triarticulation

Institut pour une triarticulation sociale
(version française du site allemand)
Conditions d'utilisation.

Accueil

 

Deutsch EnglishDutchSkandinaviskFrançais ItalianoEspañolPortuguês (Brasileiro)Russisch
Recherche
 Contact   BLOG  Impressum 

Collection: 05 - LA VIE JURIDIQUE DEMOCRATIQUE
Sujet: Capitalistes regardent seulement au temps de travail, démocratie aussi sur paix du travail.
 
Les références : Rudolf Steiner Oeuvres complètes 330 092-093 (1983) 25/04/1919
Original
Traducteur: FG Editeur: SITE

Toutes les tendances, tous les buts de la vie économique tendent à consommer la marchandise. De que, de manière saine, la marchandise serait consommée, de cela il s’agit. Ce qui ne peut être épuisé, cela sera produit de manière malsaine. D’une manière quelconque, la marchandise doit pouvoir être consommée. Mais sera fait marchandise la force de travail humain par l’ordre économique capitaliste, ainsi celui qui la fait marchandise part seulement de la consommer. Mais la force de travail humaine n’a pas le droit d’être purement consommée, de cela nous avons avant toute chose besoin d’une telle socialisation, laquelle ne détermine pas seulement le temps de travail, mais laquelle avant toute chose, le temps de repos, car celui-là doit être là, quand une vie sociale communautaire doit être là.

C’est cela qui montre qu’une guérison peut seule apparaître quand les cercles dirigeants de la société, les alors cercles dirigeants justifiés de la société, on tout autant un grand intérêt à ce que le travailleur a son temps de repos, comme les capitalistes actuels ont un intérêt, que le travailleur a son temps de travail.

Pour cela je vous dis : jamais la force de travail humain ne peut être comparée par le prix avec quelque marchandise. De ceci l’achat de la force de travail humain sur le marché du travail – vous comprenez, ce que ça signifie – est un gros mensonge de vie social, qui doit être éliminé. Comment parvenons-nous à dévêtir la force de travail humain du caractère de marchandise ? C’est une grande question sociale.

Alle Tendenzen, alle Ziele des Wirtschaftslebens gehen darauf hin, Ware zu verbrauchen. Darum, daß in gesunder Weise die Ware verbraucht werde, darum handelt es sich. Was nicht aufgebraucht werden kann, das wird in ungesunder Weise produziert. In irgendeiner Weise muß die Ware verbraucht werden können. Wird aber durch die kapitalistische Wirtschaftsordnung Menschenkraft, menschliche Arbeitskraft zur Ware gemacht, so geht derjenige, der sie zur Ware macht, nur darauf aus, sie zu verbrauchen. Menschliche Arbeitskraft darf aber nicht bloß verbraucht werden, daher brauchen wir eine Wirtschaftsordnung, daher brauchen wir vor allen Dingen eine solche Sozialisierung, welche nicht nur die Arbeitszeit bestimmt, sondern welche vor allen Dingen bestimmt auch die Zeit der Arbeitsruhe, denn diese muß da sein, wenn ein gemeinschaftliches soziales Leben da sein soll. Das ist das, was zeigt, daß eine Gesundung erst eintreten kann, wenn die leitenden Kreise der Gesellschaft, die dann berechtigt-leitenden Kreise der Gesellschaft ein ebenso großes Interesse daran haben, daß der Arbeiter seine Ruhezeit hat, wie die heutigen Kapitalisten ein Interesse daran haben, daß der Arbeiter seine Arbeitszeit hat.

Deshalb sage ich Ihnen: Niemals kann verglichen werden menschliche Arbeitskraft nach dem Preise mit irgendeiner Ware. Daher ist das Kaufen der menschlichen Arbeitskraft auf dem Arbeitsmarkte - Sie verstehen, was das heißt - eine große soziale Lebenslüge, die ausgemerzt werden muß. Wie kommen wir dazu, die menschliche Arbeitskraft des Charakters der Ware zu entkleiden? Das ist eine große soziale Frage.