsordnung heraus, macht sie mehr oder weniger zu Parasiten und zu denjenigen, welche die großen Kräfte der Unzufriedenheit innerhalb der gesellschaftlichen Organisation erzeugen. Was ich Ihnen hier auseinandergesetzt habe über die Zirkulation des Kapitals, werden manche Leute selbstverständlich alles höchst unpraktisch finden. Das glaube ich. Aber unpraktisch finden, das heißt in diesem Fall nichts anderes als nicht ablassen wollen von dem, was das fünfte Rad am Wagen der Wirtschaftsordnung ist, das heißt sich angewöhnt haben, nur das praktisch zu finden, was sich für einen selbst, für den Egoismus als praktisch erwiesen hat. Der Mensch wird aber für die Zukunft sich hingeben müssen mit seiner ganzen Wesenheit an den gesellschaftlichen Organismus.