Tout cela doit être institué dans l’esprit de la triarticulation. Cela ne peut arriver que seulement parce que sur le sol de la vie d’État ne se développe pas ce qui dans le se tenir dedans la vie économique peut se développer d’humain à humain, mais que sur le sol de la vie d’État ne se tienne seulement tout ce qui se rapporte au rapport d’humain individuel à humain individuel, en ce que chaque humain individuel soit égal à chaque humain individuel.
Sur le sol de la vie d’État n’a par conséquent aucun gain à régner, qui provienne d’un consortium d’humain, d’un groupe économique, d’une communauté économique.
Ce qui est gagné sur sol économique doit aussi à nouveau couler dans la vie économique des humains pour l’élévation de leur état de vie.
Ce qui coule à l’État, appelons-le impôt ou bien comme toujours, cela n’a le droit, si je veux m’exprimer clairement, de venir que du portemonnaie de l’unique humain individuel. Face à l’État ne peut se tenir seulement que l’humain individuel ; alors sur le sol de l’État ne se tient que l’être humain individuel vis-à-vis de l’humain individuel. Alors ne prospèrent vraiment sur le sol de l’État que les droits d’humanité.